Pour une mauvaise cause

Puisque les mensonges sont à l’honneur, soulignons que le célèbre Philip Cooney, conseiller à la Maison Blanche pour l’environnement, a fini par rendre son tablier. Il était accusé par les medias américains et de nombreux scientifiques d’avoir altéré des rapports pour discréditer le lien entre le réchauffement climatique et les activités humaines. Avant d’entrer au service de George W. Bush, Cooney était lobbyiste pour le compte de l’Institut américain du pétrole, où il combattait les tentatives de restreindre les émissions de gaz à effet de serre. Pour ceux que cela intéresse, notre correspondant à Washington Pascal Riché avait raconté dans Libé le 9 juin les coup de gomme et traits de plume pratiqués par Cooney. (Dépêchez-vous, l’article basculera vite dans les archives payantes…)

13 commentaires

  1. Bonjour,
    je pense que on n’écoute que ce qu’on a envie.
    Cela est valable pour tous.
    Cooney a certainement prétendu de bonne foi ne pas avoir menti. Et en effet, quoi de plus vrai quand on a raison. J’ai raison, tu as raison…Normal.
    Beaucoup de scientifiques dans la lignée de Lomborg ne croient d’ailleurs en rien au réchauffement climatique.
    C’est donc facile pour Bush (voir mes posts sur Thomas Kuhn)
    Quelle différence entre dire je ne crois pas au réchauffement climatique et dire j’y crois mais je ne fais rien (au nom du pragmatisme), ou pis je vante la fuite en avant?
    Drucker n’a pas encore imprimé.

    Lire aussi l’article de Stiglitz sur les limites de Kyoto dans la rubrique idées des Echos.

  2. Un truc comme ça en europe, discréditerait la firme.

  3. Les mensonges sont une chose; les non-dits sont une autre…Aujourd’hui les problèmes écologiques sont délibérément sous-estimés par la presse nationale et mondiale. Au contraire des affaires de pédophilie, meurtres et autres enquetes alléchantes…le bouleversement de l’écosysteme par l’homme est tout à fait ignoré par les médias. L’avenir de l’homme est en jeux, mais les « enjeux » dans notre société sont tout autre. Cherchons les causes. Les responsables des groupes de presse sont ligotés par des chaines en maillon d’or qui ont été élaborées par le capitalisme.Ce qu’ils recherchent c’est la vente de leurs journaux et non plus l’information pertinente. La recherche du profit est une des petites contraintes du capitalisme, il faut l’admettre. Lagardère, Dassault et autres le savent. Ces hommes sont à plaindre, ils sont ligotés par des chaines en or et ne peuvent plus philosopher…De plus relater les causes des problèmes écologiques ce serait décrédibiliser notre systeme economique actuel. Fin bref on nous pren toujours pour des cons…

  4. Méfiez-vous des ricains…

    Ils ont beaucoup de défauts, les moindres ne sont pas d’être tétus et teigneux…

    Pendant que les européens s’empoignent sur des questions d’idéologie écologique… ils travaillent et expérimentent… la Californie (= la France en pib) est sans doute le labo expérimental le plus avancé aujourd’hui.

    Le jour où il faudra prendre des décisions fermes, ils viendront avec leurs solutions efficaces et commercialisables…

  5. Kaïkaï! J’ai peur! Et ils débarquent quand? Où c’est déjà passé?

  6. La bombe atomique d’Hiroshima couverte par un brevet français ?

    L’énergie atomique se manifesta publiquement pour la première fois le 6 août 1945 : destruction à peu près complète et instantanée d’Hiroshima. La « performance » fut répétée trois jours plus tard sur Nagasaki avec le même succès. Si la surprise fut grande dans l’opinion publique, parmi les savants il n’en fut rien car ils envisageaient ce développement scientifique depuis 1939. Contrairement à ce qui a été écrit plusieurs années plus tard, ces destructions de masse ne traumatisèrent ni le milieu scientifique ni l’opinion publique. Elles furent perçues comme le début d’une ère nouvelle, « l’âge atomique » confirmant la fiabilité de cette nouvelle source d’énergie. Le mercredi 8 août 1945, on put lire à la une du journal Le Monde : « Une révolution scientifique : Les Américains lancent leur première bombe atomique sur le Japon » (voir:
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/lemonde_8aout.html ).
    L’unanimité fut assez parfaite dans l’ensemble de la presse. L’ampleur du désastre, ces êtres humains qui, en quelques millionièmes de seconde, furent « volatilisés » et ne laissèrent qu’une ombre sur les murs, loin de déclencher horreur et indignation, fut reçue comme la preuve objective d’un avenir radieux pour une humanité qui allait enfin être débarrassée à tout jamais des contraintes du travail. La matière se révélait source inépuisable d’énergie, qu’il serait possible d’utiliser partout sans limite, sans effort, sans danger. D’invraisemblables projets étaient présentés sérieusement comme à notre portée dans un avenir très proche. On parlait de faire fondre la glace des pôles par bombardement atomique pour produire un climat tempéré sur la terre entière, d’araser le Mont Blanc ou de combler la Méditerranée pour irriguer le Sahara (Joliot), etc.

    Le délire scientiste n’a plus jamais atteint de tels sommets. Les explosions sur le Japon furent glorifiées et bénies par tout ce que l’establishment scientifique avait de disponible: à l’époque cela
    s’appelait « les savants ». La mobilisation fut spontanée pour nous initier à cet avenir que les prix Nobel du « Projet Manhattan » nous avaient soigneusement préparé. Hiroshima devait ouvrir à l’humanité une ère de liberté, on entrait dans la modernité libératrice.

    La seule voix discordante fut celle d’Albert Camus dans l’éditorial de Combat le 8 août 1945 (voir :
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/combat_8aout.html ): « Le monde est ce qu’il est, c’est-à-dire peu de chose. C’est ce que chacun sait depuis hier grâce au formidable concert que la radio, les journaux et les agences d’information viennent de déclencher au sujet de la bombe atomique. On nous apprend, en effet, au milieu d’une foule de commentaires enthousiastes, que n’importe quelle ville d’importance moyenne peut être totalement rasée par une bombe de la grosseur d’un ballon de football. Des journaux américains, anglais et français se répandent en dissertations élégantes sur l’avenir, le passé, les inventeurs, le coût, la vocation pacifique et les effets guerriers, les conséquences politiques et même le caractère indépendant de la bombe atomique. […] Il est permis de penser qu’il y a quelque indécence à célébrer une découverte qui se met d’abord au service de la plus formidable rage de destruction dont l’homme ait fait preuve depuis des siècles ». Ces positions lui valurent, quelques jours plus tard, de violentes critiques.

    Pour France-Soir, l’ère nouvelle fut inaugurée le 16 juillet 1945, date de l’essai de la première bombe atomique. Il titre le 8 novembre 1945: « Le 16 juillet 1945 à Alamogordo, par une nuit d’orage, le monde est entré dans une ère nouvelle ». L’article se poursuit ainsi: « L’espèce humaine a réussi à passer un âge nouveau: l’âge atomique ». Ce même journal titrait un article le 9 août 1945 : « L’emploi de la bombe atomique ouvre des horizons illimités ». Le 10 août 1945, après la destruction de Nagasaki, France-Soir confiait ses colonnes à « un prince, académicien français et prix Nobel de physique » qui titrait son article: « L’homme pourra demain tirer plus d’énergie de quelques grammes de matière désintégrée que de la houille, de l’eau et du pétrole, par le prince Louis de Broglie, de l’Académie française ». Le 8 août 1945, le journal Libération titrait en première page: « La nouvelle découverte peut bouleverser le monde. […] Charbon, essence, électricité ne seraient bientôt plus que des souvenirs ».

    L’Humanité du 8 août 1945 (voir: http://www.dissident-media.org/infonucleaire/l_humanite_8aout.html ) titre en première page: « La bombe atomique a son histoire depuis 1938, dans tous
    les pays des savants s’employaient à cette tâche immense: libérer
    l’énergie nucléaire. Les travaux du professeur Frédéric Joliot-Curie ont
    été un appoint énorme dans la réalisation de cette prodigieuse conquête de la science ». Les journaux mentionnent à de nombreuses reprises la part jouée par la France dans cette prodigieuse découverte. Ainsi on trouve dans le Figaro du 9 août 1945 un communiqué de l’AFP : « Paimpol 8 août — M. Joliot-Curie fait de Paimpol la communication suivante : L’emploi de l’énergie atomique et de la bombe atomique a son origine dans les découvertes et les travaux effectués au Collège de France par MM. Joliot-Curie, Alban et Kowarski en 1939 et 1940. Des communications ont été faites et des brevets pris à cette époque ». Un de ces brevets porte sur les « Perfectionnements aux charges explosives », brevet d’invention n° 971-324 (voir : http://l2.espacenet.com/espacenet/bnsviewer?CY=fr&LG=fr&DB=EPD&PN=FR971324&ID=FR++++971324A++I+
    ), « demandé le 4 mai 1939 à 15 h 35 min à Paris ».

    Cependant, personne n’osa réclamer au gouvernement américain des
    royalties, bien que finalement on affirmât que la destruction de Hiroshima était couverte par un brevet français! Seul un bénéfice moral était attendu en exigeant que l’opinion mondiale reconnût la contribution française aux massacres d’Hiroshima et de Nagasaki.

    Témoignages sur Hiroshima et de Nagasaki:

    – Récits des jours d’Hiroshima du docteur Shuntaro Hida
    sur: http://www.dissident-media.org/infonucleaire/temoig_hida.html

    – Futaba Kitayama, atomisée à 1 700 mètres de l’hypocentre à Hiroshima sur:
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/temoig_futaba.html

    – Hideo Shimpo atomisé â 1 300 mètres de l’hypocentre à Hiroshima
    sur: http://www.dissident-media.org/infonucleaire/temoig_hideo.html

    – Ube Makoto atomisé à 3 kilomètres de l’hypocentre à Hiroshima
    sur: http://www.dissident-media.org/infonucleaire/temoig_ube.html

    – Tamiki Hara atomisé à Nagasaki le 9 Août 1945
    sur: http://www.dissident-media.org/infonucleaire/59_aniv.html

    Ces destructions de masse de la bombe atomique ne traumatisèrent ni le milieu scientifique, ni la presse, ni l’opinion publique…

    Ecoutez: « Micro-Climat » sur:
    http://www.dissident-media.org/fichier_real/micro_clima.ram (réglez le son assez fort), une émission de Radio Libertaire du 9/8/1988 avec Roger Belbéoch sur Hiroshima et Nagasaki, 1h34 en Real 8,5 Kb.

    Lire:
    – L’homme qui défia la censure sur :
    http://www.chez.com/atomicsarchives/homme_censure.html

    – Les véritables raisons d’Hiroshima sur :
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/raisons.html

    – Les ingénieurs oubliés de la bombe sur :
    http://www.chez.com/atomicsarchives/ingenieurs_bombe.html

    – Un extrait du livre Plus clair que mille soleils de Robert Jungk sur :
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/1000_soleils.html

    Voir:
    – Guerre du Pacifique: Nagasaki, un documentaire de Serge Viallet, 51mn en Realvideo 33Kb. sur :
    http://www.dissident-media.org/fichier_real/nagasaki.ram

    source : http://www.infonucleaire.net

    « Le délire scientiste n’a plus jamais atteint de tels sommets » depuis qu’Hiroshima fit la preuve éclatante de l’énergie nucléaire ? Tous les jours nous prouve le contraire et la promotion d’ITER en particulier, et toutes les promesses inconsidérées auxquelles elle a donné lieu, destinée à la seule promotion des promoteurs et bénéficiaires du projet dont les retombées en terme d’objectif final sont aussi floues que précis les chiffres de l’investissment. Tous les sommets peuvent-être dépassé dans le mensonge, naïf ou cynique, intéressé en tout cas et irresponsable, avec la complicité d’une pressse et des intérêt à courte vue qui contrôlent ce pays…

    Le ridicule ne tue pas, comme nous disons en France, le nucléaire si, ce qui lui a valu d’être reconnu si nécessaire et efficace. Quitte à pratiquer le terrorisme d’Etat, jusqu’à placer des bombes meurtrières dans des bateaux, en appeler à la violence prétendue légitime de l’état, aux matraques des CRS, à leur grenades à tir tendue, à la pression psychologique et économique quotidienne contre les mécréants, sectionner la jambe d’un militant, pour tâcher de convaincre les derniers récalcitrants. Mais il en reste et la lecture de ce texte devrait vous amenez à réfléchir nous-même au rôle que nous jouons, simple consommateurs, journalistes, scientifiques, politiques, dans cette histoire.

    Ménilmontant, le samedi 6 août 2005

    A. Laborde
    Collectif pour une Ecologie autonome
    7, rue Henri Chevreau, 75020 Paris

  7. CONTRE l’ENERGIE ATOMIQUE à la CEA (suite)
    __________________________________________
    Pour la totale (avec les images, l’intégrale du commentaire d’Adrien – aïe ! – des nouvelles et un agenda, ainsi que les réactions) : http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=40447

    SUR LES PUBS EDF qui envahissent et nourrisent à nos frais presse et métro grâce à nos factures (merci)
    ________________________________________________________
    L’extrait d’un petit débat entamé le 14 juillet dernier au cours d’une discussion à propos de tout autre chose (un bidonnage du PC et de l’ « Humanité ») :

    — Chicoree : « Mais une belle pub à l’intérieur »

    « Un mignon dessin pleine page qui fleurent bon
    son écolo-baba-bobo-en-douce-douce : rien ne manque
    ni le lapin sur la berge, ni la barque
    avec les amoureux sur le fleuve, ni le
    pique nique dans l’herbe et les petite fleurs
    avec la nappe à carreau au bord de l’eau, et s’il y a
    bien l’avant d’une voiture c’est une coccinelle etc.
    etc. une ville à l’arrière plan relié au premier
    par un superbe pont, bel ouvrage d’art etc. etc.
    Tout cela pour nous vanter les mérites d’EDF.

    « Hier c’était pour « Libé », Et demain ?

    « Pourquoi d’abord, ça sert à quoi ? On a le choix ?

    « Il ont le monopole encore, non ? Alors pourquoi se faire de la pub ? »

    – Rémi »: « pub edf »

    Me suis toujours demandé quel était le but des pubs edf. Inciter à acheter une cafetière 750 Watts au lieu de 500 ? Laisser le frigo ouvert ? M’est avis qu’edf prend de l’avance quand on aura effectivement la possibilité de s’abonner à un autre distributeur.

    (source : http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=39308&id_mot=17#commentaires )

    Rémi n’a pas tort, mais nous déconseillons fortement de laisser la porte ouverte pour pallier à la canicule en absence de climatisation comme il le suggère et le préconise Micchan (http://mitsu.20six.fr/ pour le canard). Son argument, d’une réelle acuité politique nourrie d’une vraie inspiration marxienne face aux divers tendances staliniennes des débats militants n’épuise pas le sujet. Nous n’aurons pas la présomption de croire que ce sont les attaques de Jibiji dans son post du juillet 2005 sur ce blog, dans la rubrique « Refoidissement » : http://terre.blogs.liberation.fr/terre/2005/07/refroidissement.html#c6697507 ni les commentaires dont le pamphlet LE GENIE NUCLEAIRE FRANCAIS, UNE BIEN MAUVAISE EXCUSE d’Adrien Laborde qui lui ont fait suite, ni les multiples rappels d’alors à l’occasion de l’anniversaire de l’attentat contre le RAIMBOW WARRIOR ou d’HIROSIMA qui a valu cette manne à la presse parisienne et à la RATP. Cette Régie se vante que la publicité représente une part hénaurme de son chiffre d’affaire et permet de réduire les frais pour les transportés…

    Rien à pêter, le billet est toujours trop cher, nous aimerions déjà connaître le prix du contrôle (machines artificiels et humaines), des frais de justice etc., le coût total de la répresssion, leur part dans le passif pour nous prononcer sur l’économie que nous fait réaliser la publicité ingurgité en prime du transport.

    Il n’y a pas que les caluculs sur le CO2 qui soient sujets à débat, à croire qu’ils servent d’abord à nous faire oublier les autres… Bien sûr, le peuple, c’est bien connu ne s’intéresse pas aux chiffres mis à part pour le Loto et le Tiercé, des Chiffres et des Lettres pour les plus cultivés, son compte en banque. Heureusement. Combien déjà ce grotesque de Delanoë a gaspillé pour le clip de Besson ? Nous avons déjà oublié…

    Quand nous prenons conscience que la publicité d’EDF est payée sur nos factures, de notre électricité, nous sentons friser l’excentricité voire monter l’indignation, mais bon, on s’y fait. Tout va bien, en fait, en fin de compte. Ne serait la canicule. Mais il y’a de la bière au frigo.

    Cela fait longtemps que tous nous savons que le monde est absurde.

    Eux prétendent nous convaincre du contraire. Qu’il est propre et bien rangé.

    Bon ils en sont peut-être convaincus d’où ils le regardent.

    Mais pourquoi essayer de nous le faire croire ?

    C’est Salade, nous pensons, qui, il y a peu (où ? son regard perçant nous mettant sur la piste de tant de supercheries qui serait passé inaperçues sans lui !), attirait notre attention sur le nouveau logo d’Électricité de France bienvenu, adopté récemment, pour combien de million, demandait-il, malignement, et inauguré lors de cette campagne d’afrfichage qui représente une éolienne.

    Les grandes entreprises qui gèrent les services publics comme la fourniture de fluides (eau, électricité en premier), relevent toute de capitaux très concentrés, privés ou étatiques. En France la frontière n’est plus floue, elle est folle.

    Elles sont, du fait même du caractère public des infrastrucutures dont elles ont la charge vénale comme nous disions sous l’ancien régime, toutes plus ou moins hégémoniques sur le territoire d’un Etat-nation. La question est juste de savoir entre combien cette société, ces sociétés, au nombre compris entre 1 et, disons, au maximum, 5 ou 6 se partage(nt) la manne).

    Indispensables et donc à l’abri du contrôle direct du citoyen et de la masse des consommateurs/payeurs, ses sociétés n’en sont pas moins sensibles à l’opinion publique, ne serait-ce que parce que leur destin relève aussi de choix de haute politique.

    Elles se savent contestée et que l’action protéiforme de leurs adversaires, même si elle fait de leur division une faiblesse, est sa principale menace.

    D’où leur nécessité de se concilier la masse et pour cela jouer sur l’imagerie dominante dite bobo, conservatisme en matière de moeurs, voire nunucherie la plus totale, genre Amélie Poulain : la France des annés 50, mais on a gommé les Arabes et la Guerre, alliée à la confiance aveugle dans la permanence de ce monde paternel et les promesses des grandes instances politico-scuientifiques qui s’occupent de nous assurer notre confort.

    Tout va bien Madame la Marquise.

    Dormez les petits.

    Ces fantasmes sont ceux qu’attendent les dirigent des « créatifs » qui ont conçu la pub. Cela représente une sorte de moyenne, idéale.

    Nous pouvons vous confirmer que peu sont dupes, eux les premiers certaiement.

    Sans compter qu’à force de détournement, d’autodérision et de récupération, et de double ou triple jeu, nous pouvons nous dire que le capitalisme d’Etat de grandes firmes peut tout digérer, quand l’Ecureuil de la caisse d’Epargne a fini par se trnasformer en rat dans un de leur dernier plan joliment initulé « Ricochet »…

    Mais bon l’argent ce n’est pas si grave. On peut s’en passer demandez aux Argentins. (formule : 1 peso argentin = 1 $ => du jour au ledemain, y’a plus d’argent du tout en Argentine, c’est ce qu’on a apellé le Corralito, cf. CQFD du 15 juillet).

    Le nucléaire si, car on ne pourra plus s’en passer, qu’on le veuille ou non :

    – pour notre production d’énergie, nous avons mis tous nos oeuf dans le même panier, les alternatives combattu par le mépris et la violence ;

    – par les déchets…

    Et voilà, c’est tout.

    C.E.A. (Centre écologique d’Action)

    Cela dit, nous invitons les dirigenant d’EDF et les autres personnes en charges de l’avenir énergétique de ce pays et de notre planète à consentir enfin, plutôt que de nous ignorer ou de nous pousser à nous exposer à la répression de leur force de l’ordre, à discuter avec nous, les nombreux et souvent compétents adversaires de leurs ootions, qui ne sont pas tous de dangereux hurluberlus, loin de là, et qui sont avec eux, rappelons-le, les seuls à se soucier de la question, la masse s’en foutant (axiome 1), et souvent bien informés. En face aussi de toute façon, sinon à quoi servirait tout ce déploiement policier ? Ils connaissent donc nos numéros de téléphones comme disait l’autre. A vous.

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