Un virus informatique sous la peau, ça ne s’invente pas

Ainsi donc les humains peuvent transporter des virus informatiques. C’est ce qu’a expliqué un universitaire britannique qui s’est injecté un implant pour franchir les portes de son laboratoire. Le chercheur avait ajouté un virus de son cru, qu’il est parvenu à refiler à son PC quand celui-ci a lu, sans contact, le contenu de sa puce à radiofréquences (RFID). Il espère rester dans l’histoire comme le premier homme contaminé par un virus informatique. Au fait, il y a un moyen très simple d’éviter qu’il soit le premier d’une longue lignée: il suffit d’éviter de s’infliger une capsule RFID sous la peau. Facile, non?

2 commentaires

  1. Je vous le dit, 2011 sera l’année des RFID, et on se servira de son téléphone portable pour les activer.
    Quant au virus, je ne sais pas s’ils vont sauter les fréquences pour polluer vos portables.


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