Vous ne savez pas quoi lire en ce moment? Foncez chez un marchand de journaux et offrez-vous le dernier opus de Terra Eco. Le mensuel consacre sa Une au verdissement de la politique française. Vous y trouverez aussi un palmarès des régions françaises (économique, social et environnemental), une enquête sur les nanotechnologies et une foule d’autres papiers qui méritent le détour. Pour être complet, j’y signe un article de la rubrique « l’économie expliquée à mon père » consacré à l’évaluation des services rendus par les écosystèmes, tendance lourde dans l’économie du XXIe siècle. Un sujet passionnant!
2010-03-09
Salut! Je viens de voir l’auteur de « no impact man » sur canal. J’aimerais bien savoir ce que tu en pense. Bon, c’est vrai, tu n’es pas critique littéraire non plus, mais si à tout hasard tu le lis, et bien, j’aimerais assez avoir ton avis.
No impact Man , si c’est pas une escroquerie alors, qu’est ce c’est !
Ah ben c’est sûr, le titre est « racoleur ». Ca veut pas dire que l’initiative est inintéressante!
J’espère que tout le monde a regardé Arte et son sujet sur les Nano. D’ailleurs c’est une honte de nommer ça technologie et pas science. Mais n’est ce pas la faute des médias, qui colportent des nominations sans jamais corriger, que ce soit la grippe ou toutes sortes de slogans comme « le changement climatique » ( polémique en cours sur cette dénomination qui serait de la faute des écolos – bien voyons » ! En tous cas comme on dit on arrête pas le progrès et surtout il est vraiment urgent de définir l’avenir de l’humain face aux mutations fantastiques à venir. Le reportage était passionnant mais très mal fait mais c’est habituel dans le petit monde de la com , beaucoup d’effets inutiles, d’arrogances , de mises en valeurs stériles etc…
Après ‘Low Impact Man’, ‘No Impact Man’. A quand ‘Low Demand Man’.
La notion d’impacts (les effets) caractérise certainement le mieux la perspective actuelle de l’écologie, et je trouve que la notion de moyens (les conditions) devrait reprendre de la place au sein de l’écologie pour redonner une vision d’ensemble au mouvement.
Il y a presque une ligne de fracture entre une écologie qui serait respectable (celle qui reconnaît la nécessité de croissance) et une écologie qui serait considérée comme fanatique (celle qui professe que la croissance sera contrainte quoiqu’il advienne et que l’on a tout intérêt à le reconnaître).
Je réponds à la question du titre : un lézard ocellé n’a aucune valeur marchande. mais sa capture, sa destruction comme sa détention vaut à la personne le détruisant, le capturant ou le détenant, de devenir délinquant.
Effectivement, en temps qu’espèce protégée. A rajouter que son commerce est interdit.
Ceci étant dit, la question (malgré tout intéressante) est donc plus pertinente pour des espèces non protégées. Quel est donc le prix d’un chêne-vert ou d’un renard ?
Sur ce sujet, n’hésitez pas à aller vers le rapport mentionnée à l’article dont le lien est donné ci-dessous
http://eco.rue89.com/2009/04/29/biodiversite-quel-est-le-prix-dun-herisson