Ce dimanche se serait déroulé comme beaucoup d’autres, au journal, s’il n’y avait eu une effervescence exceptionnelle. Florence est en route pour Paris, Hussein a déjà retrouvé les siens, pour une fois des bonnes nouvelles après cinq mois d’angoisse. Libres! Enfin.
Je replace ici mon précédent comment:
La persévérance vient à bout de tout.
J’ai trouvé génial le sourire et l’humour de Florence Aubenas malgré sa longue et pénible captivité.
En espérant que le mien ne soit pas trop trop déplacé: désolé Florence, selon les « NULS » la vache qui rit existe en irak: un gros kurde, un petit kurde, c’est l’heure de l’apéri-kurde!
« La persévérance vient à boût de tout » (Salade)
La persévérance, une question de détermination, psychologique, individuelle d’abord mais partagée aussi, car communicable, n’en déplaise aux pessimistes sociaux et politiques. Bien sur, tout un chacun peut aussi persévérer par habitude, distraction, pour la bonne ou la mauvaise cause, s’entêter dans ses erreurs de jugement et ses actes, en masse même, vers une mauvaise détermination, destination et cela sans conviction, ni foi, bonne ou mauvaise, comme tu nous le rappelles opportunément, Salade, sur une autre rubrique… Reste ensuire à convaincre les autres, car certaines de ces étranges créatures désabusées s’y emploie, quand même, de suivre, de les inciter à ne pas préferer une autre voie, ce que nous faisons tous à divers échelles, car le sorts des uns est aussi liés aux décisions des autres
D’où les multiples conflits grands et petits quand nous devons choisir, nous prononcer, dans lesquels nous sommes sciemment ou non engagés, entre nous et une part variable de l’humanité (55% des français à dos pour avoir dit du mal du Docteur Etienne, Salade!) mais en dépit de tout relativisme, le mensonge existe, en gros et aux détails, pieux ou cruel, intentionnel ou échappé et peut être dévoilé, heureusement, et je crois qu’une certaine forme de civilisation, marchande, occidentale par ses origines, dominante et arrogante, dans ses modèles et ses institutions, ses structures et ses fins, est de moins en moins convaincante
Fondée et séparée des autres par l’expansionisme extérieur et la croissance intérieure, sa force conduit au même mur, du fait de la limitation réelle de la planète (qui est ronde et tourne autour du soleil pour ceux qui en doutent encore…).
Que les bonnes âmes se rassure, nul affront pour Florence dans l’article de CQFD, mais un bel instantané de la corporation. C’est même peut-être CQFD qui lui rendit un des plus meilleur hommage avec un dessin. «Florence Aubenas libérée». – Un barbu: «…on ne supportait plus son humour».
Un oubli dans ce qui reste une des meilleures revues sur le phénomène, une mention spéciale dans l’impudence pour Val qui cette semaine-là fit passer son édito d’éloges en une de « Charlie ». Il faut se rappeler quel danger affronte ce courageux professionel de l’information pris en otage hebdomadairement par le quarteron de gauchistes qui compose son canard, après quelques courbettes pour tenter de conserver une respectabilité de gentil garçon auprès de ses chers confrères de la presse parisienne (jusqu’à appeler à voter oui contre toute sa rédaction!).
Ajourd’hui on débat de la nouvelle maquette de « Libé » sans trop évoquer les restructurations de l’équipe prévue pour accompagner le changement. Qu’y a-t-il de moins transparent que la presse finalement?
Je replace ici mon précédent comment:
La persévérance vient à bout de tout.
J’ai trouvé génial le sourire et l’humour de Florence Aubenas malgré sa longue et pénible captivité.
En espérant que le mien ne soit pas trop trop déplacé: désolé Florence, selon les « NULS » la vache qui rit existe en irak: un gros kurde, un petit kurde, c’est l’heure de l’apéri-kurde!
« La persévérance vient à boût de tout » (Salade)
La persévérance, une question de détermination, psychologique, individuelle d’abord mais partagée aussi, car communicable, n’en déplaise aux pessimistes sociaux et politiques. Bien sur, tout un chacun peut aussi persévérer par habitude, distraction, pour la bonne ou la mauvaise cause, s’entêter dans ses erreurs de jugement et ses actes, en masse même, vers une mauvaise détermination, destination et cela sans conviction, ni foi, bonne ou mauvaise, comme tu nous le rappelles opportunément, Salade, sur une autre rubrique… Reste ensuire à convaincre les autres, car certaines de ces étranges créatures désabusées s’y emploie, quand même, de suivre, de les inciter à ne pas préferer une autre voie, ce que nous faisons tous à divers échelles, car le sorts des uns est aussi liés aux décisions des autres
D’où les multiples conflits grands et petits quand nous devons choisir, nous prononcer, dans lesquels nous sommes sciemment ou non engagés, entre nous et une part variable de l’humanité (55% des français à dos pour avoir dit du mal du Docteur Etienne, Salade!) mais en dépit de tout relativisme, le mensonge existe, en gros et aux détails, pieux ou cruel, intentionnel ou échappé et peut être dévoilé, heureusement, et je crois qu’une certaine forme de civilisation, marchande, occidentale par ses origines, dominante et arrogante, dans ses modèles et ses institutions, ses structures et ses fins, est de moins en moins convaincante
Fondée et séparée des autres par l’expansionisme extérieur et la croissance intérieure, sa force conduit au même mur, du fait de la limitation réelle de la planète (qui est ronde et tourne autour du soleil pour ceux qui en doutent encore…).
youpi
LENDEMAINS DE FÊTE
Enfin disponible en ligne avec «La Tomate globale» et
l’intégrale du n°25: http://www.cequilfautdetruire.org/rubrique.php3?id_rubrique=39
«Sainte Florence: canonisation express»:
http://www.cequilfautdetruire.org/article.php3?id_article=696
Que les bonnes âmes se rassure, nul affront pour Florence dans l’article de CQFD, mais un bel instantané de la corporation. C’est même peut-être CQFD qui lui rendit un des plus meilleur hommage avec un dessin. «Florence Aubenas libérée». – Un barbu: «…on ne supportait plus son humour».
Un oubli dans ce qui reste une des meilleures revues sur le phénomène, une mention spéciale dans l’impudence pour Val qui cette semaine-là fit passer son édito d’éloges en une de « Charlie ». Il faut se rappeler quel danger affronte ce courageux professionel de l’information pris en otage hebdomadairement par le quarteron de gauchistes qui compose son canard, après quelques courbettes pour tenter de conserver une respectabilité de gentil garçon auprès de ses chers confrères de la presse parisienne (jusqu’à appeler à voter oui contre toute sa rédaction!).
Ajourd’hui on débat de la nouvelle maquette de « Libé » sans trop évoquer les restructurations de l’équipe prévue pour accompagner le changement. Qu’y a-t-il de moins transparent que la presse finalement?