La guerre du climat se poursuit dans la science américaine

Feu d'artifice © DDq
Feu d'artifice © DDq

«C’est la  fraude pseudoscientifique la plus grande et la plus efficace que j’ai vu dans ma longue vie de physicien.» Harold Lewis, âgé de 87 ans dont 67 en tant qu’adhérent de l’APS, ne croit pas au réchauffement climatique lié aux gaz à effet de serre et le fait savoir. Dans sa lettre de démission, adressée la semaine dernière au Président de la société américaine de physique (APS), Curtis Callan, il souligne que l’argent du business du réchauffement a corrompu les scientifiques en général, et l’APS en particulier. Il en veut pour preuve les emails volés du Climategate. Lewis accuse l’APS d’avoir bâclé la rédaction de sa position officielle, qui défend la thèse du Groupe d’experts de l’Onu pour le climat (Giec), à savoir que le réchauffement est provoqué les émissions de gaz à effet de serre des humains. «La déclaration tendancieuse de l’APS sur le changement climatique a apparemment été rédigée dans l’urgence par quelques personnes pendant un déjeuner, et n’est certainement pas représentative des talents des membres de l’APS tels que je les connais.» Lewis reproche aussi à l’APS d’avoir rejeté une pétition qui demandait de revoir sa position officielle sur le dossier climatique, contrairement à ses statuts. Et il accuse les climatologues, à commencer par le patron de l’APS de profiter du changement climatique.

Gloire et célébrité. «Ton propre département de physique (celui que tu diriges) perdrait des millions chaque année si la bulle du réchauffement climatique explosait. (1)» Il souligne que «quand l’université de Pennsylvanie a absous Michael Mann et que celle d’East Anglia a fait de même pour Phil Jones, [tous deux mis en cause lors du Climategate], elles n’ont pas pu oublier les conséquences financières qu’aurait entraîné une décision inverse». Lewis évoque aussi «les milliers de milliards de dollars en jeu, pour ne pas parler de la célébrité et de la gloire (et des voyages fréquents dans des îles exotiques) qui vont de pair avec l’appartenance au club». Et Lewis de conclure, qu’il souhaite rester ami avec le destinataire de sa lettre!

En général, l’APS ne répond pas publiquement aux courriers qui lui sont adressés. Mais cette fois, la coupe est pleine. Elle a donc publié mardi une mise au point, dont je vous livre la teneur:

«L’affirmation du Dr Lewis qui dit que les positions officielles de l’APS sont guidées par le profit financier est fausse. Bien au contraire, en tant qu’organisation dont les membres sont plus de 48 000 physiciens, l’APS adhère à des principes éthiques rigoureux pour rédiger ses déclarations. La société ouvre ses déclaration à la discussion si les membres adressent une pétition au Conseil de l’APS, son corps de gouvernement élu démocratiquement. La charge du Dr Lewis qui affirme que l’APS, en tant qu’organisation, profite financièrement des financements liés au réchauffement climatique est toute aussi fausse. Ni les personnes qui la gèrent, ni ses dirigeants élus ont des intérêts dans un tel financement. De plus, relativement peu de membres de l’APS font des recherches sur le climat, et par là même, la grande majorité de ses membres ne tirent aucun bénéfice personnel d’un soutien à ces recherches.

Sur le changement climatique global, l’APS note que virtuellement tous les scientifiques réputés adhèrent aux observations suivantes:

• Le gaz carbonique augmente dans l’atmosphère, à cause des activités humaines
• Le gaz carbonique est un excellent absorbant de rayons infrarouge, et par conséquent, sa présence croissante dans l’atmosphère contribue au réchauffement global; et enfin
• Le temps de séjour du gaz carbonique dans l’atmosphère se compte en centaines d’années.

Sur ces questions, l’APS juge que la science est tout à fait claire. Malgré cela, l’APS continue à reconnaître que les modèles climatiques sont loin d’être adéquats, et que l’ampleur du réchauffement global et des dérèglements climatiques provoqués par une augmentation soutenue du carbone atmosphérique reste incertaine. A la lumière des aspects suffisamment admis de la science, l’APS rejette l’affirmation que le réchauffement climatique est une “escroquerie” et une “fraude pseudoscientifique”.

De plus, l’APS remarque qu’elle a pris un soin extraordinaire d’étapes à solliciter l’opinion de ses membres sur le changement climatique. Après avoir reçu des commentaires significatifs des membres de l’APS, le Comité des affaires publiques de la Société a finalisé un addendum à la déclaration de l’APS sur le changement climatique, réaffirmant l’importance de ce dossier. Le Conseil de l’APS a endossé cette réaffirmation.

Enfin, en réponse à l’intérêt croissant exprimé par ses membres, l’APS est en train d’organiser un groupe d’intérêt pour diffuser de la recherche de premier rang et pour encourager les échanges d’information sur la physique du climat.»

On pourrait peut-être adresser ce texte à nos amis de l’Académie des sciences?

(1) Callan dirige le Département de physique de l’Université de Princeton. C’est un spécialiste de physique théorique.

19 commentaires

  1. Cancun approche…et il y a les élections de mi-mandat aux USA.

  2. Quand Lewis évoque «la célébrité et de la gloire», il est d’une hypocrisie sans nom : il sait pertinemment que la presse parle beaucoup plus de lui parce qu’il est sceptique que s’il ne l’était pas. C’est d’ailleurs la même stratégie qu’utilise Allègre pour que l’on parle de lui et qu’on ne l’oublie pas : se présenter comme quelqu’un qui, seul, se lève contre un supposé establishment. Parce que la presse grand public est très friande de ce genre de personnages (et peu importe, finalement, que leur discours soit dénué de sens, tant que ceux capables de le constater ne sont pas trop nombreux au sein de la population.)

  3. «C’est la fraude pseudoscientifique la plus grande et la plus efficace que j’ai vu dans ma longue vie de physicien.»
    De plus en plus de personnes, physiciens ou non, commencent à le dire aprés s’être longuement interrogées.

    Ca fait quand même un sacré barnum planétaire avec des milliards de dollars gaspillés si c’est juste pour reconnaitre des évidences telles que :
    « • Le gaz carbonique augmente dans l’atmosphère, à cause des activités humaines
    • Le gaz carbonique est un excellent absorbant de rayons infrarouge, et par conséquent, sa présence croissante dans l’atmosphère contribue au réchauffement global; et enfin
    • Le temps de séjour du gaz carbonique dans l’atmosphère se compte en centaines d’années ».

    Et alors ?

    Il y a longtemps que l’humanité fait feu de tout bois pour la reconnaissance, la gloire, ou pour gagner de l’argent (via des subventions, des crédits, des études,…) sans se soucier de l’intérêt ou de la rationalité du travail, pourvu que quelqu’un paye.

    1. Bonjour,

      On pourrait dire aussi qu’on a passé des siècles et dépensé une fortune pour pouvoir diagnostiquer des maladies comme la tuberculose, le choléra, les infections bactériennes.
      Quand cela concerne la santé, on trouve normal qu’on prenne des mesures pour lutter contre les maladies.
      Quand cela concerne le dérangement climatique, c’est inutile?
      Ou, comme le disait un ancien président, si ce n’est pas vous, c’est qui alors? Et si ce n’est pas maintenant, c’est quand alors?

    2. «  » » »De plus en plus de personnes, physiciens ou non, commencent à le dire aprés s’être longuement interrogées. » » » »

      sources ?

      A votre avis GML, que se passerait -il si la température globale terrestre augmentait de 5° ?

      1. Et si le ciel nous tombait sur la tête ?
        Et si la T° n’augmentait pas de 5° ?
        Et si la T° augmentait de 5° sans qu’on n’y puisse rien parce que c’est la nature et qu’elle a déjà davantage varié dans le passé sans aucune intervention humaine ?
        Et si …

      2. A toutes ces interrogations, il y a vos réponses ésotériques et des réponses claires et scientifiques.
        Sans compter le bon sens.

      3. Des réponses claires et scientifiques : Celle du physicien dans cet article qui s’étonne du ramdam pseuso-scientifique sur le RC anthropique par exemple ?

        Le bon sens qui voudrait qu’on arrête de gaspiller des milliards d’euros pour une thèse dont on doute encore beaucoup alors qu’ils pourraient être plus utiles ailleurs par exemple ?

      4. Le bon sens voudrait qu’on n’écoute pas les gens défendant des intérêts particuliers ou guidés par une idéologie, quel que soit leur bord, Les réponses claires et scientifiques ne se trouvent pas dans une lettre de démission mais dans les revues à comité de lecture.
        Ce que dit ce monsieur ne représente que son avis, il ne vaut donc pas plus que le votre ou le mien ou celui du pape.

      5. J’aime bien ce jeu !
        😉

        Et si les américains n’étaient jamais allés sur la lune ?
        Et si Michaël Jackson n’était pas mort ?
        Et si Paul Mc Cartney avait été remplacé par un sosie ?
        Et si la terre était plate en réalité, et que le réchauffement climatique n’était qu’un mythe ?

        Et si Lewis avait tout simplement « péter les plombs » ???

        🙂

  4. « L’avenir des générations futures ne peut être considéré comme acquis ! »
    C’est la première fois dans l’Histoire qu’une espèce, la nôtre, met en danger son propre avenir du fait de son mode de vie. et les gens qui nous disent ceci ne sont pas des adeptes du retour à l’âge de pierre, mais les plus grands scientifiques mondiaux sous l’égide de l’ONU …

    Comme le disait par ailleurs notre cher Hubert Reeves :
    « Nous avons maintenant de bonnes données scientifiques sur le passé de la Terre et sur les variations de température et de gaz carbonique.
    On s’aperçoit que sur la Terre il y a régulièrement, à peu près tous les 100.000 ans, une période glaciaire suivie d’une période plus chaude.
    Ces cycles ont lieu depuis au moins un million d’années.

    Les variations de température à la surface de la Terre sont un phénomène régulier.
    Alors à quoi est-il dû ?
    La raison en est que la Terre a une orbite pas tout à fait circulaire – elliptique -, de sorte que par moment elle est un peu plus loin du Soleil, et par moment un peu plus rapprochée. La quantité de lumière solaire qu’elle reçoit varie mais sur de très longues périodes, entre 40.000 et 50.000 ans.
    Nous pensons que c’est précisément la cause des phénomènes de grande glaciation.
    Il y a 10.000 ans, la température sur la Terre était d’au moins cinq degrés inférieure à ce qu’elle est aujourd’hui. Ce qui a eu pour effet une glaciation, il y avait de la glace dans toute l’Europe du Nord, elle descendait jusqu’en Espagne et en Amérique du Nord.
    C’est donc un phénomène régulier qui se produisait bien avant l’arrivée des êtres humains.
    Il y a eu des variations plus brusques dans les périodes de volcanisme qui ont augmenté la température. On sait par exemple qu’au temps des dinosaures, la température était de 10°C plus élevée qu’aujourd’hui. Nous avons donc une alternance des périodes chaudes et froides.

    Nous pourrions donc nous demander si le réchauffement que nous connaissons aujourd’hui n’est pas un phénomène naturel.
    En réalité, nous avons maintenant toutes raisons de penser qu’au delà du réchauffement naturel, l’activité humaine a renforcé ce phénomène, ce qui a considérablement accru la température à la surface de la Terre !…

    Rappelons que d’après le « Groupe Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat », la température moyenne augmentera de 1,1 à 6,4 % d’ici à 2100.
    Un tel changement aura forcément un impact sur la faune et la flore, et, selon une étude qui fait autorité, le réchauffement climatique pourrait entraîner la disparition de plus d’un million d’espèces d’ici 2050. Le pire n’est jamais sûr, et tout dépendra de notre capacité à prendre les mesures qui s’imposent pour limiter ce réchauffement.

    Cela étant, des impacts du réchauffement sont déjà visibles.
    La floraison de nombreuses plantes est plus précoce, les arbres ont avancé leur montée de sève, les dates de reproduction des amphibiens comme des oiseaux se décalent.

    Des études ont mis en évidence que le cycle de reproduction des mésanges dans le sud de la France ne correspondait plus à l’apparition des chenilles dont elles nourrissent leurs petits, ce qui entraîne une baisse du succès de reproduction, les adultes ne trouvant plus de quoi nourrir les poussins.
    Dans l’Atlantique, des espèces de poissons ont progressé au cours des 30 dernières années depuis le sud du Portugal jusqu’aux côtes de l’Irlande. En Méditerranée, des espèces arrivées par le canal de Suez s’adaptent très bien, perturbant l’écosystème local.
    Dans les océans tropicaux, les récifs coralliens sont affectés par le blanchissement, un phénomène qui résulte de l’expulsion des algues microscopiques vivant en symbiose avec le corail, lorsque la température dépasse les 30°C – et que parallèlement, par saturation de CO2, les eaux s’acidifient ! -…

    La biodiversité s’est, au cours des temps géologiques, déjà adaptée à des changements profonds, mais ces changements n’ont jamais été aussi rapides.

    Qu’en sera-t-il si nous n’agissons pas ?
    Mieux vaut ne pas le savoir et agir tant qu’il est encore temps !…

    Aujourd’hui, par l’industrie, les voitures ou encore le chauffage de l’habitat, nous augmentons considérablement la quantité de gaz carbonique dans notre atmosphère.
    Nous sommes déjà passés de 270 parties par million à 350, et ce taux continue de monter.
    Nous pourrions très vite doubler, voire tripler cette quantité de gaz carbonique dans l’air…

    Vénus, qui est assez semblable à la Terre, dans des conditions de distance solaire à peu près comparables, a un effet de serre extraordinaire : elle a une atmosphère de gaz carbonique beaucoup plus épaisse que la nôtre. La température à sa surface est par conséquent de l’ordre de 450°C ! » …

  5. «  » » »Vénus, qui est assez semblable à la Terre, dans des conditions de distance solaire à peu près comparables, a un effet de serre extraordinaire : elle a une atmosphère de gaz carbonique beaucoup plus épaisse que la nôtre. La température à sa surface est par conséquent de l’ordre de 450°C ! » … » » » »

    De mémoire Vénus est plus près du soleil d’environ 50 millions de kilomètres soit un tiers de la distance terre/soleil. Dire que c’est comparable est largement abusif. Par contre homme ou pas l’atmosphère de la terre sera comparable à celle de Vénus dans un milliard d’années.

    «  » » »selon une étude qui fait autorité, le réchauffement climatique pourrait entraîner la disparition de plus d’un million d’espèces d’ici 2050″ » » »

    Il serait utile de donner les références de cette étude qui fait autorité, car sans cela ce n’est pas crédible, quid des espèces qu’on découvre chaque jour ?
    .

    1. Réchauffement climatique ou pas, tous les biologistes (je n’en ai jamais entendu prétendant le contraire en tous cas) disent que la balance penche largement du côté de la disparition. Le rythme leur fait d’ailleurs dire que nous sommes dans une phase d’extinction massive. Et enfin, le bon sens devrait nous indiquer que les espèces animales/végétales ont plus de chance de s’adapter avec un changement long naturel (milliers d’années, ce qui ne veut pas dire qu’un changement naturel genre explosion de volcans en série ne puisse pas provoquer un changement rapide mais ce n’est en l’occurrence pas le cas aujourd’hui) qu’avec un changement rapide anthropique (10aines, 100aines d’années).

    2. En ce qui concerne votre opinion sur la « comparabilité largement abusive » des propos de l’astrophysicien Hubert Reeves sur Vénus, je lui transmettrais….
      😉

      Pour ce qui est de cette fameuse « étude qui fait autorité », je pense qu’Hubert Reeves faisait ici référence à l’étude « Biodiversité, l’autre choc » (il ne le mentionne malheureusement pas clairement dans ce texte , mais il en parlait dans un précédent chapitre (Cf. « Le Joli petit monde d’Hubert Reeves ». Éditions ELYTIS, septembre 2009) :
       » Regarder la réalité de la biodiversité, c’est ouvrir un nouveau regard sur le monde.
      On a découvert des espèces animales en nombre incroyable sur la canopée…
      On a découvert des espèces vivant sans lumière au fond de grottes, des organismes incroyables dans les sources thermales chaudes du fond de l’océan, vivant dans des conditions dont on pensait qu’elles étaient impropres à la vie….

      Cette nouvelle frontière pour notre connaissance doit nous conduire à inventer une nouvelle manière de prendre en compte la biodiversité.
      Quand nous savons que toutes ces espèces interagissent à la fois entre elles, et avec les milieux dans lesquels elles vivent, nous comprenons mieux l’urgence à stopper a perte de la biodiversité.
      ATTENTION À L’EFFET DOMINO :
      Un domino tombe, puis un autre, jusqu’à ce que la chute s’emballe et que plus rien ne l’arrête !….

      ‘BIODIVERSITÉ, L’AUTRE CHOC’ est une référence au réchauffement climatique dont la prise de conscience pour notre société a été un choc.
      Deux sénateurs, Messieurs Saunier et Laffitte, en travaillant justement à un rapport sur le réchauffement climatique, ont découvert et souhaité approfondir la question de l’érosion de la biodiversité. Et ils ont choisi de nommer leur étude ‘biodiversité, l’autre choc’ car ils ont découvert que les impacts sur notre vie étaient tout aussi importants que ceux du réchauffement.
      leur travail, disponible en ligne sur le site de Sénat, rappelle le bilan catastrophique de l’état de la biodiversité :
      – Rythme d’extinction d’espèces 10 à 100 fois supérieur à la normale…
      Et il pourrait en 2050 si rien n’est fait l’être de 100 à 1.000 fois !… »

      1. «  » » » »Pour ce qui est de cette fameuse « étude qui fait autorité », je pense qu’Hubert Reeves faisait ici référence à l’étude « Biodiversité, l’autre choc » «  » » » »

        Ah…..vous pensez, mais sachez que ce que vous pensez n’est en aucun cas une référence. Pour votre gouverne un livre n’est pas une étude scientifique même si le sujet qu’il traite l’est.

        Il ya des jours où je me dis que c’est l’homme qui devrait débarrasser le plancher.

        «  » » » je lui transmettrais » » » »

        Vous me rappelerez à son bon souvenir en lui disant que j’ai toujours en mémoire les mots qu’il m’a dit à l’université de Genève l’année dernière.

      2. Vous n’êtes vraiment qu’un abruti de première Robert…
        Le pauvre Hubert serait bien affligé de constater tous vos délires et médisances si malveillantes de ces derniers mois !

      3. «  » » »Vous n’êtes vraiment qu’un abruti de première Robert… » » » » »

        Tant que je ne vous ressemble pas, ça ira très bien… A part les insultes, quelque chose de sensé à dire ?

      4. Ce n’étais pas une insulte mais juste un diagnostic !
        Vous n’êtes bel et bien qu’un salopat qui ment comme il respire et ne sait que médire et calomnier.
        Bref : un nuisible, toxique !!!

        Mais qu’importe de discuter sur ce forum…
        Denis semble tout censurer et éliminer…
        NETTOYAGE PAR LE VIDE ?
        VIVE LA DÉMOCRATIE !!!

  6. C’est vrai qu’il y a un risque pour de nombreuses espèces, mais quand on sait que 90% de la vie marine est composée de microbes, ça change la donne, quelle vision avons nous de la biodiversité, la vie ça n’est pas que les grands mammifères, on découvre fréquemment de nouvelles variétés d’insectes . Les extinctions de masse ont déja eu lieu la vie est toujours là sous d’autres formes. maintenant s’il s’agit de savoir si l’homme mérite de rester sur cette planète est un tout autre problème.

    http://www.waldwissen.net/themen/waldoekologie/biodiversitaet/wsl_insekten_sihlwald_FR

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