Âmes sensibles s’abstenir. La lecture d’un papier du Quotidien Mutations (Cameroun) publié mercredi donne la nausée. Il décrit comment sont gérés les déchets hospitaliers de Douala. Ou plus exactement comment ils sont entassés, sans aucune protection, accessibles aux passants, avant d’être mélangés aux ordures ménagères. Je vous passe les détails, mais imaginer —comme le raconte le journaliste— des gosses fouiller dedans, en quête d’objets à fourguer au recyclage contre quelques pièces, a de quoi vous déprimer pour la soirée. Je ne suis pas très fan des incinérateurs, mais là, on finit par se poser des questions.
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