Les distributeurs automatiques de billets seraient plus crades que les toilettes publiques. C’est ce qu’explique un papier paru dans le Telegraph la semaine dernière.
Dans les toilettes des bars, restaurants et autres lieux accueillant du public, il est un indicateur qui renseigne sur l’état de propreté. Indicateur repoussant, l’odeur, mais pas forcément fiable. Parce que les microbes n’ont pas d’odeur. Alors on ne se méfiera pas des GAB et autre DAB mis à notre disposition par les banques qui se débarrassent par la même occasion de guichets humains jugés trop onéreux. Et pourtant, chacun y dépose et reçoit de multiples bactéries… Faut-il s’en alarmer, à l’instar du Telegraph? Si ça vous amuse. Parce que le papier a été écrit sur la base d’informations données par une firme qui fabrique des revêtements anti-microbiens… Laquelle a été faire des prélèvements sur toutes sortes d’objets mis à la disposition du public. Si on les écoutait, on finirait par vivre en scaphandre.
Bonjour Denis,
Est-ce vraiment utile de reprendre ce genre de ragots?