La science polaire n’est pas un long fleuve tranquille
Ils respirent, ou plus exactement, ils mangent enfin à leur faim. Les trois explorateurs britanniques partis dans l’Arctique il y a 65 jours pour mesurer l’épaisseur de la banquise, ont enfin reçu les vivres tant attendus. Un avion a pu se poser mardi près d’eux, avec onze jours de retardLire la suite