L’idée m’a été soufflée par un fidèle lecteur. A vrai dire, l’information m’avait échappé, tout affairé que j’étais à préparer ma lecture pour l’Université de printemps de climatologie. Mon collègue Stéphane Foucart du Monde a relaté des travaux publiés dans Nature Geoscience, qui tendent à montrer que la disparition rapide des mammouths il y a environ 13000 ans a pu jouer un rôle sur le climat, en réduisant les émissions de méthane. Travaux peu convaincants, à vrai dire, mais qui suggèrent à notre lecteur Alain G. une piste pour comprendre le climat du futur: étudions les intestins du dernier mammouth survivant à notre époque, notre ami Claude A., le maître de l’imposture climatique. Car on se sait jamais: s’il émettait du méthane à chaque fois qu’il éructe sur les scientifiques du GIEC, notre avenir climatique en serait chamboulé.
2010-06-10
Excellent, quoique terrifiant….
Il y a vraiment des individus (scientifiques ?) qui sont payés pour s’intéresser aux pets de mammouths et à leur influence sur le climat ? Le 01 avril est passé…
Il faut bien vivre, certes, mais j’espère que ce n’est pas aux frais de la collectivité …
Pourrait-on dire que votre remarque s’apparente à de l’obscurantisme ?
Si vous voulez.
De la même manière au Moyen-âge des théologiens ont passé des années à discuter du sexe des anges. Ca les a occupé.