Pas grand chose à voir avec la planète. Mais comme les allumés de l’informatique font aussi partie de mon champ de vision et qu’on ne parle pas assez de mathématiques dans les rubriques de sciences des journaux, je me suis penché sur la quête inutile des décimales du nombre π. Inutile, parce que cela ne sert pas à grand chose, si ce n’est le plaisir de battre des records, désormais avec de simples PC de bureau. De Monsieur Spock au petit génie de 22 ans qui vient de co-signer un calcul de cinq mille milliards de décimales, une plongée dans l’univers mystérieux de π, à lire dans les colonnes du Temps.
2010-08-18
Bonjour,
Je ne sais pas si le calcul concerne la valeur de e ou de pi, mon navigateur n’affiche que le point d’interrogation 🙁 – ou serait-ce une invitation d’aller lire l’article intéressant du Temps?
T
Ah, bug d’encodage, I presume. Sur le site du temps la lettre grecque s’affiche, mais mon outil refuse désespérément. Dommage, c’est une jolie lettre…
[MAJ] Trouvé et corrigé à la manière jolie!
Denis, vous précisez dans votre article « avec un banal ordinateur de bureau » (pour les 2700 décimales – Fabrice Bellard). J’avais lu sur LinuxFr il y a quelques mois que la machine tournait quand même sous une distrib GNU/Linux (Fedora je crois), donc pas si banal tout de même l’ordinateur de bureau. Non mais ! 😉
Qu’en est-il de ce nouveau record ? Sur quel OS ?
A vrai dire je n’en sais rien, mais le programme existe pour Linux et Windows, avec un léger avantage de performances en faveur de ce dernier… Donc je dirais Windows.