Il y a quelques semaines, une étude chinoise publiée dans la revue du CDC américain, Emerging Infectious diseases, laissait entendre que la climatisation est responsable de 10 contaminations dans trois familles déjeunant dans un restaurant de Canton (1). D’autres chercheurs sont retournés dans ce restaurant pour visualiser la façon dontLire la suite

Pierre-Yves Boelle est épidémiologiste à l’Institut Pierre Louis d’Epidémiologie et de Santé Publique, et professeur à Sorbonne Université. Entretien réalisé le 29 avril pour la préparation de l’Edito Carré et du Virus au carré de Mathieu Vidard, le 30 avril sur France Inter. Image: station de métro Denfert-Rochereau, à ParisLire la suite

Ce qu’il est convenu l’affaire du nuage islandais —depuis que les compagnies aériennes ont protesté contre les interdictions de vol— ne se contente pas de désorganiser le tourisme et l’activité économique en Europe, et les relations avec les autres continents. Depuis quelques jours, des milliers d’ouvriers agricoles sont au chômageLire la suite

Alors que les épidémiologistes et les journalistes n’avaient encore jamais entendu parler de la grippe H1N1, des rivières japonaises contenaient déjà des doses détectables de Tamiflu. Ça promet pour l’avenir!

Image. Le moustique Tigre. Image sous licence GNU/Wikipedia

Vous vous rappelez le «chik»? Cette spectaculaire épidémie qui, de fin 2004 à 2006, a frappé au moins 266 000 personnes sur l’île de la Réunion. Provoquant au passage une forte baisse des séjours touristiques sur l’île et surtout d’insoutenables douleurs articulaires pour les victimes, et plusieurs dizaine de décès.Lire la suite

Image: Une femelle anophèle adulte (pseudocouleurs). © Colorado State University

Anopheles Gambiae n’a qu’à bien se tenir. L’être vivant le plus dangereux au monde, qui utilise le paludisme comme arme de destruction massive, a été démasqué. Une équipe internationale a en effet décrit pour la première fois le système olfactif du terrible moustique pour la première fois. On sait désormaisLire la suite

n brevet, c’est sacré. Au point qu’une modification mineure d’un produit breveté ne peut pas être brevetée à son tour. C’est une bonne nouvelle pour la fabrication de médicaments génériques, après le rejet d’une procédure engagée par le suisse Novartis devant une Haute cour indienne. Le géant de l’industrie pharmaceutiqueLire la suite