Envoyer 'La pilule ne féminise pas les poissons' à un ami

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6 commentaires



  1. Un titre raccoleur… Pour finalement dire qu’une méta étude sur des recherches des années ’90 conclut que la part d’hormone artificielle liées à la pillule humaine est relativement faible…
    Pour avoir aperçu qq autres articles, je n’évoquerais pas de possibles effets homéopathiques (pathétiques).
    Je dirais seulement, que je trouve dommage le raccourci présent dans le titre… Il y a des effets combinés, il y a des symptomes avérés et la négligence n’arrange rien ou peut-être les consciences… L’article pourrait par exemple suggéré que avant de diminuer la pillule humaine, il faudrait revoir nos élevages… Ce qui reste malgré tout de la responsabilité de l’homme…

    La réalité des effets des pertubateurs endocriniens sur l’environement semble se confirmer… mais adepte d’un assainissement plus durable… Je recommanderai plutôt un traitement sélectif qu’une hypertechnologiesation des stations d’épuration… Le monde de la toilette sèche ou presque a fait du chemin avec des Compostera, Clivus Multrum, EcoDoméo et autres… à quand l’évolution des cultures?

    Bref, peut-être cela inspirera d’autres rédacteurs

  2. ils ne parlent pas des esturgeon trans-sexuelles de la Loire qui sont pourtant une réalités et les hormones d’origine animales sont une excuse, car les effluents d’élevages ne finissent pas au cour d’eau (c’est même interdi depuis bele lurette) d’ailleurs les régulations des chaleur chez l’animal est un traitement momentanée pas 365j/ans comme la femme et concerne une partie seulement des elevages j’aimerai aussi qu’on m’explique comment comment peut’on différencier l’eustrogène et la progestérone animale de celle d’origine humaine


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