Je sors d’une projection privée du film de Davis Guggenheim sur la campagne d’Al Gore contre le réchauffement climatique. « Une vérité qui dérange » a été présenté à Cannes cette année et sera dans nos salles le 11 octobre.
Sur la forme, c’est un docu à l’américaine, un film de campagne un peu grossier, plein de ficelles divertissantes et de belles images de banquise fondante. Ca vaut un Michael Moore (qui se met en scène dans Downsize this), plutôt bien goalé (j’insiste sur l’orthographe en ce jour de demi-finale triomphante) qui touche au but.
Sur le fonds, c’est plus trouble. Le film met en scène un
personnage de la vie politique américaine, et non des moindres: Albert Gore, « l’ex-futur président des States » quand même, sillonnant les Etats-Unis pour des conférences sensibilisant aux innombrables conséquences des
changements climatiques. Al Gore a été très tôt concerné par ces questions (c’est ce qu’il dit), si bien qu’on se demande à quoi cela a bien pu lui servir quand il était vice-président des USA… même pas à ratifier Kyoto… Le pauvre: après avoir flirté avec le bureau ovale et ses moquettes, le voilà réduit à parcourir les Etats-Unis, ville par
ville, à convaincre individu par individu, que l’heure est grave. On peut avoir envie de le croire quand il annonce que c’est sa croix, sa mission… pourquoi pas… Et puis il a eu des soucis dans sa vie (et là, incursions à l’américaine dans sa vie privée: accident de voiture pour son fils et cancer des poumons pour sa soeur)
Comme on n’a qu’une seule planète, autant la sauver. Et là, ça se corse… (vers la 67ème minute environ). Pour sauver la Terre, évidemment, hors de question de toucher à l’économie (c’est faux de penser que croissance et réchauffement ne peuvent cohabiter, insiste Albert), ni de renoncer aux technologies innovantes façon hydrogène, biocraburants ou biotechs (qui nous sortiront de l’impasse, promet-il), ni de trop modifier nos modes de vie (s’équiper d’ampoules fluocompactes, planter des arbres et voter pour des candidats qui parlent de tout ça font partie des alternatives suggérées en générique de fin)…
C’est quand déjà les prochaines élections aux USA?
Laure
Je continue mon commentaire.
Voilà, le film pour moi aurait pu s’intituler une vérité qui rend fou. Fou de douleur à l’idée que nos enfants n’ont pas d’avenir…Je comprends les résistances des gens…Ce n’est pas de l’inconscience, c’est une manière de se défendre contre la folie et l’angoisse que cette vérité: et c’est bien là un problème aussi pour faire avancer les choses. Les gens ne veulent pas y croire. C’est tellement terrifiant!!!
Moi j’ai envie de crier: « donnez nous de l’espoir, dites moi ce que je peux faire pour sauvez mes enfants »
C’est bien parce que les gens refusent d’y croire qu’on en est arrivé à ce point là aujourd’hui.
La politique de l’autruche n’a jamais fait avancer les choses sur cette belle planète que l’homme s’est évertué à détruire.
salut
le film d’al gore montre très bien a quel point il est urgent de changer la relation qu on les hommes avec la terre….Malheureusement j’ai bien peur que c’est quand l’homme aura coupé le dernier arbre et tué la dernière bestiolle qu’il se rendra compte que l’argent ne se mange pas!!! Dans les prophéties maya le 21 dec 2012 (solstice d’hivers) semble etre une date clé ! pas forcement la fin du monde mais la fin de quelque chose et forcement l’début d’un autre truc!!!lol!!! Mais la plus intrigante des prophéties est celle de l’apache Stalking Wolf!!! un bon moteur de recherche vous menera vers cette belle histoire qui n’a pas été ecrite pour vendre du papier!!!Méfiez vous des sites de psychopathes religieux adepte de secte et autres véroles en tous genres!!lol !Pour résumé en 1920 l’indien a eu 4 visions probables! Lorsque la 3eme sera réalisé la terre ne sera plus soignable et l’humanité n’aura plus aucun retour en arrière possible!!!
La 1ere vision est la grande famine d’afrique en 1992-1993 qui a été surmédiatisé dans le monde!!! et l’arrivée du sida !!!
La 2nd vision est des trous dans l’ciel!!! suivi d’amas d’ordure, de cadavre d’animaux, de forêt morte, de marée noir, de monté des eaux et de tempète violente!! Il sagit de la vision de couche d’ozone détruite par les hommes (voyages, vie contre nature,etc etc….).l’info fera le tour du monde on aura encore le choix de continuer a tous detruire ou de revenir en arrière!!! On en est encore a ce stade!!!
Le 3eme signe est « la nuit ou le ciel sera rouge » !!!l’indien voit le ciel devenir rouge sang de jour comme de nuit ! Une couleur a l’odeur aboninable qui semble bruler tous ce qu elle touche et qui durera 1 ans!!!brrrr !!! A partir de la il n’y aura plus aucun retour en arrière possible pour changer le futur!!NO HOPE comme dans terminator!!! 🙁
le 4eme signe …une voix de gamin raconte a l’indien que 10 ans après la nuit du ciel rouge la terre se soignera et l’homme mourra !!!les eaux pollué deviendront infecte a cause du poison deversé par l’homme, il y aura une famine inimaginable les animaux et les cultures mourront, les maladies! Les survivant s’entretuerons pour manger !!! etc etc
Il n’y aura d’espoir qu’au moment du premier et du deuxième signe. Après le troisième signe, la nuit où le ciel aura saigné, il n’y aura plus d’espoir!!! 🙁
j’suis pas religieux et j’aime pas trop les histoires de profétie et autre anerie sectaire de barbu illuminé!!! En tous cas ca commence a devenir inquiétant !!!
…
L’homme n’aura pas à couper le dernier arbre (nous ne sommes pas sur l’Île de Paques) ni à bouffer le dernier animal survivant pour avoir déjà disparu. La Terre n’attendra pas. Ou alors l’homme se rendra compte avant que l’argent, dans son sens d’unité d’échange universelle, mais aussi de préoccupation matérielle particulière et exclusive, a perdu sa valeur.
C’est ce foutu capitalisme et l’autoritarisme qu’il faut détruire, l’autoritarisme de l’Etat sur la science (la pute et son mac), car l’Etat capitaliste est bien toujours le seul à disposer des moyens de nourrir et contrôler encore les grands programmes de recherche, au profit de qui, selon quelle priorité? Sans parler de des autres croyances «révélées», emprises anciennes et nouvelles, catholique ou sectaires, jusqu’au contrôle du patron sur son employé, la peur et la domination qui règnent en maître dans nos têtes, nos rêves, spectre d’un autre âge qu’il nous faut d’abord éliminer. Sinon…
La science aurait pu nous y aider? Peut-être est-ce pour cela que les dominants se soucie encore autant de la maîtriser. La DST recommandait dans un rapport récent à Sarko de mieux protéger les secrets des technopoles française, jugées trop laxistes par rapport à leur rivales. Il n’y aura pas de perdants ou de gagnant à la mondialisation, cette fois c’est tous ensemble…
+ + + +
Jules Verne le dénonçait déjà, à travers le Capitaine Némo, il y a plus d’un siècle comme le signalait déjà une personne ici. Si quelqu’un veut bien m’aider à retrouver le passage exact. Je n’ai pas le bouquin sous la main et je l’ai cherché en vain dans la Wikisource:
http://fr.wikisource.org/wiki/Vingt_mille_lieues_sous_les_mers
Je finirais bien par le trouver de toute façon. Une dénonciation prémonitoire de l’utilisation qu’il serait faite quelques décennies plus tard des nouvelles découvertes du génie humain, de la puissance acquise par la science et l’industrie au XIXe pour régler des comptes d’un autres âges et fabriquer des armes, comme aujourd’hui l’industrie fabrique du déchêts: la guerre à la Nature a remplacé, sinon complètement mais du moins entre les grandes puissance, la guerre entre les nations: nous nous détruisons indirectement de nos jours. C’est plus civilisé le poison, une violence qui passe inaperçue… Un autre aiguillon pour réveiller la lutte des classes? Difficile à conciclier avec l’abrutissement consuméristes des prolétaires modernes…
Tcheu!!! kesk’il avait fumé le vieil indien!!!! Tenir des propos fatalistes, selon mon humble avis, ne sert à rien. Pour reprendre les dires de peters « Chaque être humain reste seul maître de l’avenir qu’il réserve à cette belle planète !! » Il reste peu d’espoir et peu de chance face à la grosse machine qui s’est mise en route? Ce peu d’espoir, il faut l’amplifier et chacun monter sur les barricades. AGIR. Je me sens concernée, mais je ne sais pas comment m’y prendre. Si vous avez des tuyaux, je suis toute ouïe…
Cela fait longtemps que j’ai fait sécession. Etrange destin que celui de ce terme qui, à l’origine synonyme de sédition a pris depuis une Guerre fameuse, la première des âges, des armes moderne, préfiguration des grands conflits du XXe, une étrange valeur : on est vite suspect de faire sécession, de prétendre à son indépendance par réaction de classe, repli identitaire, refus des autres… Sacré Belges !
modernes… Sacrés belges
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Cela fait longtemps que j’ai fait sécession. Etrange destin que celui de ce terme qui, à l’origine synonyme de sédition a pris depuis une Guerre fameuse, la première des âges, des armes moderne, préfiguration des grands conflits du XXe, une étrange valeur : on est vite suspect de faire sécession, de prétendre à son indépendance par réaction de classe, repli identitaire, refus des autres… Sacré Belges !
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Au secoursssssssss !!! Un décodeur please !!!!………
Des mots, rien que des mots, même chez ces fumeux scientifiques. Ilsdevraient retrouver les livres de sciences scolaires d’avant 1970. Claude ALLEGRE l’a fait pour eux, d’une façon plus intellogente qu’Al Gore.
Qui peut m’accorder une contradiction, autre que verbale à l’article ci-dessous. Si vous n’avez pas compris sortez le site « Francis Rey – CO2″
EFFET DE SERRE – GAZ CARBONIQUE et OXYDE D’AZOTE.
Du mouvement perpétuel, au »bogue » de l’année, 2000, en passant par la pompe à chaleur, on est arrivé à l’effet de serre. « Des Scientifiques ont dit » c’est la locution préférée de nos informateurs pour propager les pires bêtises.
Les lois de la physique sont souvent difficiles à comprendre.
L’équation caractéristique des gaz les imagine parfaits.
Les lois de Dalton sont souvent mal assimilées.
Quand à la thermodynamique, elle est si mal perçue qu’au 21éme siècle on peut construire une merveilleuse chaudière atomique, mais ce n’est que pour faire marcher les machines de Denis Papin(1690) ou, mieux, de FULTON. Nos automobiles continueront encore longtemps à utiliser les inventions du 19éme siècle sous le nom de cycle de Beau de Rochas (1862), popularisé par le moteur à quatre temps. L’électronique, en l’améliorant, ne sera jamais qu’un cautère sur une jambe de bois.
Les Scientifiques de bureau ont encore beaucoup d’avenir dans leurs prévisions qui ne sont étayées ni par des mesures, ni par des statistiques, ni par des expérimentations sérieuses. Leur invention d’effet de serre, provoqué par l’accumulation du DIOXYDE de carbone (avouez que cela a plus d’allure que le gaz carbonique) dans l’atmosphère, les ferait recaler au Certificat d’Etudes Primaires s’il existait encore.
Sans aller jusqu’à un tel niveau de culture scientifique, limitons au cours moyen des années 1957 et suivantes, notre bibliographie.
Qu’ils essaient d’extraire le gaz carbonique accumulé au fond d’une cave de fermentation. Ils constateront que pour le soulever il faut complètement le pomper.
Qu’ils essaient, en soufflant dessus, de le maintenir en suspension dans l’air. Ils verront qu’il est si lourd qu’il retombe en se dissolvant dans la moindre goutte de pluie et dans bien d’autres choses encore.
A la pression atmosphérique un litre d’eau dissout un litre de gaz carbonique.
A « n » fois cette pression un litre d’eau va dissoudre « n » litres de gaz carbonique.
Imaginez ce que peut en absorber l’océan dans ses profondeurs.
Ce qu’en produisent les industries humaines est ridicule devant les volumes émis par les respirations, les fermentations, les éruptions volcaniques, les calcinations des carbonates de toutes sortes qui constituent une bonne partie de notre planète. Enfin, la consommation du gaz carbonique par les végétaux n’a jamais été mesurée, ni même estimée. Pourtant, c’est la seule source de carbone dont disposent les végétaux pour fabriquer de la cellulose. Vous imaginez tout ce qu’il en faut pour construire un tronc d’arbre.
Avant d’en faire le « vitrage » de notre atmosphère, il serait bon d’en mesurer sérieusement la réelle concentration en fonction de l’altitude.
Il en va de même pour ces fameux oxydes d’azote, du « trou » dans la couche d’ozone et de toutes ces billevesées qui ne reposent sur rien. En effet, nos statistiques sur ces questions manquent manifestement d’ancienneté.
Que dire de cette histoire de niveau des océans qui serait en augmentation ? Est-ce l’eau qui monte ou la terre qui descend ?
Nos misérables existences ont été, de tout temps, victimes de ces conformismes majoritaires, contre lesquels il faut lutter mieux que des moutons de Panurge.
Pour ceux qui doutent encore.
L’azote et l’oxygène sont intimement mélangés pour former l’atmosphère que nous respirons. Leurs densités différentes devraient les dissocier ? Pourquoi n’en serait-il pas de même entre le gaz carbonique et l’air ?
Constats qui ne sont pas des explications.
L’eau et l’huile ne se mélangent pas, l’huile moins dense surnage.
L’eau et l’alcool se mélangent en toutes proportions, malgré des densités différentes.
Pourquoi ? Si l’on ne veut pas être noyés dans un cours de physique, il faudra nous contenter d’une réponse d’adjudant :
« C’est comme cela parce que ce n’est pas autrement.»
Le gaz carbonique n’a aucune affinité avec l’air qui nous entoure. Au maximum, l’air peut en dissoudre trois volumes pour dix milles (3/10000). Au delà de cette concentration, il s’en sépare et « tombe » au fond où tout concourt pour qu’il soit absorbé par l’eau, mais aussi par d’autres minéraux et végétaux.
Il en va de même du fameux oxyde d’azote que nos automobiles sont accusées de produire à l’excès. Or, le véritable producteur d’oxyde nitreux, c’est l’électricité sous tension élevée. Bien sûr, on en trouve un peu aux électrodes des bougies d’allumage des moteurs à explosion.
Les aigrettes bleues qui s’échappent des isolateurs des lignes à haute tension en produisent un peu plus. Par temps humide, on en sent l’odeur, qui accompagne le grésillement sonore caractéristique. Il s’y mélange un peu d’ozone qui accentue l’odeur.
Tout cela ne produit pas grand-chose si on le compare à la puissance énorme de l’éclair en temps d’orage, capable d’en synthétiser des milliers de tonnes.
Ce gaz nitreux est une bénédiction pour la nature et pour l’homme. Sans lui, il n’y aurait pas de végétation.
On peut faire, les mêmes constatations avec le gaz sulfureux.
Gaz carbonique, gaz nitreux et gaz sulfureux, solubles dans l’eau, ne restent pas dans l’atmosphère. Heureusement, s’il n’en était pas ainsi la vie, ne serait pas possible sur terre : nous serions tout asphyxiés. Depuis le temps que l’on consomme l’oxygène de l’air pour faire des oxydations, sa teneur devrait diminuer si l’on poursuit le raisonnement de nos fameux « Scientifiques médiatiques ». On ne l’a jamais constaté et on respire encore.
Ces trois dioxydes se combinent à l’eau pour donner les acides, carboniques, nitreux et sulfureux qu’on ne peut pas isoler. Ce sont leurs solutions qui ont des caractéristiques acides.
Contrairement aux autres solutions, ces dioxydes voient leur concentration dans l’eau diminuer quand la température s’élève. Finalement, ils ont tous tendance à être absorbés par le sol.
Comment pourraient-ils provoquer un effet de serre ? Qui provoque réellement l’effet de serre ? comment le constate-t-on ?
C’est l’eau dans l’atmosphère qui est à l’origine des nuages. Les propriétés de diffusion des rayonnements par les nuages sont connues du bon sens populaire. Un ciel clair provoque le refroidissement nocturne de la terre. Un ciel nuageux, au contraire, protège des excès du soleil et de la déperdition des calories accumulées par la terre et les eaux.
Si l’on compare les masses d’eau nuageuse, avec les quelques gaz transparents, qui se diluent en quantités ridiculement petites dans l’atmosphère, on voit bien que tous ces gaz, soi-disant à « effet de serre », ne peuvent avoir aucune influence sur le climat de la planète.
Les gaz à effet de serre : canular ? Ou imbécillité ?
Il serait tellement plus satisfaisant que ce soit un canular. Comment analyser les causes réelles de l’imbécillité ?
Un essai de réponse est apporté par un chiffre.
Lorsque nous avons demandé à ces fameux « Scientifiques », correspondants attitrés de nos « Reporters », à combien ils chiffraient le réchauffement de la planète, depuis les années 1900, ils ont répondu :
« La planète a connu, au vingtième siècle, un réchauffement d’un demi degré centigrade »
Mépriser le calcul d’erreur à un tel niveau, est franchement scandaleux.
Comment mesurer des températures avec une telle précision ?
Les conditions de prise de température et les performances des matériels, tant au début du vingtième siècle que maintenant, permettent-elles d’être aussi affirmatif, pour prétendre que le chiffre donné est significatif.
Aucune élucubration statistique ne peut étayer une telle sottise.
Même le suffrage universel ne nous permet pas de nous protéger des « maries Chantal» scientifiques, qui ne sont pas moins dangereuses que leurs soeurs en Politique et en Littérature.
KYOTO ou la mondialisation de la bêtise.
Les activités industrielles humaines, en y ajoutant les autres occupations des sols, couvrent moins de dix pour cent de la surface terrestre. L’exploitation n’en perce l’écorce que sur une moyenne de quelques centaines de mètres. Les fourmis humaines sont bien prétentieuses quand elles prétendent modifier les climats, par leurs activités minuscules.
Accuser les Etats-Unis d’Amérique de tous les maux, c’est oublier leur territoire gigantesque.
Ramenée au kilomètre carré, leur activité industrielle et humaine est bien inférieure à celle de l’Europe.
On envisage pourtant, sans inquiétude, que la population du globe atteindra rapidement les dix milliards d’individus. Comme toutes les formes de vie, celle de l’homme disparaîtra noyée dans son caca. Dans la fosse morte universelle, quand les hommes verront le niveau des sanies atteindre leur lèvre inférieure, chaque nouvel arrivant provoquera la supplication unanime : « Surtout, pas de vagues ». Les plus grands seraient donc les derniers à disparaître ?
Cela ne sera pas la conséquence des émissions de gaz carbonique qui s’élimine automatiquement. La vraie source de nuisance et d’autodestruction tient dans une seule phrase de la genèse :
Croissez et multipliez
Il faut bien que les choses s’arrêtent un jour.
Le réchauffement climatique :
« Sans effet de serre, comment faire pour expliquer le réchauffement climatique ? »
J’ai déjà dit combien nos statistiques et la précision de nos mesures, dans le temps, étaient insuffisantes pour prouver que le climat se réchauffait. Nos pauvres mémoires sont si courtes qu’elles ont oublié les mois de juin torrides pendant lesquels on « faisait les foins ». Elles ont aussi oublié les étés « pourris », froids et humides avec les récoltes qui pourrissaient sur pied, les épouvantables sécheresses qui décimaient les troupeaux. Pensez donc qu’en 1947 et en 1959 les vignes du Nord ont produit et conduit à maturité des raisins bien sucrés. A Melun le bananier du jardin public a produit un splendide régime de bananes parfaitement comestibles.
Ces années-là, les vins étaient méconnaissables. Ils étaient si généreux que cela cachait leurs terroirs. Les vins blancs avaient tous le goût de Xérès espagnol et, en Champagne, ils étaient inaptes à la seconde fermentation appelée prisez de mousse. Il fallait les couper (on dit assembler cela fait plus noble) avec des « piquettes » des années antérieures.
Les vents étaient alors autant de Sud-Ouest que de Nord-Ouest, les tempêtes aussi. On ne parlait pas encore de réchauffement climatique.
« Mais, cher Monsieur, sans épiloguer sur les mesures thermométriques que vous contestez, la régression des glaciers, la fusion des glaces polaires sont bien en rapport avec une évolution du climat qui ne trouve d’explication que dans l’effet de serre, universellement reconnu. »
Les glaces qui fondent sont une réalité. Alors ! Qui les réchauffe ?
Le sens des proportions :
Il faut remettre les grandeurs à leurs places qui sont toutes relatives. Le monde vivant occupe une « pellicule » du globe terrestre bien mince : à peine un pour mille du rayon de le terre. En volume, cela ne représente que trois pour mille de notre globe. Ramenez cela à un beau pamplemousse de cent millimètres de rayon, cela représente péniblement un dixième de millimètre, soit la peau d’une pomme de terre nouvelle.
L’astronomie ne signale pas des mouvements du soleil, ni des émissions calorifiques inhabituels. Par contre, les tsunamis, éruptions volcaniques et tremblements de terre se sont distingués ces dernières années. Quand on pense aux sources chaudes d’Islande et d’ailleurs et qu’on observe que les glaciers et les banquises fondent surtout par la base, on peut se demander si ce n’est pas la croûte terrestre qui laisse transpirer un peu plus du feu central si mal connu.
Une campagne de mesures de la température des sols, tant sur la terre qu’au fond des océans, permettrait d’émettre des hypothèses moins philosophiques que l’effet de serre. Cela prendra du temps et, dans l’attente, on entendra encore de belles âneries.
Enfin, l’histoire est là qui nous apprend que les vikings appelaient VINE LAND ce que nous appelons encore GROELAND, malgré les glaces et les névés qui recouvrent ce territoire.
On peut regretter que nos formations intellectuelles nous spécialisent trop en nous enlevant la capacité généraliste de raisonnement scientifique et technique. Les sociétés et académies savantes ont bien failli à leur mission.
Dinard le 17 Février 2001 –
François TATARD – 18 rue de l’isle célée
Arretons de critiquer un homme qui porte la vérité. Rapelons nous que sans ce genre d’homme, elle ne serait pas révélée et que l’ignorance nous ménerait tous droit dans le mur!!!
Votons réflechit… http//www.lafranceenaction.com
tout simplement, avec un peu d’espoir tout de meme…
mr. tatard doit surement rouler avec un gros 4×4 bien goumand et ce dire que tout cela est foutaise donc autant ne rien faire puisque l’homme n’est en rien dans le rechauffement climatique ,ce genre de reflection est seulement la pour semer le doute et pour eviter d’agir c’est tellement plus facile!salut .
Moi aussi je viens de voir ce film qui est super, mais je ne me rapelle plus qu’elles sont les trois principaux responsable de l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère ?
Répondez moi, s’il vous plait.
Merci.
bonjour,je vien de le matter bin sa laisse un froid quand même ce documentaire il est temp de faire quelque chose pour nos enfants et petits enfants !!!
regarder googlemaps… il manque quelque chose sur le planisphére… des glaçons peut-être ! ! !
pour une fois qu’un gars fait le forcing pour nous ouvrir les yeux! Bravo al gore toi au moins tu te bouges et tu ne fais pas que crtiquer. Proposez des solutions au lieu de vous faire bander à critiquer.
Moi je propose qu’on mette déjà tous les maxi budget pour l’eau ‘de l’eau potable publique pour tous ».
Ensuite apprenons à l’école, à nos enfants à bien manger et expliquons leur tous les éléments du film.
bonjour tout le monde,
je viens de voir le film, et je le trouve super intéressant pour la simple raison que le quotidien nous prend tout notre temps et nous laisse pas penser à des choses sans lesquelles ce quotidien n’aurait pas existé.
en fait, j’ai jamais pensé au sac en plastique qu’en tant de moyen de transporter de conserver… mais pas plus je me suis jamais dite où ira t’il? que deviendra t’il?… c’est une irresponsabilité inconsciente
aujourd’hui, j’ai envie de faire quelque chose… je sais pas quoi mais je suis CONSCIENTE du danger
je m’en fou si AL GORE veut se faire de la pub de l’argent veut… mais l’essentiel c’est que le message est passé et pour une large audience.
Soyons positifs, et faisons de notre mieux pour que le cercle de prise de conscience s’élargisse.
Je suis entièrement d’accord avec monsieur Tatard pour une chose: nous allons nous asphixier sous nos merde. Le principe de décroissance durable est là pour prévenir cela aussi. Pour ce qui est du reste je serais bien incapable, n’ayant eue que des cours de sciences humaine, d’argumenter. Mon sentiment est qu’il vaut toujours mieux appliquer le principe de sécurité. On a un doute? Alors prenons des précautions. L’économie ne va pas s’effondrer si on fait les bons choix. Osez changer…Et vivre plus simplement.
il faut que lon fasse quelque chose meme un pti geste !!
je vé avoir 15ans et je veux que lon fasse bouger le choses
Voici un article sur les fondements scientifiques du film d’Al Gore « Une vérité qui dérange » avec des liens explicatifs :
[url=http://spqr7.wordpress.com/2007/04/05/une-verite-qui-derange-un-maladroit-mensonge/%5DUne vérité qui dérange : un maladroit mensonge[/url]
Bonne lecture.
spqr est un site de droite pronant sarko tu pourrais prévenir cel
Bonjour,
Je suis étonné par le si peu de consistance du texte de Laure » Rédigé par Denis Delbecq le 05 juillet 2006 à 23:55 | Lien permanent ». Ce texte est nuisible.
Avant de critiquer, il faut se renseigner ! Ce n’est manifestement pas ce qui a été fait. Les écrits de Laure sont dangereux. Le plus triste, c’est qu’elle n’en a probablement pas encore conscience.
Ecrire des articles n’est pas qu’un effet de style, c’est aussi une recherche de la vérité et une évaluation au mieux de nos propres capacités à conclure.
Laure, voici de quoi te documenter de manière scientifique sur le sujet (tu verras, c’est très abordable). Si tu as bien suivi le film d’Algor, alors tu devrais y retrouver l’idée de base du film, sur quoi tout se repose, et d’une importance capitale. S’il y a à faire des critiques, c’est sur ce sujet là !
http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier36-3.php
vous ete un remarcable scientifique si je pouvait je vauterait pour vous
Sauf que tout ce qu’il dit va se produire si on ne reagit pas et qu’il a totalement raison. Et c’est peut etre un des seuls a si consacrer a fond pour le futur de notre planete. Alors je pense qu’on a d’autres choses a faire pour le moment que de critiquer une personne qui essaie de nous faire prendre conscience sur le rechauffement planetaire et sur les futurs catastrophes climatiques.
Il faut un peut regarder la verité en face, et se dire que si la planete est foutue c’est a cause de nous, et que maintenant rien n’est irreparable, que de toute facon ca va se produire, mais si on peu au moins faire un petit ( petit ? Que dis-je ? GROS )effort pour ralentir les evenements futurs et bien faisons le et maintenant. De toute maniere les gens d’aujourd’hui s’en contre fiche de sa, puisque c’est pas eux qui vont crever dans un cyclone ou noyer.
Mais apres ce sera les futurs generations qui diront » Mais qu’est ce qu’ils ont foutus les generations d’avant ? » J’aimerais etre la quand tout le monde dira sa et je rigolerai de tout ce qu’on a pu louper a cause de personnes egoistes.
On s’en fiche qu’il se la joue a l’americaine ou qu’il met en valeur ses problemes de familles.
On s’en fou de tout sa. Le principal c’est qu’on arrive a prendre conscience de notre futur, et c’est grace a des personnes comme lui que maintenant la mentaliter des gens changent et essaie d’avoir d’un autre point de vue sur le futur.
Apres chacun critique le film comme il le souhaite… D’autres gens prefere critiquer la personne plutot que le sujet qu’il a exposer dans son film.
Bravo!!!
Emma.
L’intoxication mentale mondiale
A la fin du 18° siècle et au début du 20°, circulaient des hypothèses farfelues pour expliquer l’incompréhensible. On notera :
– le fluide calorique que les lois de Joule vont anéantir mais qui restera dans les esprits littéraires pour faire croire à la pompe à chaleur aux rendements supérieurs à l’unité.
– Le mouvement perpétuel pour lequel il faudra attendre le début du 20° siècle pour voir refuser les brevets par l’Institut de la propriété industrielle.
– La génération spontanée que seul le grand Pasteur réussit à éradiquer.
– L’effet de serre provoqué par des gaz erratiques particuliers ce qui entraînait la notion de lévitation des gaz lourds par convexion, dilution et courants d’air.
De nos jours ne subsistent de ces ragots d’ignares, que la pompe à chaleur et l’effet de serre.
De ces deux là, seul l’effet de serre connaît une exploitation commerciale en devenir. Cette exploitation est concentrée sur le gaz carbonique qui nourrit nos végétaux, avant de nourrir les hommes et les animaux.
Comment gagner de l’argent avec le gaz carbonique ?
La Société l’Air Liquide, un de nos meilleurs placements boursiers dits « de père de famille », vous communiquera les cours de vente au détail du CO2 comprimé dans des bouteilles d’acier.
Le CO2, sans être rare par rapport à la demande, ne se trouve pas disponible n’importe où. On peut le récupérer, assez propre, dans les cuveries de fermentation. Moins pur, vous le trouver sortant des sols volcaniques. Alors, direz-vous, pourquoi ne pas le prendre là où il est sensé provoqué le réchauffement climatique en vitrifiant notre atmosphère, par convexion ou dilution ?
Parce que à raison de trois litres de CO2 pour 10000…litres d’air ce n’est pas une mince affaire. Rendez vous compte ; C’est comme s’il vous fallait trouver trois billes noires insérées dans un tas de neuf mille neuf cent quatre vingt dix sept billes blanches, du même diamètre. C’est ce qu’on appelle chercher une aiguille dans une botte de foin.
« Mais ! Monsieur ! Vous n’allez pas me faire croire qu’il n’y a que trois billes noires dans près de dix mille billes blanches pour changer le climat. Il y en aurait-il le double, soit 200% que cela ne changerait rien à la chose. Donc vous me mentez et les « scientifiques » du GIEC rectifieront vos mensonges »
« Ah bon ! Vous ne voulez pas me croire parce que vous ne voulez pas apprendre les propriétés des gaz ? »
« Non Monsieur ! Je ne vous crois pas parce que vous n’êtes pas le patron du CNRS, ni de l’ADEME. Tous les dirigeants politiques le confirment. C’est même écrit dans les journaux »
« Alors si c’est écrit dans le journaux c’est que c’est vrai. Donc, désormais vous paierez pour récupérer un gaz que les autres vendront »
« Non Monsieur « ils » ont déjà commencé à le stocker dans la terre et ce n’est pas pour le vendre »
« Ah Bon ! Mais dites-moi : j’ai besoin de l’échelle ; Tenez bien le pinceau.
Des dérives encore plus graves : les biocarburants
« Parfaitement, les journaux le disent : la France st toujours en retard, même sur le Brésil qui roule au sucre de canne. Pardon à l’éthanol »
« Détrompez-vous cher Monsieur et un peu de patriotisme ! Que diable ! En effet, dès 1938 la France carburait à l’alcool et pas seulement dans le pinard et le pastis. Les excédents vinicoles et les marcs des vendanges étaient distillés. Ce n’était pas une mesure économique, mais politique, si on ne voulait pas voir le Sud vinicole se révolter avec violences. C’était déjà arrivé. Cet alcool était additionné à l’essence pour livrer un carburant au rabais appelé CARBURANT NATIONAL. Il était considéré, à juste titre, comme une belle saloperie. La consommation augmentait, le moteur peinait, n’avait plus de reprise, d’autant plus que les véhicules français étaient sous-puissants donc d’un très mauvais rendement, puisqu’il fallait les pousser à leurs limites. Vous voyez qu’on n’a pas attendu les Brésiliens et qu’on en a tiré une leçon qu’ils tireront plus tard à leur tour »
Ce qu’on a fait en 1938 pour nos vignerons, l’Etat moutonnier s’apprête à le refaire pour nos betteraviers, enfants gâtes du blocus continental napoléonien. On va même l’étendre à toute l’agriculture en comblant les jachères imposées par l’EUROPE de Bruxelles.
Intoxications financières
Quand les services de l’Etat prétendent chiffrer leurs projets insensés, la même démarche les conduit à truquer tous les chiffres et de refuser de comparer ce qui est comparable.
Ainsi des biocarburants dont le prix de revient hors taxes est comparé au prix de l’essence à la pompe.
Ainsi des éoliennes qui s’amortissent sur un prix du KWH supérieur aux prix du KWH payé par l’abonné à l’EDF. Ce cadeau qui leur est fait est payé par le consommateur.
Curieuse démarche de la pensée universelle. Nos « Marie Chantale » de l’écologie nous bourrent le mou avec l’appui des médias. Incapables de faire un simple calcul énergétique ou financier ils plaident pour éradiquer la « faim dans le monde » en conseillant aux affamés de produire un mauvais carburant plutôt que de la nourriture.
Il y a quelques années, la presse spécialisée dans le sensationnel, pseudo scientifique, celle qui répand les âneries de l’effet de serre, claironnait qu’on avait réussi à extraire ou synthétiser des protéines à partir du pétrole. Les mêmes plaident, maintenant, pour transformer notre nourriture en carburant. Il faut vraiment que le lecteur ait une toute petite cervelle pour ne pas s’apercevoir qu’on se « paie sa tête ».
Gille de Gennes vient de mourir. Sa grande âme n’aurait pas admis ces supercheries. Mais il n’est pas seul à refuser de suivre les papagalos de l’écologie officielle. Malheureusement, il y a tant de craintifs qu’on est pas à la veille de les entendre.
LA DAME DE L’ADEME ET LES BIOCARBURANTS
Superbe exemple de parité administrative, la dame de la Dème, est en tous points conforme au modèle masculin dans les domaines techniques, comptables et fiscaux. Même inculture soixante huitarde, même langue de bois, même refus de l’évidence et des réalités physiques et financières.
Elle pérore sur les ondes autant sur le bluff de l’effet de serre que sur les biocarburants. Dans sa dernière intervention elle a expliqué que l’éthanol n’a pas les mêmes propriétés que l’alcool dit « éthylique », surtout quand, mélangé à l’essence, il devient du bi ou du diéthanol.
Selon cette dame, non seulement on sauverait l’agriculture betteravière, mais on réduirait les émissions de gaz carbonique et on ferait des tas d’économies.
Pour bien répondre il faudrait aligner des chiffres et ça, c’est fatigant à lire. On peut essayer de les remplacer par des mots.
Des labours à la pompe
Avant de sortir « l’éthanol » de l’alambic, il y a eu du travail et des dépenses d’énergie considérables.
Le tracteur qui laboure, sème et engraisse pour finir par arracher puis transporter aux camions qui continuent vers la « sucrerie » reconvertie en distillerie. Cela représente une bonne quantité de carburants. Si l’on y ajoute tout ce que consomme l’usine AZF pour produire les ammonitrates qui engraissent les terres à betteraves on obtient beaucoup de calories.
On n’a pas fini. L’usine va laver triturer malaxer, chauffer et pressurer pour sortir le jus fermentescible chargé de saccharose (le sucre). Même, si les levures travaillent sans salaires ni syndicats, elles vont consommer 33% du carbone pour produire le gaz carbonique qui fait pétiller le champagne, et les yeux de nos dames.
Ces levures vont produire de l’alcool, jusqu’au plafond de leur empoisonnement qui se situe à environ 15%, dans les mélasses, diluées en conséquence. Comme quoi les levures sont moins fragiles que les hommes qui n’en supportent que moins d’un demi pour cent de leur masse, avant le coma létal.
Ce n’est pas encore fini, car, le mélange eau alcool, limité à 12° pour des questions de productivité, devra être distillé de manière à éliminer 84% d’eau par évaporation. L’énergie nécessaire se calcule très facilement, mais il est encore plus précis d’utiliser les chiffres globaux de la comptabilité analytique de la production. En tout, il aura fallut plus d’un litre d’équivalent pétrole pour produire un litre d’alcool et il faudra 1,56 litres d’alcool pour donner l’énergie d’un litre d’essence.
Bien entendu, en brûlant ce coûteux produit, on va encore produire du gaz carbonique, ce qui devrait faire de la peine aux illusionnistes des gaz à effet de serre.
Si on raisonne, sans tenir compte de la fiscalité, comme le fit notre Ministre frisé de l’économie et des finances, mal « instruit » par son service des douanes, on peut produire l’illusion, si c’est le but cherché.
Si on est une Directrice de l’ADEME gouvernementale compétente, on doit enquêter auprès des distillateurs, analyser les comptabilités et conclure sur la comparaison de choses comparables.
Lors de sa conférence radiodiffusée sur ce sujet, le Capitaine au long cours HADDOCK (de la section Flandres-Artois en Belgique) qualifiait l’alcool d’ « ennemi du marin ». Il aurait pu ajouter « ennemi du contribuable »
Que reste-t-il de ces élucubrations avec si peu de chiffres ? Seulement la conclusion du vieux paysan :
« Si c’est pas malheureux de brûler de la nourriture »
Va-t-on encore nous parler de FAIM DANS LE MONDE ?
Pour ceux qui aiment les calculs
On retiendra les masses atomiques suivantes qui servent de base de tous les calculs : C=12 – O=16 – H=1
On notera ainsi que le sucre C12H22O11 voit sa « mole » peser : 342 grammes qui, en s’hydrolysant, vont donner 2(C6H12O6) de glucose d’une masse de 360 grammes.
A son tour la mole de glucose va fermenter en libérant 2 moles d’alcool éthylique (C2H5OH) et deux moles de gaz carbonique CO2.
En résumé on calcule facilement que 46 grammes d’alcool, avant d’être brûlés dans les moteurs, ont déjà produit 44 grammes de CO2
En brûlant, ces mêmes 46 Gr d’alcool vont encore produire 88 Gr de CO2
Soit au total 3X44 = 132 Gr de CO2 taux d’émission de CO2 132/46 = 2,87 Gr par Gramme d’alcool
L’essence, qu’on peut comparer au benzène par défaut et par précaution, a pour formule C6H6 donc une masse molaire de 78 grammes qui vont produire 264 grammes de CO2 donc taux d’émission de CO2 :
264/78 = 3,38 grammes par gramme d’essence
Or il faut 1,56 grammes d’alcool pour produire l’énergie d’un seul gramme d’essence ce qui remonte le, taux de CO2 de l’alcool à 2,87 X 1,56 = 4,48.
Vous voulez plus simple ?
1)- pour équilibrer les masses entre l’alcool et le benzène on appliquera à l’alcool le cœfficient :
78/46 = 1,696
2)- pour équilibrer les pouvoirs calorifique on multipliera ce chiffre par 1,56 soit :
1, 696 X 1,56 = 2,646
Aux 6 CO2 produits par la combustion du benzène on opposera les 3 X 2,646 = 7,94 CO2 de l’alcool.
Conclusion : 7,94/6= 1,32 à l’avantage du benzène.
L’ALCOOL GENERE AU MOINS 1,32 FOIS PLUS DE CO2 QUE NOS CARBURANTS
Si l’on ajoute à cela tout le CO2 produit en amont pour fabriquer le sucre, nul doute que les déchets de CO2 émis avec l’alcool dépassent plus que largement ce qu’on obtient avec les produits pétroliers.
Rendez vous sur internet et regardez les élucubrations verbeuses et abondantes de l’ADEME sur le sujet. On dirait la constitution giscardo-européenne adaptée aux disciplines scientifiques.
Par un écran de fumée dialectique on assiste à une démonstration visant essentiellement à faire croire à la bonne affaire.
Comment de superbes hauts fonctionnaires, issus des prestigieuses écoles de la république, comme Sciences Po ou l’ENA, peuvent-ils prendre ainsi les braves Français pour des imbéciles ?
Propager des idioties comme les gaz à effet de serre ; la pompe à chaleur (ça c’est polytechnique (voir SIROTA et l’Inspection des finances) n’est pas digne d’un pays qui, par le passé, fut à l’avant-garde des sciences.
C’est ainsi qu’on voit le triomphe d’AIRBUS (avions fabriqués à l’envers des saucissons) finir dans une panade financière incroyable et la liste est longue des fantastiques gaspillages qu’on doit à la malhonnête inculture de nos dirigeants.
Les Paniquards intéressés
Qui sont-ils ?
On les appelle des « scientologues ». Façonnés à la sauce enseignante de 1968, ils ont été formés aux disciplines abâtardies par les débauches sémantiques des fameuses mathématiques modernes, censées ouvrir à tous l’accès facile aux sciences. On les appelle météorologues, climatologues, astrologues, tous adeptes des sciences divinatoires.
De leurs études, ils ont retenu des formules sans comprendre ni essayé de comprendre les sciences qu’on leur enseignait si mal.
Cela a commencé dès l’école primaire. Il suffit de comparer les vieux livres de « leçons de choses » d’avant et d’après 1968.
A ces ectoplasmes de scientifiques on a donné des chefs formés à Science Po et Normale Sup dans les disciplines littéraires rénovées à l’ENA par un vernis de droit public.
Une campagne gigantesque, mondiale, d’intoxication, a été lancée avec toute la puissance des médias. Que ce soit pour un motif charitable ou salvateur, un seul but : des crédits, du pognon. Pourtant, tout ce qui avait été découvert aux siècles précédents l’a été sans ces fameux crédits.
De CROZEMARIE à nos grands patrons du CNRS jusqu’à ce Ministre surnommé « le docker de Somalie », il n’y a pas loin. L’important n’est pas de posséder mais de disposer. Voyages, voitures, hôtels de luxe Etc.…
Oui ! Mais la recherche a besoin d’argent ? Comment utilise-t-elle cet argent ? Lisez les bilans, ceux des officines de recherche et ceux des professionnels de la charité. Recomptez ce que dépensent les fameux Chefs Chercheurs ou Présidents charitables dans le « tourisme universitaire », dans les « séminaires », « colloques » « voyages d’études ». Ces gens-là se feraient sodomiser pour un billet d’avion, une note de frais, car, ces manifestations se font de préférence dans les hauts lieux du tourisme, le plus loin possible sous les tropiques. Ou alors, on leur paie de beaux bateaux, croisières à la clé.
Déjà, la République, dans le passé, a financé ce type de tourisme scientifique « bidon ». On a encensé Charcot, médecin allergique à la médecine, yachtman refoulé, navigateur approximatif, auto proclamé Commandant, et son inutile POURQUOI-PAS, financé par le contribuable et naufragé avec lui. ESTIENNE a repris le flambeau. L’océanographie est aussi un prétexte à de bien belles croisières.
Pour entretenir la pompe à finances, rien de tel que de flanquer la panique. Quand il a la trouille, le contribuable est bien plus malléable ? Pour cela, on va chercher dans le showbiz, les HULOT, les BARNIER,…. Ils sont légion à courir après la manne électorale et ses prébendes. Sans chercher bien loin, on en trouve aussi à l’Académie des Sciences, de toutes les sciences, de tous les pays du monde.
« Pigeons de tous les pays: unissez-vous…Et payez »