i même les météorites s’y mettent, on ne s’en sortira pas. Apparemment, ce serait la chute de l’une d’entre elles samedi qui aurait rendu des dizaines de personnes malades, dans le village de Caranca au Pérou. Une grande traînée lumineuse dans le ciel, un gros boum, une bonne secousse sismique et bien évidemment, tous les villageois se sont précipités pour voir l’objet du délit, un cratère bouillonnant de trente mètres de diamètre et de trois de profondeur, d’où émanait une étrange odeur. Mais la curiosité est un vilain défaut, dit le dicton: une mtéorite c’est chaud, ça libère des gaz et les spectateurs ont été pris de vomissements, nausées, migraines… l’astre n’a pas fait d’heureux cette fois-ci. Il parait que les poules refusent de manger…
Bon, tout cela n’est pas très grave, tant que la météorite reste de dimensions raisonnables. Parce qu’un astre de bonne taille, ça aurait eu vite fait de nous coller un hiver glacial et durable sur toute la planète. Un bon moyen de stopper net le réchauffement. Ça m’étonne d’ailleurs que les chantres du miracle technologique n’y aient pas encore pensé. Allo, Monsieur Bush?