Un peu de science himalayenne ne fait jamais de mal

Alors que la bourde du GIEC sur la disparition présumée des glaciers de l’Himalaya n’en finit pas de défrayer la chronique, la revue Environmental Research Letters publie une fort intéressante synthèse sur ce qui se passe sur le plateau Tibétain, conduite par des chercheurs chinois, allemand et britannique (1). Et s’il n’est bien sûr pas question de spéculer sur une hypothétique date de disparition des glaciers, les scientifiques nous rappellent que le Tibet subit une forte mutation.

Quelques données, en vrac: sur le front des températures, la hausse moyennée sur 90 stations de mesure est de 1,8°C entre 1960 et 2007, soit un rythme de 0,36°C par décennie. Sur la période 1961-2003, la moyenne des minima quotidiens de température a grimpé de 0,41°C par décennie tandis que celle des maxima quotidien a cru de 0,18°C par décennie.

Sur le front des précipitations, la situation est moins homogène. Elles ont augmenté ces dernières décennies au centre et à l’est de la région, tandis qu’elles reculaient à l’ouest. Elles restent soumises à une très forte variabilité interannuelle.

Sur le front des glaciers, la tendance est bien, globalement, à la diminution des surfaces. Une petite partie seulement des 36800 glaciers de cette région se sont étendus, expliquent Shichang Kang et ses collègues. L’étendue globale a baissé de 4,5% au cours des dernières décennies. Paradoxalement, la couverture neigeuse est à la hausse, probablement à cause d’une modification du régime de mousson.

La température des sols gelés, le pergélisol, n’en finit pas de grimper, du moins sur la dizaine de stations qui la mesurent jusque dix mètres de profondeur. A six mètres, elle aurait grimpé —en moyenne— de 0,43°C entre 1996 et 2006 (gamme 0,12°C à 0,67°C). Dans certaines partie du Tibet, la surface de pergélisol a décru de 36% en trois décennies.

Voilà pour le constat. Mais d’où viennent ces variations, parfois importantes, relevées depuis plusieurs décennies? Les chercheurs relèvent cinq causes. D’abord, le réchauffement climatique global. Ensuite, des modifications de couverture nuageuse et un effet de rétroaction: la disparition de la glace provoque l’absorption d’un surplus d’énergie solaire, qui accélère la débâcle. Mais selon Kang et ses collègues l’augmentation de la surface enneigée n’est pas compatible avec un accroissement de cet effet «boule de neige». Reste une grande inconnue: quel est le rôle joué par les fameux nuages de pollution asiatiques? On peut penser qu’ils contribuent à réchauffer le climat, mais il reste encore beaucoup d’inconnues sur la manière dont ils influence la circulation météorologique. De même, on en sait encore peu sur l’influence des changements dans l’utilisation des sols (urbanisation, dégradation des pâturages liée à l’élevage, etc.).

Bien évidemment, tous ces résultats sont à prendre avec des pincettes. Ils reposent sur un nombre limité d’observations, dans des stations qui ont pu être déplacées au cours des dernières décennies. De plus, rappellent les chercheurs, le manque de données à partir de 5000 mètres d’altitude est un sérieux handicap pour dessiner de manière plus complète ce qui se passe dans l’Himalaya chinois. Une fois encore, c’est un renforcement de la science qui permettra de mieux comprendre ce qui se passe sur le «troisième pôle» de la planète.

(1) Review of climate and cryospheric change in the Tibetan Plateau, Kang et al. En libre accès. Pour information, l’étude a été soumise en mai 2009, acceptée le 4 janvier 2010 et publiée le 22 janvier.

49 commentaires

  1. Bonjour Denis,

    Tu exposes bien que le problème dans le Himalaya est un vrai problème, et la bourde du GIEC n’est que cela, une bourde. Mais pas la seule. A peu près tout ce qui a été dit ou écrit autour de cette bourde est aussi erronée. Voir l’analyse « définitive » (1) ici:
    http://www.yaleclimatemediaforum.org/2010/02/anatomy-of-ipccs-himalayan-glacier-year-2035-mess/

    (1) jusqu’à l’apparition d’une analyse encore plus définitive, évidemment

  2. «Alors que la bourde du GIEC»
    Quelle bourde ? c’était volontaire a écrit l’auteur principal.

    Une bourde c’est la superficie de la Hollande sous le niveau de la mer.

  3. La bourde, ce n’est pas que l’un des rédacteurs ait écrit quelque chose qui n’était pas validé. La bourde, c’est que les mécanismes de relecture du GIEC n’aient pas permis, à ce stade, de corriger l’erreur, alors même qu’ils l’ont relevée et signalée — quitte à laisser l’erreur à cette page parce qu’on ne pouvait plus faire tout réimprimer, et à ajouter un addendum en fin de rapport pour signaler et corriger l’erreur auprès du lecteur.

    1. Pourquoi voudriez-vous qu’ils corrigent pendant ou après puisque c’était volontaire.

      Ce n’était pas une erreur, c’était de l’agitprop.

    2. Affirmer que le rédacteur a voulu faire de l’agit-prop, et que le GIEC a commis une faute en n’appliquant pas correctement ses propres procédures de relecture et de contrôle est une chose. Prétendre que le GIEC lui-même ait délibérément fait de l’agit-prop en est une autre.

      Pour autant que j’ai pu lire sur le sujet, y compris les commentaires des relecteurs a posteriori (ceux que j’ai lus ne sont pourtant pas tendres avec le GIEC), on est beaucoup plus dans le premier cas que dans le second : manifestement, il n’y a pas eu volonté délibérée de tromper au niveau de l’organisation même du GIEC. Il y a eu seulement un manque de rigueur et de la négligence. Manque de rigueur et négligence qu’il faut évidemment corriger. Pour autant, une fois l’erreur reconnue, y a-t-il vraiment de quoi fouetter un chat ?

      1. Et quand le love gourou Pachauri affirme sans vergogne que « le GIEC s’appuie entièrement sur la littérature peer reviewed » (notez le « entièrement »), si ce n’est pas une volonté délibérée de tromper, c’est quoi ????
        C’est pas facile d’être un réchauffiste en ce moment, mais quand même, faut pas raconter n’importe quoi !

      2. Alors faisons la liste :
        . l’auteur principal et pas un obscur rédacteur qui casse le morceau en reconnaissant que c’était volontaire,
        . Pachauri soi-même qui monte au créneau pour défendre l’indéfendable (arrogant et science vaudou) pour ne pas rater 2,5 millions d’euros de subventions de l’ue (les c.ns !)
        . l’auteur initial Hasnain recruté par le même Pachauri pour s’ébattre dans ce fromage.

        et la cerise sur le gâteau, notre Jouzel à nous qui dit que ça n’a pas été repris dans les résumés, ben voyons banane, les résumés sont sortis plusieurs mois avant les rapports.

        et les glaciers d’Europe et d’Amérique depuis 1900 évalués par un hebdo d’alpinistes
        et la pôôvre Afrique et ses 40% de moins de récoltes
        et les 55% des Pays-Bas sous le niveau de la mer
        et les 40% de l’Amazone qui sèchent

      3. Réponse du porte-parole gu giec sur la énième bourde du pays-bas.
        « Les politiques n’ont pas a vérifier les chiffres du GIEC »
        Une bonne dose de mauvaise foi…

  4. Il y a bel et bien une bourde, les travaux du groupe 2 ne sont pas peer-rewieved (et c’est dommage), cette erreur ne se retrouve d’ailleurs pas dans le rapport destiné aux décideurs et ça n’empèche pas les glaciers himalayens de régresser.

  5. Robert : « Il y a bel et bien une bourde, les travaux du groupe 2 ne sont pas peer-rewieved »
    ——————————
    Sacré Robert alias Enisor alias Flanagan alias Cocaaladioxine et son love gourou Pachauri, une belle brochette de menteurs. Mon petit troll, quand t’es dans un trou, arrête de creuser. Arrête de creuser !!!

    « IPCC relies entirely on peer reviewed literature in carrying out its assessment », Pachauri, cité par l’EPA http://www.epa.gov/climatechange/endangerment/downloads/RTC%20Volume%2011.pdf

  6. Minitax @
    Vos gesticulations et votre troll permanent n’empèche pas les glaciers de fondre malheureusement. N’importe quelle personne un peu au courant de ce qu’est un glacier sait que la disparition totale des glaciers himalayens en 2035 (voire beaucoup plus tard) est impossible.

    Si on devait relever toutes vos âneries une vie ne suffirait pas à une équipe de i0 personnes.

    1. Si on devait relever toutes les âneries du GIEC une vie ne suffirait pas non plus à 10 personnes.
      Cette affirmation, comme la votre concernant Minitax, est sans fondement.
      Ce n’est pas parce que Minitax dit le contraire de ce que vous pensez qu’il dit des âneries.

      « N’importe quelle personne un peu au courant »… Il semble que les « experts » du GIEC ne soient effectivement pas n’importe qui…

      Et si on faisait appel aux chiffres et au raisonnement plutôt qu’aux adjectifs qualificatifs et à l’émotion ?

      1. Et pour en rajouter une couche: cette histoire n’est même pas une histoire de mensonges/vérités sur un fait (la fonte réelle des glaciers) mais bien l’ènième extrapolation de la vérité de nos experts pour conforter leur alarmisme…et leur poste…… à savoir ce n’est pas la première fois que le phénomène apparaît et la dernière vague est attestée depuis le début du ….. XXième siècle…..surement un effet du gaz moutarde de la 1ère guerre mondiale

    1. Papier parfaitement ridicule.
      La fonte « des glaciers », on calme le jeu c’est 915 km² sur 30 000 km² bravo l’échantillon
      amincissement de 2m au dessus de 5000 m et on veut nous faire croire à une fonte ! allez voir la température au dessus de 5000 m. Quand il fait beau et tiède çà tourne autour de -5 -10°C

      La presse est toujours mauvaise conseillère, attendez une publication scientifique, quoique depuis 2007, ça parait fichu.

  7. GML @

    Minitax ne connait que l’injure, et le négation systématique, il ne produit jamais un argument étayé.

    N’importe quelle personne un peu au courant »… Il semble que les « experts » du GIEC ne soient effectivement pas n’importe qui…

    Muari Lal par exemple est loin d’être un spécialiste des glaciers, il faut aussi savoir que le groupe 2 d’où est sortie cette erreur n’est pas un groupe scientifique il s’occupe des questions concernant la vulnérabilité des systèmes socioéconomiques et naturels aux changements climatiques, les conséquences négatives et positives de ces changements et les possibilités de s’y adapter.
    Ses travaux ne sont pas peer-rewieved. et cette erreur ne se retrouve pas dans le rapport final destiné aux décideurs.
    L’attitude des contradicteurs du GIEC n’est pas d’argumenter scientifiquement parlant, elle consiste à rechercher la moindre coquille pour la faire monter par les médias. Ils devraient plutôt relire tous les articles scientifiques et voir ce qui cloche, mais là c »est une autre paire de manches.

    1. Et vas-y donc Roro,

      « Ses travaux ne sont pas peer-rewieved » FAUX c’est TOUT l’AR4 qui est fondé sur des travaux p-r c’est Pachauri qui l’assène chaque fois qu’il en parle.

      « cette erreur ne se retrouve pas dans le rapport final » bien sur banane, le truandage ne serait peut être pas passé et puis le « rapport final » est sorti quatre mois avant les autres.

      Astucieux d’insérer un gros mensonge pour récupérer du pognon !

    2. Robert : « Ils devraient plutôt relire tous les articles scientifiques et voir ce qui cloche, mais là c »est une autre paire de manches. »
      ———————

      HA ha, le troll polymorphe Robert qui dit aux sceptiques comment faire. Non mais mégal lol quoi.
      J’ai une autre idée de ce qui va se passer, petit troll.
      Nous, les sceptiques, on n’a besoin de rien faire. On va laisser les médias mettre sur la place publique toutes les âneries dans les rapports du GIEC, comme ses dizaines et dizaines d’affirmations gratuites venant des officines écolo-hystériques comme Greenpisse ou WWF, chose que « les milliers de climatologues » de FARCE ont été infoutus de faire pendant tout ce temps. Ensuite, on va attendre que le love gourou Pachauri soit renvoyé à ses premiers amours, à savoir ses magouilles en Inde et ses histoires à l’eau de rose pour Bollywood. On va en profiter aussi du spectacle de la curée médiatique de la bande d’escrocs du Climategate, Jones, Mann et Santer en premier. Et on va assister à la déchéance de Hansen et sa frauduleuse température du GISS.
      Tu vois, une fois la machine médiatique en marche, mais dans l’autre sens, le « débat scientifique » (à la mode réchauffiste bien sûr), tout le monde s’en fout.

      Eh oui, je sais, petit troll, c’est dur pour toi d’être un réchauffiste aujourd’hui. Mais si ça peut te consoler, demain sera pire.

      1. Tiens minitax, toujours persuadé que Robert, moi-même et la moitié des gens qui vous opposent des arguments sont la même personne ?

        Il faudrait consulter…

        Etre réchauffiste, difficile ? Pourquoi ? Parce que janvier a été le plus chaud jamais mesuré par UAH, parce qu’on a battu plusieurs fois les records de température des océans ou parceque la banquise arctique est mal en point ? Mmmm, difficile de choisir

      2. Author

        C’est marrant miniTAX, j’ai tenté de vous joindre sur votre email, mais apparemment, dans vos commentaires, vous usurpez l’adresse de quelqu’un d’autre…

      3. @Denis,
        Je n’usurpe rien, j’ai juste tapé des lettres au hasard dans la case email parce que je ne donne pas une adresse email sans raison pour cause de spam.
        Dans ce post, mon email est OK, vous pouvez me joindre sans problème et soyez assuré que j’en suis honoré, sincèrement.

      4. minitax arrêté de mentir, j’ai vérifié les études sur le potentiel des énergies renouvelables que vous attribuez à Greenpeace venaient en fait d’un réseau de laboratoire de recherche européens et d’autres sur la biodiversité que vous attribuiez au WWF était en fait des rapports venant de l’International Union for Conservation of Nature une organisation qui regroupe des gouvernements et plus 11 000 scientifiques volontaires dans plus de 160 pays ( http://iucn.org/about/ )

        En gros vous avez confondu auteur et maison d’édition ce qui montre bien votre extrême crédulité (ce qui arrange bien tous les sites des négateurs qui ont tous des gros boutons « donate » sur le site pour plumer les pigeons comme vous…)

      5. @Tilleul
        Quand on accuse les autres de mentir, la moindre des choses, c’est au moins de citer précisément le soit disant « mensonge » pour qu’on sache de quoi vous parlez. Un minimum de bon sens, est ce trop vous demander ?
        Quant à vos histoires de « gros bouton donate », vous délirez complètement mon garçon. Faut penser à prendre vos médocs.

  8. Marot @

    «  » » »allez voir la température au dessus de 5000 m. Quand il fait beau et tiède çà tourne autour de -5 -10°C » » » »

    Ah bon? vous êtes déja allé si haut pour le vérifier, moi oui et je peux vous dire que vous vous fourrez le doigt dans l’oeil jusqu’au coude.

  9. au troll qui a tout vu et tout vécu.
    mon oeil se porte très bien et on veut des détails !

    alors elles viennent ces expériences vécues dans l’Himalaya à plus de 5000 m ?

  10. Hors sujet

    À Kargil 2 800 m ou à Leh 3 500 m il peut faire chaud en été dans un pays sec sans mousson.

    Le sujet était + de 5 000 m !

  11. Marot faites le calcul 30° à 3500m ça fait combien à 5000?

  12. La température de l’atmosphère est de -18 °C à 5 000 m.

    1. Nul de chez nul,
      renseignez-vous, les moteurs de recherche c’est fait pour.
      Pour la citation, la reprise en boucle est patente.
      Même S. Huet n’y croit plus.
      Pas trop dur de se retrouver isolé ?

  13. Mon pauvre Marot, me citer la température globale de l’atmosphère à 5000m en partant du niveau de la mer, vous ne trouvez pas ça comique? et vous vous permettrez de donner des leçons? apprenez donc à calculer un gradient de température? Vous êtes lamentable d’ignorance et de ridicule. Vous devriez faire un peu de parapente ou de vol à voile.

    On parle de spécificités régionales et vous globalisez, vous saurez qu’en montagne l’isotherme zéro peut être bien au dessus de 5000m.

    Je crois qu’il vaut mieux vous ignorer, vous répondre étant une perte de temps.

    1. L’isotherme peut varier pour des valeurs bien plus faible (1.000-1.500 metres). A plus de 5.000 metres votre assertion est au mieux fantaisiste.

      1. Idem que pour Marot….

      2. Libre à vous de vous battre, seul, contre les lois de la physique…..bon courage.

      3. Il n’est pas question de se battre contre les lois de la physique, mais si vous avez 20° à 3500m, il est impossible que la température soit négative 1500m plus haut, la température baisse de 0.6/0.7° tous les cent mètres et ça c’est la physique, je dirai mêmeplusles températures baissent plus vite en basse altitude qu’en haute, mais là ça va devenir trop compliqué pour vous.

      4. Le gars qui est allé au dessus de 5000 m et n’en parle surtout pas est un négateur confirmé.

      5. Denali, Aconcagua, Alpamayo, Yerupaja Kilimandjaro, Pic Lénine.

      6. Tiens encore un abonné à « Climbing Magazine »….. on tient le remplaçant de Bowen pour l’AR5

  14. Ah au fait chacun ira s’informer sur notre cher www pour voir les résultats sur les dernières études des glaciers Alpins depuis 1 siècle et savoir que l’évolution des 40’s était pire que celle des 90’s.
    Vous y trouverez aussi une petite analyse sur deux « éminents spécialistes GIEC » ayant participé à l’AR4
    Bowen et Schworer …. les sherpas de la science…..

    Quand je disais hier qu’il ne manquait plus que les sportifs pour soutenir le GIEC… j’aurais du me douter qu’ils étaient en fait déja dans la place………….

      1. Un premier article qui a l’opposé de vos assertions ne dit pas qu’il faille faire une différence entre haute et basse altitude. Encore une tentative de faire errer la discussion sur une échappatoire que vous seul mentionnez.
        Et une seconde analyse qu’on appelle rarement une étude scientifique …..même au GIEC.

        Mais l’effort est louable et la manière un peu laborieuse……

      2. si je vous suis bien (ainsi que Maraud), la température à 5000 mètres est constante à -18°.

        Expliquez moi comment ce phénomène est possible au dessus de l’antarctique ou la température au sol est de -40°.

        Vous n’avez que la contradiction systématique comme argument,mais quan il s’agit d’étayer ses dires nada, walou, que Tchi, il n’y a plus personne.

        J’ai assez perdu de temps….

      3. «  » » »Un premier article qui a l’opposé de vos assertions ne dit pas qu’il faille faire une différence entre haute et basse altitude. » » » »

        Il y a une différence entre vous et moi, c’est que je justifie toujours ce que je dis ce qui est loin d’être votre cas!!

        http://www.agu.org/pubs/crossref/2009/2009GL040789.shtml

      4. à Fetrocho

        Je pense que poursuivre avec le grotesque est inutile et même nuisible.

      5. @Marot: Oui mais c’est très intéressant de voir se révéler certaines choses . Par exemple quand un pseudo prétend TOUJOURS justifier ce qu’il avance alors qu’il n’est la que depuis qq posts….et nie être le jumeau d’un autre chaudasse bien connu du forum. Il est vrai que ce blog étant devenu un tantinet désert de pro chauffagistes.. il faut bien trouver un moyen comme un autre pour augmenter les tifosi……
        Mais je trouve fascinant la mécanique de discussion du lascar. Un peu suréaliste mais amusante……

    1. Et Pachaurinounet s’enfonce :
      They’re not errors and we are absolutely certain that what we have said over that can be substantiated on the basis of scientific information.

  15. Avec des gars comme vous, le passage d’un oiseau constitue une preuve que la loi de la gravité n’existe pas.

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