C’est un peu l’effet domino de l’information. J’ai lu, hier, un papier de Pierre-Henri Allain sur LibéRennes, qui reprenait une info du Télégramme, lui même inspiré par la presse britannique. Le Clemenceau, l’ex devrais-je dire, pourrait rapidement reprendre la mer, en remorque, pour être démantelé en Grande-Bretagne. Selon la presse britannique (je reviens à la première source, of course), la coque amiantée devrait être traitée sur le chantier d’Able UK, dans le nord-est de la Grande-Bretagne. Officiellement, la firme est spécialisée dans la déconstruction d’objets flottants.
Ces précautions de vocabulaire quand à l’activité d’Able, car l’entreprise ne m’est pas inconnue. En 2003, pendant que le Clemenceau entamait son incroyable périple, j’avais couvert pour Libé l’envoi chez Able de quatre poubelles flottantes de la marine américaine, ou plus exactement de sa flotte de commerce (Marad). Ces quatre navires avaient été exportés, dans le cadre d’un contrat plus qu’opaque, pour être nettoyés de leur amiante et des célèbres PCB, dans un chantier d’Hartlepool. Mais devant le tollé suscité par l’irruption de ces ordures flottantes, le gouvernement britannique avait bloqué les autorisation d’Able… Depuis, les quatre navires pourrissent en attendant qu’une bonne âme veuille bien décider de leur sort. Les neuf autres qui devaient suivre n’ont jamais quitté les Etats-Unis. D’ailleurs, Able, à ma connaissance, n’a jamais démantelé un gros navire amianté…
L’histoire du Clemenceau, vous la connaissez sans doute. Mais je ne résiste pas au plaisir de vous la résumer. Refourgué aux domaines par la Marine nationale, l’épave rebaptisée Q790 avait été « vendue » en 2003 à une société espagnole qui devait le démanteler à Gijon, en Espagne. Le navire avait quitté Toulon à l’automne 2003 avant d’être repris par notre Marine nationale sur la route de la Turquie, qui comme chacun sait est le chemin le plus court entre la Côte d’Azur et l’Espagne. Récupéré après avoir été mis à l’abri dans les eaux italiennes par la compagnie de remorquage qui le séquestrait en l’échange de son chèque, le Clem avait rejoint Toulon pour y être désamianté (je vous passe les détails du croustillant incident du navire géant brisant ses amarres avant d’être récupéré in extremis au large d’Hyères, dans le Var).
A Toulon, la firme SDI, outsider malheureux du premier appel d’offres, avait récupéré le joli contrat et sous-traité le désamiantage à une petite société française, Technopure. Mais les deux entreprises se sont fâchées, tandis que des ONG se mêlaient de l’affaire, pour tenter de bloquer l’exportation de la coque amiantée vers l’Inde, où la ferraille vaut beaucoup plus cher que dans nos contrées. Le Clem, soi-disant propre comme un sou neuf, prit tout de même la mer, destination Alang (Inde) où il fut déclaré interdit de séjour par la cour suprême indienne avant que notre Chirac national n’ordonne un retour l’amarre basse vers la France et l’arsenal de Brest. Plusieurs procès sont en cours à propos du vrai-faux désamiantage effectué à Toulon.
Depuis mai 2006, l’ex-Clem rouille tranquillement en Bretagne, dans l’attente d’une solution. Evidemment, là-bas, on est assez pressé. Pas très chic d’accueillir les prestigieuses festivités maritimes de Brest 2008 dans un mois à peine avec un amas de rouille flottant et chargé d’au moins 700 tonnes d’amiante…
La France du lider maximo verde élyséen, si les infos de la presse britannique sont confirmées, aurait donc choisi de suivre la voie du ridicule, celle-là même qui fut inaugurée sous le quinquennat de Chirac. Apparemment, Able UK ne dispose toujours pas de licence lui permettant de démanteler l’ex-porte-avions. A moins que Sarkozy n’ait dealé un truc avec son voisin du 10, Downing street…
— Allo, Gordon, c’est Sarko!
— Comment va Carla?
— Nickel, mais je t’appelle car j’ai un petit truc à régler en vitesse.
— Ah oui, le référendum Irlandais?
— Non, non, plus simple. Tu pourrais pas me débarrasser d’un vieux porte-avions?
— Que faut-il faire?
— Trois fois rien. Y’a une ptite boîte dans un de tes bleds qui s’appelle Able. Tu leur file une licence de démontage de poubelles flottantes et je t’expédie le Clemenceau fissa avant le 14 juillet!
— Et en échange?
— D’abord, je te laisse la ferraille gratis. Et je te fais une promo sur l’EPR. Disons trois pour le prix de deux, je t’arrangerai le coup avec Areva.
J’imagine d’ici les titres des tabloïds britanniques quand la coque fera son entrée dans les eaux britanniques. Mais pourquoi diable ne pas transformer l’ex-Clem en récif à poissons? On enlève les vieux câbles électriques chargés au PCB, un petit exercice d’entraînement des canonniers de la Marine et le tour est joué. Une fois sous l’eau, la terrible amiante ne serait plus qu’un banal minéral inerte incapable de remonter à la surface.
« pourquoi ne pas transformer l’ex-Clem en récif à Poissons » ?
Parce que la mer n’est pas une poubelle, voilà pourquoi… pas plus que la terre ou l’espace…
» une fois sous l’eau, la terrible amiante ne serait plus qu’un banal minéral inerte incapable de remonter à la surface »
Ah oui ? des études ont été faites à ce sujet et sur le long terme ?
Même raisonnement que pour les déchets atomiques du Golfe de Gascogne, les bateaux chargés de déchets coulés en mer, les décharges qui se déversent dans les cours d’eau et en mer, etc, etc…
Le seul avenir soutenable de nos objets divers, variés et polluants si laissés à eux-mêmes est d’être démentelé et recyclé. Toute autre solution est une atteinte éhontée à la vie de demain.
L’amiante est dangereuse sous forme de fibres ou de poussières inhalées dans les poumons, pas dans l’eau. L’armée américaine a coulé plusieurs navires et porte-avions, elle pourrait peut-être étudier ce qui est advenu de l’amiante de ses bâtiments. Mais par deux mille mètres de fond, je vous concède qu’il n’est pas facile de faire de la recherche! Plus sérieusement, on dépense des sommes folles pour créer des récifs et tenter de fixer poissons, mollusques et crustacés dans les régions où ils ont disparu. L’utilisation de vieille coques de navire en acier mériterait d’être creusée, non? Evidemment, en les nettoyant d’abord de tous les produits toxiques ou polluants (PCB, hydrocarbures, substances radioactives, etc.). Mais je ne suis pas sûr que l’amiante en fasse partie.
Très chers (parfois ! )blogueurs écolos ,cessez de raconter des blagues!l’AMIANTE est un minéral ,nocif à l ‘inhalation (Sous forme de fibres ), une fois dans l ‘eau ,il esr recouvert de concrétions et devient inerte , comme lorsqu ‘il se trouve dans la terre ,il n ‘irradie rien,il est neutre ,donc ne soyez pas plus royaliste que le ROY ! Par contre il y à un sous produit de l ‘amiante que l ‘on est en train de découvrir ,c ‘est que le simple fait d ‘en parler rend le » vulgum pecus »inapte à tout raisonnement logique !ATOME AMIANTE EXPERIMENTATION ANIMALE ,sont des sujets devenus tabous !Donc suivons les « gourous »et fermons là !
Vous avez du mal me lire, je ne disais pas autre chose!
L’amiante ne présente pas de dangers particuliers une fois immergée dans l’eau de mer. Il y a des dizaines de navires qui coulent chaque année et çà fait de belles épaves. Par contre, vouloir à tout pris faire désamianter le Clémenceau par une entreprise, sous prétexte de ne pas polluer la mer, sera probablement à l’origine d’accidents et de contaminations. Mais comme les écologistes n’iront pas le crier sur les toits, personne ne le saura.
Opela…Position…Las Bananas Del Thoron…N21xx007
Bonjour a Tous…Avez vous deja vu un Scaphandrier…?…un métier…une passion…ma Position…?…A l’ « A BORD’AGE!!! »…N21xx007
Pour avoir navigué pendant plus de trois ans sur le « CLEM », la photo n’a rien à voir avec le hangar arrière. Il s’agit de la plage arrière !
Le Sacrifice de l’ignorance…Les Hommes ont depuis longtemps chantaient leurs connaissances…diffusé…enregistré…leurs savoir…Honte à ceux qui profitent de cette méconnaissance…l’Art de diffusion…l’Art de ce transporter dans des paysages Zéro Défaut
OPERATION: “OPELA »
“ N°3027/T00718/N21xx007 HUBERT-Tudor-Confirmation …OPALE…ALPHA ON
Ô les deux Antoine
Antoine…, ANTOINE… !! …Imprévisible, les deux Antoine vivaient dans le corps de ce –naute des temps modernes, de cet homme qui aimait les cartes, les femmes, les plantes, l’aventure, le mystère, les secrets, la providence, à l’aquanaute, cosmonaute, au voyageur d’un autre temps. Le premier Antoine sortait de la bouche de son père spirituel, Gaby, allias ’’le têtard’’, son mentor, celui par qui la passion naquit depuis le premier jour. Gaby est un homme de petite taille, à l’allure tourmentée, aventurier, sympathique que l’on ne croise qu’une ou deux fois dans une vie, il l’avait embauché, à l’essai, pour les vacances, durant l’été 85. Antoine commençait sa première journée avec Anne-Henri, recruté lui aussi sur le tas, le même jour, pour faire plaisir à son Père (le père Bellon de Chassy), dans le vallon froid, ‘’Vauffrége’’, au pied de la Gineste. Gaby ne tardait pas à débarquer, les trouvant tous les deux à discuter naturellement dans l’atelier de construction, ils étaient comme des enfants devant un téléviseur à regarder les premiers pas de l’homme sur la Lune, ils avaient devant eux, la construction d’un Aquascope en phase finale, genre de mini sous marin, avec deux bulles de glace, en forme de poisson…, ‘’Les ressources sous marine, ça c’est, les ressources sous marine’’, vous pouvez rêver votre travail, il est dehors, leurs dit-il avec un léger sourire, en montrant le chef d’atelier et le chantier qui les attendait, ‘’ça c’est l’Hippocampe’’…, une vieille cabane en métal, toute rouillée, Gaby venait de racheter la boite qui l’avait fait naître lui aussi dans le métier. L’Hippocampe est une petite entreprise marseillaise de travaux sous marin, situé à l’opposé de la ville de Marseille, à l’Estaque pour être plus exact, il voulait que tout soit démonté et remonté sur place en place. Sans crier mots, les deux jeunes ouvriers désignés débutaient leurs première mission, magnant des outils qu’ils rencontraient pour la première foi, avec l’aide d’un Chef d’atelier collé à un jet de pierre, occupé à fixé le beau poisson qui faisait tant rêver. En échange d’une formation sommaire et rudimentaire quand à l’utilisation d’un chalumeau, clefs et outils de tous les noms, de reconnaître les machines d’un autre monde, bouteilles de plongées, de gaz, grandes, petites, de toutes les couleurs etc…, de faire un inventaire de la caverne d’Ali Baba, de trésors peut être…., les deux novices s’activaient à rendre leur présence utile et de mériter leurs futurs et maigre salaire. Les garçons se donnèrent à fond, chaque jour, avec leurs inventions, leurs imaginations à répertorier ce démontage sachant qu’ils devront la reconstruire de l’autre coté de la ville, tôle par tôle, écrous par écrous, planche par planche. Ils finissaient par la connaitre par cœur cette petite cabane rouillée, à y prendre gout de ce misérable petit abri, leurs amitiés grandissaient aussi, quelques rires, non, beaucoup de rires, des histoires de part et d’autre sur leurs parcours personnel, Gaby les laissait faire…, sûrement gardait-il un œil sur eux pour leur sécurité…, ils ne le sauront jamais, toujours est-il que la cabane rouillée était tombé, photographié dans leurs mémoires, inventorier, empaqueté, prête à être expédier. Antoine et Anne Henry avaient accompli la moitié de leur mission, il suffisait de tout remonter mais le week-end avait sonné et Gaby avait prévu une petite fête en son honneur pour le rachat de l’Hippocampe. L’ancien Patron, Monsieur Portail et son équipe de Scaphandrier étaient conviés, ainsi que la nouvelle équipe de professionnel, les gars d’Océamer, spécialistes de la jeune entreprise fondé par le ‘’Têtard’’ cette même année et comme les deux nouveaux, Antoine et Anne Henry, faisaient partis des deux compagnies, il était normal de les retrouver pour la présentation.
LA SURPRISE DU PATRON…,
C’était la fête…, avec de la musique, de la lumière, quelques couleurs, tout le monde était là, les anciens, les plus jeunes, les secrétaires, les copines, tous étaient arrivés à peu prêt a la même heure …, à l’heure de l’apéro, avec quinze minutes d’avance, Antoine observait cette règle de conduite symbolique, fallait-il y voir un signe… ? Non, il devait ce tromper, les Astres n’avaient rien à faire avec cette pseudo tradition, ce sont des gens normaux…, il observait aussi qu’il y avait de l’alcool, beaucoup d’alcool, sur toutes les tables, Gaby avait une bien belle cave, elle s’appelait, Bourbon crown, Fifty one Ricard, le Père Mc Gloire, Dirty Martini, La veuve Cliquot, la cravatée 1664, la ferme blanche de Cassis,…, avec les petits ’’amuse gueule’’, les âmes ce sont vite relâchées, en moins de trois quarts d’heure, les discutions partaient dans tous les sens, additionné aux quinze minutes d’avance, ils étaient prêt à changer le monde…, soudain le Maître des lieux désirant prendre la parole, lancer sa vision des choses, exprimer ses idées sur l’avenir de ses deux petits bébés, l’un avec un beau carnet d’adresses et des références de plusieurs vies d’expériences, et l’autre avec l’insouciance d’une jeune équipe. Il avait réussi son pari, sa vision, il mélangeait les styles, avec quelques fautes de frappe, mais il tenait son cap, remerciant le ciel et les dieux marins de l’avoir protégé pendant toutes ses années, lui qui ne sait même pas nager sur l’eau. Il remerciait Monsieur Portail chaque minute, regardant les autres pour leurs parler d’accords, de passation de pouvoirs, de motivations, pour en finir sur…, Antoine, Anne Henri et son fils Claude, les présentant comme le futur, l’aventure, à la charge des anciens de passer leur savoir, leurs connaissances, leurs expériences pour conquérir tout les marchés, concurrencer, Français, Anglais, Américains…, il n’avait peur de rien, n’y de personne, pas même du Président, (non pas celui là…), le Président H.G.Deulauze de la COMEX, l’alcool aidant à faire passer la soif d’entreprendre du petit ‘’Têtard’’, Gaby le grand orateur dans les moments opportuns tenait les clefs de ses sociétés. Antoine et Anne Henry ne comprenaient pas tout mais bon si le patron le disait et que les autres étaient d’accord, cela ne pouvait être que la vérité. Que le monde ait changé de main, cela ne changé rien pour les deux apprentis, ils étaient toujours des moins que rien, même pas des Guides (apprentis Scaphandrier), leur chantier les attendait lundi matin. Mais étaient-ils capable de boire…, l’ IVRESSE, une condition pour faire le métier de Scaphandrier, serai de la contrôler autant dans la passion que dans la pression, ils étaient au bon endroit pour leur premier test, ce soir là, sans le savoir, ils débutaient leur formation, en prenant contact avec les autres, les déjà confirmés, les pavillons Alpha. Apprendre à les connaitre, avec des humeurs différentes, le Scaphandrier est un caractériel, tous naissent avec un petit grain de folie, un petit quelque chose qui les différencies avec les gents normaux, leurs mains ne sont pas palmés mais elles sont percés, ils sont capable du pire comme du meilleur, certain sont des menteurs, (ceux qui s’appropries les histoires des autres…), en général on les appels ‘’les gros mytho’’, mais ils ont tous en commun cette même passion, celle de faire de belles grosses bulles dans l’eau.
EN FORMATION CONTINUE… Gaby n’avait pas encore investi dans une belle et grande piscine pour satisfaire les plaisirs de sa famille et de ses amis mais dans une petite baignoire en plastique gonflable que l’on achète dans un magasin spécialisé le long de la plage pour gardez son petit bambin à portée de tout danger, (vous le savez déjà…), il ne sait pas nager…, ce soir là, nos deux amis testaient le premier théorème, le test H2O. Tous corps plongés dans un liquide ressort mouillé…, déjà sous pression avec les cadavres de bouteilles avalaient pendant cette première partie de la nuit, les deux élèves partaient dans l’absolu et l’universel. Nul besoin de faire une grande école pour comprendre ce théorème, le test est radical… !! Plongez les dans l’eau et vous verrez le résultat…, en accord avec l’Alphalogie, les deux étudiants ressortaient mouillés et sans l’ombre d’un doute, nos deux scientifiques absorbaient avec facilité cette recherche fondamentale. Leurs premières leçons physiques et théoriques étaient passées, leurs corps et leurs habits étaient trempés, heureux, bourrés d’histoires et d’anecdotes, les Alphas laissaient nos deux compères dormir dans un voyage magique, celui du rêve de devenir Scaphandrier. Après les cours il restait à faire tous les devoirs, les Maîtres avaient parlé et c’était dans un long tunnel qu’Antoine et Anne Henry feraient leur exposé, pas moins de deux années à résoudre les équations et tenir leurs places seront nécessaire pour mériter leurs futurs et bon salaires…
LE LUNDI AU SOLEIL… Ce petit matin, ce lundi matin était attendu par nos deux apprentis, les couleurs du petit jour les accompagnaient dans leurs réveils, la garantie de commencer une bonne semaine, la certitude de ne pas oublier les pages et les devoirs, Gaby avait parlé pendant ce week-end…, la phrase la plus sensible qui avait attiré l’attention d’Antoine était celle là, ‘’ Si tu donnes, je te donne !’’. Comprenant que rien n’était gratuit et que la réussite n’existe que pour les gens qui ce lèvent tôt, la providence de cette journée si particulière donnait l’accent de leurs responsabilités. Tous les deux arrivaient de paysages différents, Antoine d’un univers très modeste, et Anne Henry d’un noyau plus sécurisé mais tous les deux avait la même rage, mordus par la même passion, la réussite de leurs objectifs en commun… ! Etre à l’heure, c’est un devoir, pour le respect de celui qui vous guide et Anne Henry avait quelques difficultés de ce coté là, solidaires entre eux, Antoine partageait ce handicap, comme un équipier bien soudé, il ce chargeait du clairon matinal avec précision, car Claude, l’ami de jeunesse et fils du « têtard » passait les prendre ce lundi matin. Elle était là, la petite cabane rouillée, bien sanglée, prête à être transportée, sur un camion avec plateau, un vieux Simca bleu aux couleurs de la société, capricieux car sa boite de vitesse était usée par ses années de services, criant quelques fois ses souvenirs de rapports avec ses utilisateurs. Antoine avait un avantage sur la mécanique jurassique, il avait été formé sur une vieille 2cv tout petit, quand il avait neuf ans…, faire parler le moteur, l’écouter…
…/… N21xx007 Reprenons notre histoire depuis le début, notre histoire de la petite cabane rouillée et imaginons un autre monde…celui du PA ‘’Le Clemenceau N21 ‘’ Le deuxième Antoine sortait de la bouche de son autre Père spirituel, Jacques, allias ’’Le Président de la République’’, son mentor… Amicalement Votre
N21xx007
@goeland31. C’est pourtant la légende fournie par le Ministère de la défense!
Et Oui Denis « Morin » n’est pas Marin…Archimède n’est son Ami…H2O la Solution…@goeland31…avez-vous un Pavillon Alpha…N21
Facing South…Hi everybobY…it’s me again…once a year you can count on me…I haven’t seen a change…Re-locate all Naval Bases…STORM will Strike…Megaptera008…Looking for The Beach…RECOVERY…THE SERAPIS…ALPHA CALL…Merry Christmas John Paul Jones…Call Captain Watson…Give Tuttle007 the « Go »… »Sea » You SooN…Asta la vista muchacho…N21xx007
Faudra t-il ajouter de manière permanente devant le mot »Sciences », au choix, les adjectifs, vraies, sincères, honnêtes, etc ? Depuis la fin des années 1970 on sait, que sous certaines conditions les amiantes sont solubles dans l’eau. De nombreux articles scientifiques et parfois techniques en attestent. Ils sont le fruits de travaux de chercheurs de nationalités différentes appartenant à diverses disciplines , à des organismes différents. Il n’y a pas de corrélation entre eux, Supposer qu’ils puissent tous être des tricheurs relève de la folie pure et simple.
L’immersion en mer remplie toutes les conditions nécessaires pour la dissolution des amiantes à terme très larges de 1 ans pour les chrysotiles et de 5 ans pour les amphiboles. Je ne donnerais qu’une seule référence en français.
La dissolution des minéraux. Aspect cinétique. Jean-Claude TOURAY Edité par MASSON en 1980. Voir le Chapitre 8 pages 84 à 92.
Et une référence en anglais »The dissolution of Abestos fibres in water » Janet. R. GRONOV University of Cambridge, Departement of Engineering. Clay Mineralq (1987) Vol.22, p.21-35.
Je suis à la disposition de toutes personnes qui désirerai avoir plus d’information sur le sujet.