Le bio est-il l’ennemi du bien?

Voilà des travaux qui vont faire parler d’eux. Dans la dernière livraison de la revue scientifique PLoS One, un groupe de chercheurs canadiens aurait démontré que des pesticides «bio» utilisés pour le soja ont parfois un effet plus néfaste pour l’environnement que des molécules de synthèse de conception récente.

Quand un pesticide est peu efficace, on a tendance à en déverser plus pour lutter contre les parasites, ce qui peut entraîner des effets secondaires accrus pour l’environnement. C’est en gros la conclusion à laquelle sont parvenus les chercheurs canadiens qui se sont penché sur la lutte contre un ennemi du soja, après avoir étudié des champs infestés à l’aide de quatre formules de pesticides de synthèse, et deux produits agréés au Canada pour la culture biologique. Et si en terme de rendement de production les écarts sont minces, les scientifiques ont observé une nette différence dans la capacité des pesticides à éradiquer leur cible.

Mais il y a quand même des trucs qui me chiffonnent dans ces travaux. D’après ce que j’en ai compris, les chercheurs n’ont pas vraiment regardé l’impact environnemental des molécules, organiques ou synthétiques, dans les parcelles étudiés. Contraints de déverser plus de produit bio pour obtenir la même efficacité, et à partir d’indices environnemental (EIQ) tirés pour chaque produit d’une base de données, et des quantités déversées, ils en déduisent que les pesticides bio seraient autant ou plus néfastes que les pesticides chimiques étudiés. Autre point d’interrogation: comme l’exigent les règles en vigueur à PLoS One, les chercheurs ont déclaré les sources de financements qui leur permettent de travailler. Pour cette étude, elles sont exclusivement publiques, mais les deux laboratoires de recherche concernés travaillent aussi par ailleurs avec l’appui des géants de l’agrobusiness. Comme Bayer Cropscience, Monsanto, Pioneer, Dow Agrosciences, BASF, Syngenta, DuPont et j’en passe. A quand une étude plus poussée, et conduite par des chercheurs du secteur public qui n’ont jamais reçu un kopeck de l’industrie agroalimentaire?

74 commentaires


  1. Bonjour,

    Comme on part d’une mauvaise hypothèse, on est sûr d’arriver à la bonne conclusion 🙂
    La question n’est pas s’il les « pesticides bio » sont pires ou meilleures que les pesticides non-bio. la question est, pourquoi planter du soja au Canada, si ce n’est pour entretenir un élevage bovin intensif.

    Supprimez l’élevage intensif, plus besoin de soja ni de pesticides bio.

  2. Assez pitoyables les efforts de l’agrobusiness pour décrédibiliser le bio !
    Cette étude est biaisée bien sûr..

    Qui a dit qu’il fallait utiliser des pesticides, même bios ?
    => c’est la mauvaise gestion des terres et la monoculture à outrance qui rendent les plantes affaiblies et diminue la biodiversité …

    (voir par ex http://fr.wikipedia.org/wiki/Permaculture)

  3. Encore mieux. Un des deux ‘pesticides bio’, c’est de l’huile minérale (la mierda qui coule de source dans le Golfe du Mexique), avec un impact biologique 10x plus fort que tout le reste.

    L’autre c’est un champignon (parasite, je suppose).

  4. @ toxymoron Si on supprimait aussi beaucoup de consommateurs de bœuf élevé de façon intensive, on aurait encore un bien meilleur résultat! On supprimerait du même coup la nécessité de cultiver du soja au Canada. Moralité: il faut réduire la population de carnivores sur la planéte. On resterait entre écolos…c’est à dire entre gens bien! — Quant à Thinkgreen, j’ai comme l’impression qu’il passe beaucoup plus de temps devant son ordinateur que derrière un tracteur. S’il faisait pousser seulement quelques légumes sans aucun pesticide dans son jardin, il changerait d’opinion. Décidément, vous, les écologistes, supportez difficilement la contradiction.

    1. idem pour moi, potager sans pesticide, et AMAP pour le reste…

    2. Bonjour,

      Pourquoi toujours les gros mots. Les Français moyen consomme 4x plus de viande qu’il y a 40 ans. Est-il vraiment 4x plus heureux?

      Et regardez le rayon laitages, dont on n’a strictement aucunement besoin – sauf pour se faire des menus plaisirs (j’excclue dans le « on » ci-dessus les jeunes de moins de 16 ans). Et tout ce lait, cela nécessite des vaches, du soja OGM, du maïs arrosé, des camions sur la route, … On finit par les payer cher, nos menus plaisirs.

      1. M.Toxymoron, ne seriez-vous pas un peu extrémiste sur les bords? —  » le rayon laitage dont on n’a strictement aucun besoin ».. Comme vous y allez! ..Même avec l’exception des moins de 16 ans (merci de la précision, mais tous les hommes ne sont pas forcément tous formatés sur Votre modèle), vous ne mangez jamais de fromage, vous? Ni sauce béchamelle pour accompagner vos blettes ou vos épinards? Ni purée au lait? Ca doit être triste, la cuisine, chez vous! C’est avec des arguments de ce type que vous allez renforcer le rejet de l’écologie par les « gens de bonne volonté », qui vont considérer vos positions comme révélatrices d’une tendance au totalitarisme. Ce serait dommage. L’écologie est une chose sérieuse. Trop sérieuse pour la confier aux écologistes diront certains.

      2. Bonjour,
        Vous ne confondriez pas par hasard laitages et produits laitiers?
        Vous faites exprès ou c’est juste de la mauvaise foi?

      3. Bonsoir,
        Les partis écologiques ne devraient même pas exister. Le respect de l’ environnement devrait être une valeur évidente et intégrée par tous, du plus petit facho au plus grand humaniste.

  5. Bonjour mano,
    personellement j’ai un potagé où je n’utilise aucun pesticide, qu’il soit chimique ou biologique. le travail avec le vivant est très gratifiant.
    de plus je suis dans une AMAP qui n’utilise pas non plus de produit chimique.

    il est possible d’avoir plus d’info sur :
    http://aupetitcolibri.free.fr/EcolieuAUPETITCOLIBRI.html

    Cordialement

  6. Bravo à Toxymoron et Thinkgreen !
    Effectivement, des « pesticides bio » c’est bizarre… le vrai BIO n’utilisant pas de pesticides !!!

    Quand à la Bidoche, aux « vacheries » et autres « cochonneries » 😮 là encore c’est exact :
    PAS BESOIN DE VIANDE NI DE LAITAGE POUR VIVRE EN BONNE SANTÉ…
    BIEN AU CONTRAIRE : S’EN PASSER N’EST PAS SEULEMENT MIEUX POUR LES ANIMAUX EUX-MÊMES ET POUR NOTRE PLANÈTE….
    MAIS AUSSI POUR NOTRE PROPRE SANTÉ !

    DANS MA FAMILLE ON EST « VG BIO » DEPUIS PLUSIEURS GÉNÉRATIONS, ET FRANCHEMENT, ON A LA SUPER FORME (ET SANS MÉDECINS !!!)
    (Voir notamment notre site http://agnvswebmestre.free.fr/ )

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    1. Tant mieux pour vous et votre famille. Félicitation. La mienne n’est pas « VG BIO » depuis plusieurs générations et s’en porte trés bien aussi….
      Un bon foie de veau avec une lichette de beurre salée sur du pain frais… c’est un régal. Si vous n’aimez pas ça, c’est votre droit mais ne nous faites pas croire que vous allez sauver les hommes (voire la planète ou le monde…) avec ça.
      Ce genre d’intolérance agressive (Bidoche, vacheries) est proche du fascisme du genre « moi je sais ce qui est bon pour la planète et je ne tolère pas que les autres ne fassent pas comme moi ». De plus, il n’y a pas besoin de crier en majuscule tout le long pour se faire entendre sur ce blog.

      Meilleures Pensées également….

      1. Eh ben… les grands mots tout de suite : pourquoi me taxer ainsi « d’intolérance agressive » ?
        J’en vois certes chez vous GML, mais rien dans mes propos ne pouvait être qualifié « d’intolérant » et encore moins « d’agressif » !
        Ah, le mot « Bidoche » peut-être ?
        Rien d’intolérant ou agressif là dedans : « BIDOCHE », c’est juste le titre du dernier livre de Nicolino…
        Et aussi un mot qui désigne les cadavres que vous mettez dans votre assiette – alors qu’il n’y en a pas le moindre besoin vital, c’est juste pour faire jouir égoïstement votre palais, rien d’autre !
        Que vous refusiez de l’admettre prouve simplement que VOUS, vous êtes agressif et intolérant. La preuve, vous me traités de fasciste alors que je ne fais que défendre la Vie et la santé, alors que vous, c’est la mort et le meurtre systématique que vous défendez !

      2. Attention, manger de la viande est vital pour les gens ayant besoin de beaucoup de calories rapidement assimilables pour lutter contre le froid par exemple. Sans viande, les inuits et autre peuples sibériens ne seraient plus là depuis belle lurette !
        Pour ma part, je mange du poulet une fois par semaine et rarement une bonne petite entrecôte de vache pyrénéenne, qui a transhumé, humé l’air frais des montagnes, brouté les pâturages à souhait, un peu de thym de temps en temps !

      3. Erreur !
        Beaucoup d’Athlètes et de « travailleurs de force » sont végétariens – voire même végétaliens ! – et n’ont aucunement besoin de protéines carnées !!! (Celles des fruits, légumes et céréales suffisent amplement)

        Le problème des Inuits – d’origine, car aujourd’hui c’est différent, ils se déplacent à moto-neige pour aller chercher leur steack de boeuf sous cellophane au supermarché local – n’est pas qu’il devaient manger de la viande pour résister au froid…. mais qu’ils n’avaient quasiment rien d’autre à manger !!!

        Contrairement à ce que disait notre climato-sceptique qui m’accusait carrément de fascisme agressif… je suis très tolérant avec les individus (j’ai des amis « viandards » – qui connaissent évidemment ma position sur le sujet – mais avec qui je mange pourtant régulièrement en parfaite cordialité (cela dit, ils en mangent de moins en moins au fil du temps qui passe :o)… mais pas avec les mensonges… et surtout les faits :
        Manger de la viande est juste un non-choix : dans notre société actuelle, c’est plus simple d’être viandard que VG.
        Manger de la viande n’est pourtant pas nécessaire, ni pour se nourrir, ni pour être en bonne santé (ce serait même plutôt l’inverse).
        De plus, c’est un mode alimentaire qui nécessite de « faire » tuer chaque jour et de répandre la mort et la souffrance.

        Un jour, quelqu’un avait demandé à Gandhi : « que puis-je donc faire pour diminuer la violence dans le monde »…
        Et il lui répondit tout simplement : « Que manges-tu ?
        Pour diminuer la violence dans le monde, cesse d’abord de tuer tes frères animaux » !…

        MEILLEURES PENSÉES

      4. A noter que je travaille à l’extérieur tous les jours, qu’il pleuve qu’il vente qu’il neige, qu’il gèle… ou que le soleil tape dur comme en ce moment…
        Et pourtant, je suis végétarien depuis des décennies, et je n’ai jamais eu besoin de viande pour lutter contre le froid ou la fatigue physique !
        A près de 45 ans, je suis même beaucoup plus vigoureux et endurant que mes jeunes collègues de 20 et 30 ans !

      5. Je ne sais pas si on peut résister longtemps à des -40° pendant tout l’hiver en étant végétarien… Il faudrait tenter l’expérience !
        Ensuite, je vis avec un VG, et je l’ai été pendant quelques années …

      6. Je n’ai certes jamais vécu dans une telle situation (-40° pendant tout l’hiver)… c’est votre cas peut-être ?
        Cela dit, on ne peut quand-même pas dire que de telles conditions peuvent affecter la majeure partie de l’humanité ; je ne vois donc pas pourquoi on utilise un cas d’existence dans des conditions aussi extrêmes pour critiquer finalement un système alimentaire qui a déjà fait nettement ses preuves dans toutes les conditions normales d’existence de la plus grande partie de l’humanité !
        (Pourquoi pas aussi parler de ces footballeurs qui s’étaient crashés dans les Andes et avaient été « obligés » de ce manger mutuellement tant qu’on y est ?)

        Cela étant dit, mis à part justement pour les inuits isolés dans la banquise le problème de « trouver leur nourriture », je ne vois pas en quoi un « steack de phoque » leur permettrait de mieux résister au froid que des « steack de céréales dorés à l’huile d’olive » s’ils avaient justement lapossibilité de choisir ?!…

      7. Bonjour,
        Une raison, c’est que le steak de phoque est prêt à être mangé (même cru), mais qu’ils n’ont ni céréales ni huile d’olives ni feu de bois.
        Mais la vie (très dure) des Inuits n’est en rien applicable à l’homme occidental ‘classique’.

      8. Daneel Olivaw a dit qui a dû vous échapper : « s’ils avaient justement la possibilité de choisir »

      9. C’est bien ce que je disais effectivement !
        Merci aussi à Ninch de l’avoir rappelé ! 😮

      10. Désolée d’avoir heurté votre sensibilité !
        Je ne critique pas le végétarisme, au contraire !!
        J’ai juste nuancé avec un exemple extrême certes et j’ai surtout donné mon avis en réponse à ce que vous avez écrit plus haut ( « il n’y en a pas le moindre besoin vital »).
        Bien sûr que de nos jours et dans notre société de l’hyper choix, ce n’est pas un besoin VITAL !!
        Ceci dit, j’en rajoute et maintiens mes positions : certains métabolismes ont plus besoin de protéines animales que d’autres (femme enceinte et allaitante, femme ayant des règles hémorragiques,croissance,…) . Le rhésus O+ aurait besoin de + de prot. animales que les rhésus A, que l’on trouve beaucoup en Inde justement.
        Enfin, il n’y a pas de protéines animales dans les céréales.

      11. Cher Bene, rassurez-vous, vous ne me « heurtez » pas ; je réagis à certaines affirmations que je sais être erronées – si ce n’est carrément fallacieuses -, mais je n’ai jamais la moindre acrimonie envers les auteurs de telles affirmations
        (sauf évidemment si la personne m’agresse personnellement, auquel cas je rend coup pour coup !) 😮

        Mais revenons-en justement à vos nouvelles affirmations (bien étranges pour un sympathisant du végétarisme vivant en plus avec un VG (???))
        Ansin donc « certains métabolismes auraient plus besoin de protéines animales que d’autres (femme enceinte et allaitante, femme ayant des règles hémorragiques,croissance,…) » ?
        Cette argumentation est du même genre que celle de Robert – avec son histoire de fer et autres minéraux et oligo-éléments – auquel je répondais le 2 juillet (voire plus bas) : il s’agit du même « bourrage de crâne dogmatique » ne reposant sur absolument rien de vrai !

        L’alimentation végétarienne équilibrée (« l’ALIMENTATION SAINE » enseignée depuis plusieurs générations par Henri-Charles Geffroy) étant bien supérieure en qualité nutritionnelle que l’alimentation carnée déséquilibrée prêchée par la plupart des nutritionnistes (dé)formés par les dogmes du CIV, elle est aussi bonne pour les gens « normaux » que pour les enfants et les femmes enceintes, allaitantes ou malades !

        Quand aux élucubrations de Peter d’Adamo avec ses contes à dormir debout sur les groupes sanguins et leur soi-disant besoins de viande, elle a bien fait rire tous les végétariens de nos forums, où comme par hasard, il y en a plein de ce groupe « O » qui devraient se goinfrer de cadavres a la limite de la putréfaction ; la plupart des vrais animaux carnassiers mangent la viande fraîche encore toute « chaude » de la proie qu’ils viennent de tuer eux-mêmes avec leurs crocs ou leurs griffes…. je ne connais aucun être humain dans ce cas ! 😮

        Cela dit, je suis parfaitement d’accord avec votre dernière phrase :
        « Il n’y a pas de protéines animales dans les céréales. »
        C’est bien pourquoi je conseille plutôt des « escalopes de blé » que des « entrecôte de vache » !
        En plus, accompagné de quelques « coeurs de boeuf », c’est un véritable délice !
        😮 😮 😮

      12. Oups, en effet il n’y a pas de prot animales dans les céréales !! je voulais dire (ça m’apprendra à trop utiliser le copier coller) qu’ il n’y a pas toutes les prot. (acides aminés) dans les céréales sauf si on les mélange à des légumineuses (qui au passage,produisent les mêmes déchets organiques que la viande, à savoir les fameuses purines). Bref.
        Vous parlez de votre expérience, de votre choix de vie, tout à fait honorable car il respecte les animaux.
        Je vais vous parler de la mienne et je pense respecter la vie autant que vous. J’ai été végétarienne pendant 4 ans (ça allait, juste perdu un peu de muscle), mais quand je suis tombée enceinte, j’ai commencé à rêver de viande !! Ma formatrice en naturopathie, qui est végétarienne, qui ne consomme aucun produits laitiers ni gluten, m’a conseillée d’écouter mon corps et de manger de la viande si j’en ressentais l’envie.(c’est elle qui m’a parlé des rhésus, mais sans en faire une généralité !!)
        J’ai allaité pendant 9 mois, et mon corps (non le CIV) réclamait encore de la viande. Idem pour une amie, végétarienne depuis toujours: elle s’est mise à rêver de viande quand elle est tombée enceinte ! Et depuis, elle en mange quand son instinct le lui dit et comme moi, elle en mange peu donc, de bonne qualité (bio, plein air, mise à mort respectueuse). Nous sommes des omnivores, des « prédateurs » au sommet de la chaine alimentaire. J’aimerais que ce soit différent, mais c’est comme ça. Tout est question de mesure et d’état d’esprit, d’intention. Et c’est là qu’il y a un gros problème !! Comme le montre l’article à l’origine de ce débat. Les gens qui dirigent l’agro-alimentaire et les politiciens ( je pense à Monsento ) sont prêts à tout, n’ont aucune éthique, aucune compassion, aucun respect de rien si ce n’est de leur fric. Ils ont un cadavre puant à la place du cerveau !

      13. Ben… ton corps te semblait « réclamer de la viande »… mais il te réclamait peut-être autre chose que ton alimentation végétalienne peut-être pas très équilibrée (???) ne t’apportait pas !

        (Par exemple, c’est une erreur très grave de vouloir se priver de « gluten » (donc de bon pain complet bio au levain naturel), alors que le problème ne touche que de rares cas atteints de « maladie coeliaque », laquelle est d’ailleurs provoquée par l’ingestion répétée sur des années d’un « pain cadavre »- c’est ainsi que H. Ch. Geffroy nommait le pain blanc que l’on trouve couramment dans les boulangeries – qui déglingue totalement le système digestif de son consommateur…

        Il y a plein de mamans végétaliennes qui ont su se passer de viande malgré de trompeuses envies suscitées aussi par des croyances plus ou moins conscientes que « le végétarisme » serait dangereux pour la santé du Bébé à venir (ce dogme est tellement martelé dans l’inconscient collectif !!!)
        Dommage que tu n’es pas plutôt rêvée de fraises !
        😮 (!)

      14. Heureusement que vous ne voyez rien « d’intolérant » ni « d’agressif » dans vos propos…
        Je ne défends rien, je vous prie juste d’être moins excessif pour dire aux autres ce que vous pensez qu’il devraient faire.

        Bon appétit !

      15. Il n’y avait rien d’agressif dans mon message d’origine… contrairement au votre qui, avec agressivité et intolérance, me taxait carrément de « Fasciste » (!), en y ajoutant cette médisance méprisante que mes propos – qui étaient seulement heureux et enthousiastes pour les messages de Toxymoron et Thinkgreen – « étaient intolérants et agressifs » !
        (De nous deux, celui qui est le plus intolérant et agressif n’est certainement pas moi !!!)

        Ensuite, il est vrai que je vous ai répondu en utilisant exactement votre propre comportement : en vous retournant donc simplement vos compliments, et vous traitant vous même de « fasciste », « d’agressif » et « d’intolérant » !
        Pourquoi donc me traiter, moi, de « fasciste intolérant et agressif » alors que je ne fais que défendre la Vie et la santé, alors que vous, de toute évidence, ce n’est rien d’autre que la mort et le meurtre systématique que vous défendez ?!…
        Mais peut-être aussi qu’en plus d’être « climato-négateur », vous êtes également « végétaro-négateur » ?! 😮

        Bon, cela dit, je ne vois pas en quoi je serais « excessif » de dire nettement et clairement la vérité au sujet du viandisme. Il y a 70 ans, auriez-vous aussi traités de « fascistes intolérants et agressifs » ceux qui dénonçaient vertement les camps d’exterminations nazis ????
        (A propos… faite donc une petite recherche internet sur « Eternal Treblinka » !… Cela vous dessillera peut-être la conscience ! (Par exemple :  » http://www.veganimal.info/article.php3?id_article=484 « ))

        MEILLEURES PENSÉES

  7. Bonjour,
    A M

  8. Bonjour,
    A Ma Cantine Bio nous prônons l’introduction de produits bio dans les cantines scolaires pour permettre l’émergence et le développement d’une agriculture biologique de proximité.
    Pour en savoir plus:
    http://macantinebio.wordpress.com/

  9. En tout, il faut raison garder, la frugalité est un élément majeur d’une bonne santé (je reprendrai cette citation) de l’Avare de Molière: Il faut manger pour vivre Et non pas vivre pour manger.

    L’homme est un omnivore, il ne peut apporter la totalité de ses besoins qu’en mangeant de tout y compris des produits animaux. Son organisme ne peut synthétiser certains acides aminés qui ne sont pas présents dans les protéines d’origine végétales (exception faite du soja) d’autre part certains oligo-éléments comme le fer ne sont présents qu’en faible quantités dans les fruits et légumes (le fer des épinards est une légende).

    Etre végétarien est possible à condition de consommer des produits laiters du poisson ou des oeufs. Le végétalisme est lui particulièrement dangereux car les carences qu’il induit ne se montrent néfastes que sur le long teme. Etre en bonne santé à 45 ans ne veut rien dire, il faut encore l’être à 70.

    Le bio est à la mode en fait ce n’est qu’un retour aux sources les agriculteurs du début et jusqu’à environ la moitié du 20ème siècle étaient des agriculteurs bio.

    Bio ne veut pas forcément dire bon, il y a du bon bio et du bio totalement dégueulasse.

    Enfin pour conclure le bio importé de l’autre bout du monde n’est il pas plus péjudiciable à l’environnement que le produit issu d’une agriculture raisonnée locale?

    1. Voilà bien encore une argumentation quasi « dogmatique » (!)…
      (Ça ressemble d’ailleurs au « bourrage de crâne » que nous assènent les climato-négateurs)

      Ben non, le végétalisme n’est dangereux que dans l’imagination des propagandistes du CIV (c’est le Centre d’Information des Viandes… qui est aussi crédible dans ses informations que les industries pétrolières qui nous informent sur « l’arnaque du réchauffement climatique » !!!)

      Il y a non seulement des individus mais aussi des peuples qui se passent de viande et s’en portent bien mieux que les américains ou occidentaux gavés de viandes et laitages !

      L’homme est un omnivore certes, mais végétarien : tout produit carné – d’autant plus s’il est surconsommé – affecte inévitablement sa santé, tant physique que mentale.
      Les histoires de minéraux, oligo-élements et acides aminés que l’on ne trouverait que dans la viande est de la pure intox : on trouve largement tout ce dont le corps à besoin dans les fruits, légumes et céréales !
      (Mais évidemment, pas ceux de la chimie intensive qui sont complètement carencés et dévitalisés, sans même parler de leur propre pollution intrinsèque !… Je parle évidemment de céréales, légumes et fruits BIO…; et évidemment : DE SAISON… et LOCAUX !)

      L’oligo-élément fer ne se trouve pas uniquement dans la viande – où l’on y trouve avec une phénomènale quantité de « purines » – mais également dans de nombreux aliments végétaux : le chou blanc, les céréales complètes, les graines de tournesol, les betteraves rouges, le millet, les lentilles, les pois, les graines de soja, le germe de blé, le pourpier, le sésame et le topinambour sont particulièrement riches en fer. En outre, la vitamine C – à consommer par exemple sous forme d’un verre de jus de fruit ou de citron, ou encore de persil saupoudré sur la salade – augmente l’assimilation du fer contenu dans les aliments…

      Quand au « BIO », c’est vraiment méconnaître cette technique agricole d’avenir que prétendre que c’est ce que pratiquaient nos ancètres ; c’est un peu comme si on disait qu’avec l’internet, on revenait au mode de communication des anciens amérindiens qui s’envoyaient des signaux de fumées de montagnes à montagnes ! 😮

      Et puis, pour en revenir à cette « sacro-sainte viande », il ne faut pas oublier qu’elle est non seulement le symbole même du meurtre et de la souffrance … mais aussi de l’anti-écologisme par excellence.
      Eh oui : la consommation de viande contribue à aggraver la faim dans le monde !!!

      Gaspillage des sols cultivables : sans la production de viande, nous n’aurions besoin que du quart environ des terres actuellement cultivées. Sur un hectare de terre où l’on produit 50 kg de viande de bœuf, on pourrait aussi bien produire 4 tonnes de pommes, 8 tonnes de pommes de terre, 10 tonnes de tomates et 12 tonnes de céleri…..

      Gaspillage des céréales aussi : la moitié de la récolte céréalière mondiale sert aujourd’hui à engraisser les animaux. Dans les pays industriels, la proportion des céréales utilisées pour nourrir les animaux d’élevage s’élève même à plus des deux tiers. 60% des importations de produits de fourrage proviennent des pays en voie de développement. Dans ces pays, 40 000 enfants meurent de faim chaque jour. 1,3 milliards d’êtres humains souffrent de malnutrition. Chaque année, 50 millions d’êtres humains meurent de faim ou de maladies engendrées par la faim. (Pourtant, sur terre, personne ne devrait mourir de faim : on pourrait nourrir 100 millions d’hommes supplémentaires en réduisant seulement de 10% la consommation de viande dans les pays industrialisés…)

      Bref, quelque soit l’aspect par lequel on regarde la nourriture carnée, elle est mauvaise et préjudiciable à tout point de vue : santé, morale, éthique, économie, écologie…..

      Bref, comme le disait déjà Henri-Charles Geffroy dans sa « Campagne 1970 » (Cf. “Alimentation saine = Bonne santé”) : « Le carnivorisme est incompatible avec la notion de justice sociale, qui suppose, avant toute chose, une utilisation intelligente des ressources alimentaires globales de l’humanité.
      Non seulement “l’Alimentation Saine” (…) permet à l’individu de résoudre son propre problème de santé et de longévité, mais à l’échelle nationale, elle permettra de résoudre les grands fléaux de la civilisation et le déficit croissant de la Sécurité Sociale (…)

      Elle permet de vivre longtemps jeune, en gardant toutes ses facultés intactes, dans tous les domaines : physique, mental, sexuel, intellectuel,… et surtout spirituel. Elle libère l’homme de son esclavage des Trusts qui l’exploitent ! » …

      Et enfin, LE Site de référence de la véritable et authentique « ALIMENTATION SAINE » :

      – AGNVS : « Association les Guides de la Nature, de la Vie et de la Santé »
      agnvswebmestre.free.fr

      1. Juste un petit complément Robert : tu as cela dit parfaitement raison pour la frugalité et pour le « faux bio » !
        AVOIR L’ESPRIT BIO est un tout : être « Bio » ce n’est pas consommer n’importe quoi venant de n’importe où sous prétexte que ce serait étiqueté « bio ».
        Consommer BIO, c’est avant tout consommer « écologique »… Et il est certain que faire venir du « bio » de l’autre bout de la planète – ou du « bio de serre » parce qu’on voudrait manger des tomates en hiver – n’a rien d’une authentique démarche bio !

        A voir : « L’alimentation saine » de Henri-Charles Geffroy (C’est le grand-père de mon épouse, végétalienne de naissance et 13 ans moins jeune que moi, et en aussi super forme que bien d’autres membres de notre famille – VG aussi évidemment – dont son oncle de 90 ans… et qui se porte comme un charme, et cultive toujours lui-même ses légumes et même son blé !) :
        http://www.fraternet.com/magazine/loi2104.htm

        MEILLEURES PENSÉES

      2. J’oubliais….

        «  » » »C’est le grand-père de mon épouse, végétalienne de naissance et 13 ans moins jeune que moi, » » » »

        Ah bon? dès sa naissance votre femme a été soumise à un régime végétalien ? Pas de lait ? C’est pourtant indispensable aux mammifères que nous sommes.

      3. Je suppose que les végétaliens (qui sont des mammifères) allaitent leur petit avec le lait de leur espèce, et pas avec celui d’une autre espèce mugissante ?

      4. Pluie,

        Le lait maternel est un produit carné qu’on le veuille ou non. On ne peut pas être végétarien/lien depuis la naissance.

      5. C’est pas vraiment le terme qui convient !
        La viande est certes un produit carné (on peut aussi y inclure le poisson, bien que certaines personnes qui en mangent se proclament pourtant VG (?))
        Mais le lait n’est pas de la viande !
        Ce n’est donc pas « un produit carné »… mais seulement un « sous-produit animal » : comme tout ce qui ne nécessite pas la mise à mort de l’animal pour en obtenir : le lait, les oeufs, le miel….

        Les végétariens ne mangent donc rien de ce qui nécessite la mise à mort de l’animal…
        Et les végétaliens ne mangent pas, eux, ce qui nécessite également « l’exploitation » – on pourrait dire aussi « l’esclavage » (!) – de ceux que Pythagore nommaient comme « nos frères inférieurs ».

        DONC : on peut très bien être végétalien de naissance – et à la troisième génération – tout en ayant été allaité par sa mère ! 😮

      6. Ben oui, mon épouse, petite fille du fondateur de « LA VIE CLAIRE », a été non pas « soumise à un régime… », mais plutôt : « bénéficiaire d’une alimentation végétalienne » ! 😮

        Allaitée évidemment naturellement au sein… mais jamais une goutte de ce lait que la vache fabrique normalement pour que son propre petit puisse prendre beaucoup de kilos rapidement…. ce qui n’est pas la même « programmation » qu’avec le lait maternel d’une maman humaine !
        C’est bel et bien le seul lait qui soit indispensable aux mammifères que nous sommes …
        D’ailleurs, TOUS les mammifères dans la nature ne doivent plus jamais de lait une fois sevrés ; il n’y a que les êtres humains qui font ça !

      7. Oups, les doigts se sont encore « emmêlés »…
        Il fallait lire évidemment :
        « D’ailleurs, TOUS les mammifères dans la nature ne boivent plus jamais de lait une fois sevrés ; il n’y a que les êtres humains qui font ça !!! »

      8. «  » » »Ben non, le végétalisme n’est dangereux que dans l’imagination des propagandistes du CIV (c’est le Centre d’Information des Viandes… » » » »

        On va demander aux inuits ce qu’ils en pensent, On va en profiter pour demander la même chose aux médecins nutritionnistes. Vous confondez surconsommation de viande et alimentation équilibrée, on peut ne pas être végétarien et ne pas consommer de viande rouge.

        Comme je l’ai dit, il faut en toute occasions raison garder et les excès quels qu’ils soient sont néfastes pour la santé, Et tout intégrisme est néfaste pour la cause qu’il prétend défendre….

      9. Pour les inuits… on en a déjà parlé – voire notamment mes messages du 1er juillet -, ce serait bien de ne pas toujours leur mettre constamment sur le dos les millions de cadavres de l’industrie mondiale de la barbaque (Lisez donc le récent ouvrage de Fabrice Nicolino : « Bidoche » !)…

        Ce qui en plus n’a rien à voir avec « la viande crue » que mangeaient les inuits au début du siècle dernier : il ne s’agissait pas d’élevages intensifs de mammifères terrestres gavés de vaccins et d’antibiotiques…. mais de poissons et de mammifères marins essentiellement (les rennes, ce seraient plutôt les « Nenets » (!)), qu’ils allaient eux-même attraper dans des conditions franchement plus que « sportives » !….

        En tout cas, si on demande aujourd’hui aux Inuits ce qu’ils en pensent, je crois que les rares « survivants » de la culture inuit – ceux qui ne sont pas devenus alcooliques et obèses comme les américains qui y ont aussi exporté leurs « fast-food », préfèreraient avoir dans leur hypermarchés de bonnes galettes de céréales bio que des « steack de boeuf cellophanés issus de l’industrie intensive » !!!

        Merci également d’éviter de me traiter d’intégriste ; ce genre de compliment m’énerve franchement, au moins autant que me faire traiter d’imbécile ou de menteurs par un « climato-sceptique » ,parce que j’ose les contredire quand il prétendent que le réchauffement climatique n’est qu’une arnaque (« parce qu’il n’existe pas et que si il existe c’est de la faute au soleil » (!))…
        Une véritable « alimentation équilibrée », c’est celle qui consiste à ne pas s’intoxiquer des toxines et purines que les produits carnés contiennent en abondance…
        Si Henri-Charles Geffroy à nommé son dernier ouvrage « L’ALIMENTATION SAINE » – toujours réédité chez Dangles, avec même la préface de mon épouse en prime 😮 -…
        C’est bien parce que la seule et véritable « Alimentation Saine, équilibrée », est celle qui respecte la Vie et la santé : la notre, mais aussi celle de notre planète-Mère… et des animaux qui vivent avec nous sur cette planète, et qui ne sont pas plus là pour nous servir de nourriture que les « noirs » étaient là pour servir d’esclaves aux blancs !

  10. A Daneel. Je n’ai pas été végétalienne mais végétarienne.
    Je fais confiance aux signaux que m’envoie mon corps, qui est différent du vôtre, de celui de votre femme, … Chacun son métabolisme.
    Ensuite, mon enfant faisant partie d’une espèce omnivore mange de tout (éducation aux goûts, aux textures). Elle choisira ou non d’être végétarienne, comme elle choisira sa religion s’il elle en ressent le besoin. Je ne suis pas dogmatique…
    Quant au gluten (d’origine bio ou pas), que je consomme sans excès, il est à l’origine de beaucoup plus de désagréments que vous ne semblez le croire. Je vais faire comme vous de la pub en vous conseillant la lecture du livre du docteur Seignalet « l’alimentation ou la troisième médecine » : il a mis en place un régime sans gluten, sans produits laitiers, avec cuisson à la vapeur douce (très important pour éviter les molécules de maillard) et peu de produits carnés (ça va sûrement vous déplaire !) pour soigner, expériences cliniques à l’appui, avec pourcentage de réussite mais aussi d’échec, un grand nombres de maladies de civilisation (dépression, sclérose en plaques, eczéma, polyarthrite, …). Il explique comment le gluten n’est plus adapté à nos enzymes digestives à force d’avoir croisé, depuis des millénaires, les plants de blé, qui aurait du coup trop de chromosomes.
    Enfin, vous qualifiez certains de dogmatiques, alors que vous prônez un modèle de vie en rejetant les expériences des autres. C’est dommage.

    1. Encore une accusation infondée qui se retourne contre son auteur !
      Moi, je ne prône pas « un modèle de vie en rejetant les expériences des autres »… J’EXPLIQUE ET JE RÉTABLIS LA VÉRITÉ face à tous ces discours « végétaro-sceptiques » qui sont exactement du même acabit que les discours « climato-sceptiques » !
      (Eux aussi ne cessent de me traiter de tous les noms, et de manipulateur et de menteur et de ne pas écouter aussi leurs si brillants témoignages… tout simplement parce que j’ose leur faire remarquer qu’ils racontent n’importe quoi !!!

      Le livre de Jean Seignalet est déjà un progrès par rapport à la malbouffe quotidienne de la majorité des Français… mais il est malheureusement encore truffé d’erreurs et d’incompréhensions (!)…
      En tout cas bien en dessous du travail autrement plus pointu de Henri-Charles Geffroy, auteur de très nombreux ouvrages approfondis sur le sujet, et qui a rédigé le Journal « LA VIE CLAIRE » pendant près de 40 ans, avec la collaboration des plus grands spécialistes de l’époque !

      En 2005 d’ailleurs est ressorti son tout premier ouvrage « Nourris ton corps » !
      Un précieux témoignage historique car il retrace une authentique « Page d’Histoire » de la France !
      Il témoigne aussi d’une actualité toujours vivante et vitale.
      Sorti en 1941 (et réédité jusqu’en 1984), il a été le point de départ d’une grande aventure pour l’auteur et même pour ses lecteurs.
      Aventure relatée par sa petite-fille Marie-Lise dans la préface de cette nouvelle édition !

      (Cf. « Nourris ton corps (Précis d’Hygiène Alimentaire) »
      Henri-Charles Geffroy, Editions Aquarius, 2005)

      Marie-Lise Geffroy (extrait de la préface) :
      A l’époque où ce livre a été écrit, il était indispensable – surtout dans les villes – de tirer profit d’une situation imposée par les circonstances et de devoir remplacer les aliments manquants par d’autres, finalement plus propres à notre nutrition !…
      La méthode d’alimentation naturelle, expérimentée depuis plusieurs années par l’auteur, fut des plus bénéfiques pour ses contemporains.
      En effet, Henri-Charles Geffroy nous l’explique clairement : une méthode alimentaire bien comprise, doit, au contraire, augmenter la résistance à la fatigue et à la maladie, ainsi que la puissance cérébrale et permettre à ceux qui l’observent, de recouvrer la santé physique et morale que nos habitudes de civilisés nous ont fait perdre prématurément !….

      Ce livre avait été écrit à l’origine dans le but d’aider le lecteur à surmonter les restrictions alimentaires au cours des années 40,… mais il fut encore bien plus demandé par la suite : parce qu’au fil des ans les biologistes lancèrent des cris d’alarme en constatant l’aggravation rapide de notre santé (cancer, maladies cardiaques, chute de l’immunité naturelle…) liée essentiellement à une alimentation carencée et dénaturée. En même temps, en Europe, un important mouvement naturiste se dessinait en faveur du retour à une vie moins artificielle et, notamment, à une alimentation saine, conforme aux besoins de notre corps, et aux exigences de notre esprit.
      Cette manière saine de s’alimenter était déjà conseillée, il y a plus de 2000 ans, par les Sages de la Grèce antique (Pythagore, Hippocrate, Platon, Apollonius, etc.).
      Considéré en France comme Le véritable pionnier de l’alimentation saine, de l’agriculture biologique et de l’actuelle prise de conscience écologique, Henri-Charles Geffroy est né à Paris en 1895. Gazé à l’ypérite pendant la guerre de 14-18 et condamné par les médecins, il découvre vers 1935 une méthode d’alimentation naturelle à base de fruits, de légumes et de céréales, qui le sauva d’une mort certaine.

      C’est en 1946 qu’il fonde un journal et, plus tard, la chaîne des magasins « La Vie Claire » qui furent un véritable rempart face aux dérives modernes des nouvelles pratiques alimentaires : conserves, produits de plus en plus raffinés, surconsommation d’alcool, de viande et de produits laitiers…

      – Voici quelques paroles de Henri-Charles Geffroy, écrites il y a plusieurs décennies… mais qui semblent pourtant si bien désigner nos contemporains (et certaines de leurs entreprises ! ) : « Au hasard des modes, des snobismes, de la publicité qu’il subit, les conseils émanant des bâtisseurs de méthodes qui ne sont généralement que d’ingénieux commerçants, l’homme se nourrit tantôt d’une façon, tantôt de l’autre, sans savoir si l’aliment qu’on lui fait absorber répond à un besoin de son organisme et constitue une nourriture au sens exact du mot. L’homme civilisé semble, d’ailleurs, oublier complètement le but de la nutrition ; avec son instinct de plus en plus « perverti » – dénaturé – il n’est même plus capable de discerner, au moyen de ses sens atrophiés, un bon aliment d’un poison !… »

      POUR EN SAVOIR PLUS : « Vivre Clair »… utopie ?
      (http://agnvswebmestre.free.fr/documents/60ansLaVieClaire.pdf)

      ————-

      Et pour conclure… ce témoignage « récent » de David Servan-Schreiber :
      Mon ami Michael Lerner a fondé, à la fin des années 1970, un centre d’accompagnement des personnes qui souffrent d’un cancer. On y enseigne la nutrition, le yoga, une plus grande conscience de la valeur de sa propre vie pour apprendre à mieux la soigner. Mais depuis les années 1990, devant l’afflux de patients de plus en plus jeunes – dont les maladies ne peuvent a priori s’expliquer que par la dégradation de notre environnement -, Michael s’est trouvé face à un constat effrayant : « On ne peut pas vivre en bonne santé sur une planète malade ! »…
      Il y a mille manières de montrer que la santé de la planète et la santé de chacun d’entre nous sont intimement liés.
      Mais si nous devions choisir « UNE » action, celle qui aurait le plus grand impact sur l’équilibre écologique, quelle serait-elle ?
      Moins prendre sa voiture ?
      Ne pas laisser couler l’eau quand nous nous lavons les dents ?
      Manger Bio ?
      Mieux trier les ordures ?
      Non, ce serait simplement celle qui a aussi le plus grand impact positif et immédiat sur notre propre santé : MANGER MOINS DE VIANDE !

      A méditer :
      30% des terres arables sont cultivées pour nourrir le bétail, et c’est une des principales causes de la déforestation.
      Les engrais et les pesticides utilisés pour ces cultures de maîs et de soja sont une des principales sources de dénaturation des sols et de pollution des rivières.
      Les gaz à effet de serre émis par le bétail contribuent davantage au réchauffement climatique que l’ensemble de l’industrie du transport :
      Le « New York Times » a récemment calculé – le 27 janvier 2008 (ndD) – que si les Américains réduisaient leur consommation de viande de 20%, cela équivaudrait à remplacer toutes les voitures du continent par des modèles hybrides !

      Le Fonds mondial de recherche contre le cancer concluait en 2007, que la consommation moyenne de viande rouge par personne ne devait pas excéder 500 grammes par semaines. Or, en Europe de l’Ouest, elle est évaluée à 250 grammes par jour (et la France est en tête des pays européens !)
      Un Indien en consomme en moyenne 14 g par jour – SACHANT PAR AILLEURS QUE LA PLUPART DES INDIENS SONT STRICTEMENTS VÉGÉTARIENS (ndD) -, et, à âge égal, vit en meilleure santé qu’un Occidental (moins d’Alzheimer, de cancers, de maladies cardio-vasculaires…)

      FASCINANT DE VOIR COMME TOUT EST CONNECTÉ ! ET QUE LA MEILLEURE CHOSE QUE NOUS PUISSIONS FAIRE POUR LA TERRE SOIT AUSSI UNE DES PLUS LARGEMENT DÉMONTRÉES POUR PROTÉGER NOTRE SANTÉ !….

      (Fin de la citation de David Servan-Schreiber)

      Meilleures Pensées

      1. «  » » »Les gaz à effet de serre émis par le bétail contribuent davantage au réchauffement climatique que l’ensemble de l’industrie du transport : » » » »

        Je serais curieux de voir les sources scientifiques faisant état de ce fait….

      2. Même si c’était vrai (et ce ne l’est pas), cela resterait faux. Après tout, les troupeaux de bétail sont autant une création de l’homme que l’industrie du transport, et les émissions des deux sont dues à l’homme.

      3. Euh… c’est là « rechercher la p’tite bête » ! 🙂

        Evidemment que l’élevage intensif est une création humaine au même titre que le transport par véhicules « pétrolivores » !
        Mais n’empêche que j’ai bel et bien raison comme d’habitude (n’en déplaise à tous ceux qui voudraient bien me donner tort car eux-mêmes sont incapables de se remettre en question !!!), et que les adeptes de la religion viandiste contribuent pour une bonne part au réchauffement climatique de notre pauvre planète !

      4. «  » » »Mais n’empêche que j’ai bel et bien raison comme d’habitude (n’en déplaise à tous ceux qui voudraient bien me donner tort car eux-mêmes sont incapables de se remettre en question !!!), » » » »

        Les preuves Svp, et vous avez tort je vous fournirai les preuves que le transport est la première source de CO2 anthropique, je suis allé faire une petit tour sur votre site, j’y ai relevé une erreur magistrale Je cite :
        «  » » »Depuis fort longtemps, le blé constitue la principale nourriture de l’Homme.
        Grossièrement écrasé entre deux pierres et cuit avec de l’eau, on en faisait une bouillie. » » » »

        Archi-faux, la céréale la plus employée dans le monde et ce depuis la nuit des temps est le riz.

      5. Robert… je constate que vous continuez ‘Allègre-ment’ dans votre « DÉ-LIRE »…
        Vous voyez des « erreurs magistrales » partout… semblant oublier que vous n’observez en fait les choses qu’au travers de votre propre « filtre cortical » (!!!)
        Vous devriez écrire vos articles pour les « climato-négateurs » ; ils sont si semblables dans ‘l’ineptie critique’ que vous feriez chez eux un véritable tabac !
        Paraît que ce serait aussi une « magistrale erreur » de croire que le CO2 serait un gaz a effet de serre susceptible de provoquer une quelconque modification du climat 😉

        Bref, je ne vois pas en quoi le fait que le riz serait dans le monde la céréale la plus employée depuis la nuit des temps (Pas le riz « blanc » en tout cas, qui est une nouveauté industrielle moderne… avec les maladies de carences qui vont avec !!!)… remettrait quoique ce soit en cause dans ce témoignage :
        « Depuis fort longtemps, le blé constitue la principale nourriture de l’Homme.
        Grossièrement écrasé entre deux pierres et cuit avec de l’eau, on en faisait une bouillie » ???
        (Cf.  » http://agnvswebmestre.free.fr/ble_nadh.html « )

        Un petit extrait de la page en lien normalement réservée à nos seuls adhérents : « La principale nourriture de l’Homme »
         
        – La mission du Pain (Extraits de la conférence de Marie-Lise Geffroy sur l’action de son grand-père…)
        Comme indiqué en page 4 de La Lettre de l’AGNVS du 21 juin 1997, nous citons des passages de la conférence de Marie-Lise Geffroy, développée à partir des textes de son grand-père, l’un intitulé : « Initiation à la santé » de février 1947, l’autre : « Le pain des hommes », d’octobre 1980 où la Mission du Pain avait déjà été clairement évoquée. (…) 
        « Lors de cette conférence que Henri-Charles Geffroy avait donnée pour la dernière fois en 1981, la question spirituelle, fondamentale, sur le pain n’avait malheureusement pas pu être développée en raison peut-être de la reprise récente, au printemps 1980, par le Groupe Tapie de l’ensemble des entreprises de La Vie Claire.
        Pourtant, on ne peut oublier les paroles prononcées par le Christ à l’égard du blé, de la paille, du semeur, de l’ivraie, de la moisson, du pain, du levain :
        « A quoi, puis-je comparer le Royaume de Dieu » ? dit le Christ. « Il est semblable à du levain qu’une femme a pris et enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que le tout ait levé », Évangile selon St Luc Ch. 13, v. 20…

        On ne peut oublier non plus les deux miracles de la multiplication des pains selon les Évangiles : il en restait tant qu’on en ramassa les morceaux pour remplir plusieurs corbeilles ; il y a aussi dans le Notre Père : « Donne-nous chaque jour notre pain quotidien », l’Institution de l’Eucharistie à laquelle M. Geffroy fait référence : « Prenez et mangez, ceci est mon corps ». Une autre belle parole du Christ dans l’Évangile selon St Jean Ch. 6, v. 35 : « Je suis le pain de vie. Qui vient à moi n’aura jamais faim ; qui croit en moi n’aura jamais soif ».

        En ce temps-là, le pain constituait la principale nourriture des hommes, ce qui permit au Christ d’enseigner avec plus de facilité, à partir de paraboles liées simplement à tout ce qui se rapproche de la Nature (même de la nature humaine) et du pain, semant peu à peu la Lumière dans l’esprit de ses disciples. Le pain et le vin, symboles du corps et du sang du Christ, n’est-ce pas merveilleux de s’exprimer ainsi ?
        Il n’y a pas si longtemps en France, le chef de famille bénissait le pain en gravant une croix avec la pointe du couteau sur sa partie plate (du côté reposant sur la table), sans doute pour maintenir au pain son caractère sacré en rappel à sa bénédiction par le Christ.
        De nos jours, l’aspect matériel du pain continue à être l’unique souci des fabricants de farine qui séparent toujours le blé de ses constituants essentiels, c’est-à-dire : le germe, le son (ou enveloppe) et l’amande.

        Le professeur Delbet dans son ouvrage « Politique préventive du cancer » (Denoël édit. réimprimé par La Vie Claire), écrivait que « le blutage des farines a été poussé si loin que le précieux magnésium est presque complètement éliminé du pain blanc »…
        Cet auteur n’hésite pas à dire « le pain blanc est cancérigène ». Il va jusqu’à poser cette question :
        – « N’est-ce pas inouï que l’on soit arrivé à considérer comme une sorte d’idéal de la civilisation élégante, un pain qui est incontestablement nocif. Avoir rendu néfaste le bon pain de France, c’est une sorte de chef-d’oeuvre auquel je ne puis penser sans indignation ».

        Le Docteur Paul Carton (1875-1947) mettait en garde ses contemporains contre le remplacement du pain bis par le pain blanc dans son petit ouvrage paru en 1912 intitulé « Les trois aliments meurtriers » que sont l’alcool, la viande et le sucre industriel. Ce Précurseur qui a précédé Henri-Charles Geffroy, nous parle du Dr Maurel qui déjà, en 1896, « constatait que la consommation de la viande avait plus que triplé en moins de cinquante ans. L’une des causes de cette progression fut la substitution du pain blanc au pain bis qui constituait pour les travailleurs de force un excellent aliment d’endurance, dont la privation incita à recourir à l’excitation nocive de la viande et de l’alcool. »

        Dans un très intéressant et copieux ouvrage paru aux éditions Fayard, intitulé : « Le meilleur pain du monde, les boulangers de Paris », on apprend qu’au XVIIIème siècle, période à laquelle ce livre est entièrement consacré, on se préoccupait beaucoup de la qualité du pain qui était considéré comme l’aliment indispensable à la vie, surtout à Paris.
        De plus, l’auteur Steven Kaplan, professeur d’histoire européenne, en Amérique, nous dit en page 47 :
         » Cristallisant l’identité collective aussi bien que le destin individuel, le pain forgeait des liens compliqués : entre sacré et profane, espoir et angoisse, tout et partie, mère et enfant, prince et sujet, producteur et consommateur, vendeur et acheteur, justice et injustice ». On pourrait même ajouter que le pain concernait aussi bien le riche que le pauvre, le bien-portant que le malade, le citoyen que le prisonnier, l’ecclésiastique que le soldat…
        On saisit toute l’importance donnée au pain à cette époque puisque celui-ci véhiculait toute sorte de notions liées à l’Eucharistie dont nous avons parlé précédemment, donc à son respect et à son partage. On ne le gaspillait pas. A l’inverse, certains se plaignaient des difficultés liées au pain : culture de grains panifiables, conservation, transport, transformation de la farine, etc… alors que d’autres peuples comme les Espagnols se nourrissaient de châtaignes et de glands qu’il suffisait de ramasser. L’entière dépendance au pain était donc critiquée.
        On était aussi obsédé par la blancheur du pain essentiellement à Paris (heureusement moins blanc que maintenant), ce qui choqua même Bonaparte habitué à être nourri de pain noir cuit une fois par semaine en Corse (page 60). Des moralistes s’inquiétèrent même de la mauvaise qualité du pain blanc (page 61). Il y eut aussi les adversaires de la levure de bière largement utilisée et du son (page 67)…
        Une école de boulangerie fut même créée, qui était d’ailleurs plus une institution vouée à des recherches autour du pain, ensuite diffusées… On y étudiait par exemple : les maladies du grain, la qualité de l’eau employée dans le pétrissage, les défauts de l’architecture minotière, etc…
        Cette école fut malheureusement fermée avant la fin du XVIIIème siècle. Elle constituait pourtant un espoir pour revenir vers un vrai bon pain, mais entre-temps, il y eut la Révolution de 1789 et tous les bouleversements qu’elle a entraînés (…)
        Il est à noter que Henri-Charles Geffroy était pratiquement le seul de son époque à avoir réhabilité le VRAI pain complet et à avoir défendu la santé du consommateur en proposant tout un système alimentaire cohérent visant la qualité de produits naturels. Même encore maintenant, les gens se méfient avec raison du pain alors qu’il représente tant de symboles :
        – partage, paix, santé, labeur, professionnalisme…
        Nous ne pouvons pas ignorer le caractère sacré de tout ce qui touche au Pain, lui-même lié depuis près de 2 000 ans à l’histoire de notre civilisation. Cet aspect nous incite à propager encore plus les idées mises en avant par Henri-Charles Geffroy en faveur d’un VRAI pain, d’une alimentation et d’une vie saines.

    2. Voici égalment ce que j’écrivais dans “La Lettre de l’AGNVS” d’octobre 2007 (Cf. “L’Alimentation Saine et l’influence mondiale majeure… d’un choix individuel pourtant simple et économique !”) :
      « … Ceux qui ont en tête l’image bucolique de troupeaux paissant à l’ombre de grands arbres doivent mettre à jour leurs données.
      Rien qu’en France – où ce n’est pas le pire -, l’élevage est industrialisé à 90% et les animaux sont nourris à base d’une production agricole intensive (tourteaux, céréales, etc.) soutenue par des engrais qui n’ont rien de naturel : 52% de tous les fertilisants chimiques azotés utilisés par l’agriculture française sont ainsi employés “au service” des seuls animaux. Ces fertilisants sont fabriqués par des industries polluantes et grandes consommatrices d’énergie : ce sont environ 15 milliards de kWh qui sont nécessaires pour les produire ! (…)

      Toutes énergies confondues, la production par les fermes d’élevage des “1,6 million de tonnes de viande bovine produite en France en 2004” aura nécessité l’équivalent de 22 milliards de kWh. (…)
      La FAO elle-même (“Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture”) vient de publier un rapport qui une fois encore est resté complètement ignoré : “L’activité humaine ayant le plus d’impact sur le changement climatique n’est pas le transport, mais la production de bétail !!!” … »

      Comme le disait par ailleurs notre ami Jean-Marc Governatori, Président de “LA FRANCE EN ACTION” (Cf. “Vers une santé totale” et “Vivre, c’est possible !” (“Le Courrier du Livre”) (www.lafranceenaction.com)) :
      « Des faits, rien que des faits :
      Pour créer un kilo de viande, on a besoin de sept kilos de céréales qui nécessitent plus de 10.000 litres d’eau !
      L’impact de l’élévation de la seule consommation de viande est terrible.
      Pour répondre à cette hausse de consommation, il faut plus de place pour les troupeaux, donc on coupe des centaines de milliers d’arbres pour planter des céréales, nourriture des ovins et des bovins ; donc on consomme dix fois plus d’eau douce pour développer cette culture céréalière…

      Vous croyez nécessaire de manger de la viande chaque jour ?
      Que se passerait-il pour votre santé, vos finances, pour l’environnement si vous en mangiez un jour sur deux ?
      Si 10 millions de personnes appliquaient ce principe ? …

      Quelle attitude adopter envers des êtres dont on admet qu’ils possèdent des émotions, de la sensibilité, de l’intelligence, des capacités de communication que l’on croyait jusque-là réservées aux seuls humains ? Comment ne pas s’émouvoir devant le sort des quelque 2 milliards d’animaux d’élevage (poulets, porcs, bovins…) abattus en France annuellement pour les besoins de la boucherie ? (…)
      MANGER DE LA VIANDE, C’EST MANGER DE LA SOUFFRANCE !… »

      A voir :
      http://terresacree.org/viande.htm

  11. Daneel Olivaw

    «  » » »Les gaz à effet de serre émis par le bétail contribuent davantage au réchauffement climatique que l’ensemble de l’industrie du transport «  » » »

    vous êtes tellement imbu de votre petite personne que vous ne vous rendez même pas compte de vos erreurs, Je vous signale que l’article de la FAO parle de transport ROUTIER et pas du transport en général, si vous ajouter le transport maritime et le transport aérien vous avez la plus grande source d’émission de CO2 anthropique. Pour ce qui concerne le réchauffement climatique, je pense comme le GIEC dont j’ai lu tous les rapports avec en prime quelques études chose que vous n’avez sans doute pas fait….

    Quand au riz renseignez vous au lieu de digresser sur le riz blanc

    Vous êtes un danger pour l’écologie, car vous êtes un extrémiste, vous faites du prosélytisme sans vous rendre compte du danger que peut représenter votre style de nourriture, l’homme est un omnivore, ce n’est pas un végétarien, maintenant il y a une énorme différence entre une consommation normale de viande et une surconsommation. Aucun organisme de santé publique ne prône le végétarisme ou pire le végétalisme.
    Désolé de vous le dire mais vous me faites plus penser à une personne embrigadée dans une secte qu’un personne raisonnable et équilibrée.

    1. Bah… vos délires n’intéressent que vous !
      C’est vous le vrai « danger public » qui ne cessez de raconter n’importe quoi… parce que vous ne comprenez de toute façon rien à ce que vous lisez !!!
      Tout d’abord, la phrase sur laquelle vous « bugez » une fois encore n’est pas de moi, mais de David Servan-Schreiber… et il évoque bel et bien ‘la voiture’, et non l’aviation avec tous les autres transports mondiaux !

      Tout ce que vous racontez par ailleurs n’est que pure ineptie…
      Vous nous polluez très sérieusement avec vos débilités stériles et affligeantes !
      Vous ne méritez même plus que je vous réponde, et c’est bien ce que je vais faire désormais : ignorer vos critiques stupides et imbéciles !!!

      1. «  » » »Tout d’abord, la phrase sur laquelle vous « bugez » une fois encore n’est pas de moi, mais de David Servan-Schreiber… et il évoque bel et bien ‘la voiture’, et non l’aviation avec tous les autres transports mondiaux ! » » » »

        donc vous ne controlez pas si ce que vous dites et juste ou non, Bravo!!!! Vous venez de vous griller à jamais (si ce n’était déja fait).

        «  » » »Tout ce que vous racontez par ailleurs n’est que pure ineptie… » » » »

        C’est vous qui osez dire ça? A vous lire on dirait du Marot ou du Minitax dans le texte

      2. Robert, j’arrête de vous répondre car vous faite preuve ici d’une bêtise si incommensurable que ce serait vraiment perdre son temps d’espérer encore un dialogue intelligent avec vous !
        Continuez donc à raconter n’importe quoi et délirer à bloc…
        Moi, je vous laisse à votre misère intellectuelle !

    1. La FAO – « Famine et Appauvrissement Organisée » – ne fait pas la promo du végétalisme … la belle affaire : vous attendez donc comme un petit enfant que l’on vous dise qu’il faut le faire pour le faire ?
      Les organismes pétroliers aussi ne font guère la promotion des énergies remplaçant le pétrole…. idem pour les thuriféraires du nucléaire avec les solutions pour se passer de leur bizness…. De même, le « Centre d’Information des viandes » dont l’industrie là aussi brasse des milliards – comme l’industrie pharmaco-chimique (!) – ne risque pas de faire la promo pour le végétarisme qui risque de la mettre « sur la paille » !
      🙂

      Lisez donc « Bidoche » de Fabrice Nicolino…
      Ou encore « l’Alimentation Saine » de Henri-Charles Geffroy
      (Voir par exemple : « http://www.alliance-pour-la-sante.com/livre-lalimentation-saineq-dhenri-charles-geffroy.html »)…

      Ce ne sont pas les agriculteurs qui s’indignent en vérité (et encore moins les maraîchers bio)..; mais juste les industriels de la barbarque, spécialistes des élevages en batterie ou l’animal y est considéré bien moins qu’un bout de billet imprimé, et où il est parqué et massacré dans de véritables camps d’exterminations (Ah oui, un autre ouvrage conseillé : « Eternal Treblinka » ; il nous révèle qu’elle est la véritable nature de ces éleveurs qui osent ainsi protester contre cette initiative bienfaisante et salutaire)

      Extrait de cet ouvrage de Fabrice Nicolino – « Bidoche, l’industrie de la viande menace le monde », en librairie le 30 septembre 2009 (Editions LLL – les liens qui libèrent) – :
      Journaliste à Paris, il est l’auteur d’une dizaine de livres, dont « Pesticides, Révélations sur un scandale français » avec François Veillerette. (*)
      L’introduction du livre vous donnera une idée de son ton :
      « Je suis né pour ma part dans le sous-prolétariat urbain de la banlieue parisienne. Ce n’est pas un lieu rieur. Ce ne fut pas un temps calme. Il m’arriva plus d’une fois de rêver meilleur destin. Mais qui choisit ? Il reste que, dans les meilleures années de cette époque engloutie à jamais, ma mère préparait le dimanche midi un roast-beef, un rosbif farci à l’ail qui déclenchait chez nous tous, les enfants de cette pauvre nichée, une émeute de papilles. Un repas peut-il rendre heureux ? Oui. Un morceau de viande peut-il faire croire, le temps d’une tablée familiale, que tout va bien, que tout va mieux? Oui. J’ai mangé beaucoup de viande. J’ai pris un grand plaisir à mastiquer, à partager avec les miens ce qui était davantage qu’un mets. Je suis mieux placé que d’autres pour comprendre que manger de la viande est un acte social majeur. Un comportement. Une manière de se situer par rapport au passé maudit de l’humanité, et de défier le sort promis par l’avenir. Je crois savoir ce que manger veut dire…

      Mais je dois ajouter que, chemin faisant, j’ai changé d’avis et de goût.
      Modifier ses habitudes est l’une des vraies grandes libertés qui nous sont laissées.
      Je l’ai fait.

      Derrière la viande, peu à peu, les morceaux, hauts et bas, se sont reformés, comme dans les dessins animés de mon enfance, qui ignorent tout de la logique triviale de la vie ordinaire. Derrière une côte de bœuf, j’ai fini par voir un bœuf. Derrière un gigot, un agneau. Derrière un jambon, un cochon.

      On peut parler d’un choc, immense et lent.
      L’histoire que je vais vous raconter n’est pas simple, et j’en suis le premier désolé.
      Elle peut d’autant plus paraître compliquée qu’elle l’est en réalité.

      Mais ce n’était pas une raison pour faire un livre pesant. Celui-ci ne devrait pas l’être. On y verra beaucoup d’hommes en action, prenant en notre nom des décisions plus ou moins réfléchies. Avec des conséquences majeures que la plupart ignorent.
      Cela explique les tours, détours, ruses et contorsions d’une affaire profonde, qui nous concerne tous.

      Ce livre sur la viande commande du temps, et de la réflexion. Peut-être est-ce une mauvaise idée de le signaler d’entrée, à l’heure d’Internet et du zapping tous azimuts. Mais c’est ainsi. Au moins ne serez-vous pas trompé sur la marchandise.
      Il reste que cet ouvrage peut aussi se lire pour ce qu’il est : une formidable aventure aux conséquences inouïes. Où rien n’était inévitable. Où tout aurait dû être pesé. Ou tout aurait pu être contrebalancé.
      Une histoire pleine de bruit et de fureur, emplie jusqu’à déborder de qualités qui sont souvent de pénibles défauts. Laissez-vous porter par cette vague venue des temps les plus anciens, et posez-vous les bonnes questions, qui vous rendront fiers d’être des humains dignes du mot.

      Comment des animaux aussi sacrés que le taureau Hap de la plus haute Antiquité sont-ils devenus des morceaux, des choses, des marchandises ?

      Pourquoi des techniciens inventent-ils chaque jour, en notre nom, de nouvelles méthodes pour « fabriquer » de la « matière » à partir d’êtres vivants et sensibles ?

      Pourquoi leurs laboratoires sont-il aussi anonymes que secrets ?

      Pourquoi l’industrie de la bidoche est-elle dotée d’une puissance qui cloue le bec de ses rares critiques ?

      À la suite de quelle rupture mentale a-t-on accepté la barbarie de l’élevage industriel ?

      Pour quelle raison folle laisse-t-on la consommation effrénée de ce produit plein d’antibiotiques et d’hormones menacer la santé humaine, détruire les forêts tropicales, aggraver dans des proportions étonnantes la si grave crise climatique en cours ?… »

      Et vive le bio-végétarisme !!!

      1. «  » » »Lisez donc « Bidoche » de Fabrice Nicolino…
        Ou encore « l’Alimentation Saine » de Henri-Charles Geffroy » » » »

        Mais on s’en fiche des âneries écrites par ces types, Il vaut mieux lire des traités de médecine nutritionnelle (en faisant atention de ne pas tomber dans les filets des marchands de régime)

        Vous disez que les indiens sont au trois-quarts végétariens, c’est exact mais c’est dû à leur religion et non pas à une recherche de santé (si vous prenez les indiens musulmans ou chrétiens ils mangent du poulet, du poisson et de la viande rouge dès qu’ils peuvent s’en offrir (expérience vécue).

      2. Les seules âneries que j’ai pu lire ici sont les vôtres cher ami !!!
        ;o

        Plus qu’un autre vous ne devriez pas vous « foutre » de ce que ces individus – auxquels vous n’arrivez même pas à la cheville intellectuellement et moralement (!!!) – ont écrits !…

        Vous reconnaissez tout de même que nombreux sont les indiens végétariens – et ce depuis de nombreuses générations, et ils ne s’en portent pas plus mal bien au contraire -…. ce qui prouve bien que l’homme n’a pas besoin de viande pour vivre… et qu’importe que leurs motivations soient religieuses, ou éthiques, ou philosophiques ou médicales. Le fait est là : on peut-être bien vivre sans viande et en excellente santé !

        Même de grands champions – qui ne sont pourtant pas indiens – nous le prouvent :
        Tel Paavo Nurmi par exemple, végétalien intégral et pourtant le plus grand coureur de sa génération….
        Murray Rose, l’un des meilleurs nageurs de sa génération…
        Et parmi bien d’autres encore : les légendaires Fausto Coppi, Edwin Moses et Carl Lewis !

        Voir par exemple :
        –  » http://www.vegesport.org/celebres.html « 

      3. Pour les autres je n’ai pas encore vérifié,mais il se trouve que que ce que vous dites sur Copi est contredit parf sa biographie dont voici un extrait:

        «  » » »Pour sa part, Fausto Coppi est plus élancé, maigre, son style tout en souplesse le fait surnommé « Le Héron » ou « L’Albatros ». Il expérimente de nouvelles méthodes d’entrainements, s’intéresse à l’amélioration du matériel et à la diététique : une fois par semaine, il ne se nourrit plus que de foie et de germe de blé. Il crée enfin le type du champion gentleman et homme d’affaires. Bref, Fausto Coppi fait progresser sa discipline et a plusieurs années d’avance sur Bartali et les autres cyclistes. » » » »

        Du foie étonnant pour un végératien non? Il est vrai que Coppi a apporté beaucoup à la diététique cyclisten notamment pendant les courses où il a éliminé les sandwiches au steack haché pour les remplacer par des galettes au miel (les sucres rapides sont essentiels pendant l’effort) mais il n’était pas jusqu’à preuve du contraire végétarien.

        Vous taxez les autres di’gnorance mais je me rends compte que votre savoir semble très limité et vous semblez également prêt à prendre certaines libertés avec la vérité pour faire valoir votre thèse.

      4. Un petit mot sur Carl Lewis, ce dernier se serait converti au végétarisme au début des années 1990 donc vers la fin de sa carrière. Maintenant que penser d’un exemple qui triche et se dope pour gagner ?

        Daneel Olivaw, comprenez moi bien, que vous mettiez votre santé en danger ne regarde que vous, mais je vous onteste le droit de faire l’épologie ,de ce type d’alimentation tant que des études scientifiques sérieuse n’auront pas prouvé déventuels bienfaits. Pour l’instant c’est plutôt l’inverse, il y a un consensus chez les médecins nutritionnistes qui dénonce les dangers de ce tyhpe d’alimentation.

      5. Désolé pour les fautes de typo..

      6. (mode avocat du diable on)

        Est-ce que c’est les mêmes médecins nutritionnistes qui me conseillent les petits pots bledina plutôt que mes bons légumes du jardin sans pesticides ?

        (mode avocat du diable off)

      7. Tu n’a pas besoin de « jouer les avocats du diable » cher ‘Nimch’… ‘Robert’ joue déjà très bien ce rôle !!!
        Là, j’a vu qu’il prenait son pied en prétextant que certains noms de « ma liste » de VG – que je n’ai évidemment pas vérifié, ne connaissant même pas ces personnes – ne serait pas si VG que ça… (Einstein et Gandhi l’étaient eux, par contre… ainsi que le président du GIEC Rajendra Pachauri)…
        Et alors ?
        Même si c’est vrai – ce qui reste à vérifier (!!!) – cela ne change pas un iota à mon message…
        Et cela ne change pas non plus le fait que notre « avocat du diable » ne fait que délirer !!!!!!

      8. Chez les nutritionnistes soumis aux laboratoires pharmaco-chimiques et aux industriels de la Bidoche et de la Chimie, oui… mais certainement pas chez ceux qui sont libres de leurs magouilles et mensonges caractérisés !
        Que vous soyez stupide et persistez à ne pas évoluer ne regarde que vous, mais je vous conteste le droit de vouloir rendre votre prochain aussi ignare, inconscient et irresponsable que vous vous obstinez à le rester.

        Comprenez-moi bien, le végétarisme n’a jamais tué personne… le viandisme par contre a non seulement tué mais aussi rendu dépendant de la pharmacochimie des millions de personnes, assurant ainsi un bénéfice net très important à ces « industries de la mort » !…
        Et je ne parle même pas de la pollution que cette industrie du diable engendre sur la planète…. ainsi que toutes les souffrances qu’elle provoque parmi les autres espèces animales qui nous cotoient sur cette Terre, et que des gens comme vous ont décidé de mépriser et d’oppresser, … comme je l’expliquais déjà dans mon message « final » :

        Les animaux sont les victimes innocentes de la vision du monde qui soutient que certaines vies ont plus de valeur que d’autres, que les tout-puissants ont le droit d’exploiter les impuissants, et que les faibles doivent être sacrifiés pour les plus forts.
        Ceux qui défendent, protègent et se battent contre l’oppression des animaux agissent au cœur du problème…
        Les autres font partie du problème, pas de la solution !

  12. EN GUISE DE CONCLUSION :

    Le veganisme est souvent décrit par ses détracteurs comme une « utopie naïve en totale contradiction avec la vraie nature de l’Homme : un prédateur, en haut de l’échelle alimentaire, supérieur aux autres animaux en intelligence et émotion »….

    Cette affirmation de la suprématie humaine et le droit de tuer les plus faibles, c’est la pensée fasciste à l’état pur.
    Adolf Hitler résuma au mieux cette pensée sans fondement lorsqu’il déclara : “Celui qui ne possède pas la puissance perd le droit à la vie.”

    Jamais les croyances d’Hitler n’ont trouvé de terrain plus fertile que dans notre monde moderne industrialisé, où chaque jour, des millions d’agneaux, de veaux, de cochons, de poulets, de vaches, de chevaux, et autres animaux innocents, sont transportés dans des centres d’abattages pour être massacrés pour les tables de l’espèce supérieure.
    Pourquoi ? Parce qu’ils ne peuvent pas protester et se défendre face à ceux qui ont décidé de les tuer pour les manger…

    (lLES TUER ET LES MANGER POUR LA SEULE JOUISSANCE DE LEURS GOÛTS CORROMPUS ET PERVERTIS !
    CAR IL N’Y A PAS LE MOINDRE BESOIN VITAL POUR L’HOMME DE MANGER DE LA CHAIR ANIMALE !!!)

    Parce que nous marchandisons et exploitons les animaux, nous sommes d’autant plus enclins à faire la même chose aux humains. L’exploitation animale est le berceau de la cruauté humaine.

    La meilleure façon de prendre le mal à la racine de ce comportement et cette façon de penser fasciste et sans fondement envers les autres, est de protéger les êtres les plus vulnérables au monde – les animaux.

    Faire du monde un endroit plus sûr pour les animaux en fera un endroit plus sûr pour les humains aussi.

    Si les gens apprennent à être plus compatissants envers les animaux, ils agiront de la même façon envers les êtres humains.

    L’oppression animale forme le terrain propice d’où naissent les persécutions, le racisme, les génocides, les guerres, le terrorisme, le colonialisme, l’esclavage, et toute autre atrocité dans laquelle nous, en tant qu’espèce supérieure, nous engageons avec insistance….

    Les animaux sont les victimes innocentes de la vision du monde qui soutient que certaines vies ont plus de valeur que d’autres, que les tout-puissants ont le droit d’exploiter les impuissants, et que les faibles doivent être sacrifiés pour les plus forts.

    Ceux qui défendent, protègent et se battent contre l’oppression des animaux agissent au cœur du problème…
    Les autres font partie du problème, pas de la solution !

    A BON ENTENDEUR….

    (Cf. : « http://www.veganimal.info/article.php3?id_article=484 »)

    1. Et pour finir le point Godwin….

      1. Ben voyons… les insultes stupides !
        Mais cela ne m’étonne pas de votre part !!!!
        Vous faites bel et bien partie du problème pauvre homme… certainement pas de la solution écologique à notre malheureuse planète en souffrance.

  13. Entendu à la radio dimanche.
    « Idéologie », c’est quand les réponses arrivent avant les questions.

  14. Author

    J’ai comme l’impression que ça tourne en rond cette discussion. J’y vois de l’idéologie et de l’intolérance, alors je ferme les commentaires, le temps que tout le monde reprenne ses esprits.

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