«L’Europe exporte des déchets radioactifs au Bangladesh.» Derrière ce titre provocateur d’un communiqué de l’association française Robin des Bois, se cache une fois de plus la réalité des conditions de la déconstruction des navires, que l’ONG dénonce inlassablement, années après années, dans son nécessaire bulletin A la casse.

Avis aux amateurs. Un musée norvégien va entamer la construction d’un imposant drakkar en bois de chêne. 35 mètres de long, 8 de large, un déplacement de soixante-dix tonnes pour trois cent mètres carrés de voile (en soie, s’il vous plait). Et même s’il faudra au moins trois ans pourLire la suite

La crise du pétrole a au moins un avantage. Chacun redécouvre le plaisir de la nonchalance. Il en est ainsi pour Hukma Ram, un agriculteur du Rajasthan (Inde) dont Le Monde racontait samedi qu’il a rangé son tracteur et repris son chameau pour se déplacer. L’animal, comme le souligne JulienLire la suite

Un micro-ondes pour lutter contre les espèces invasives. Il fallait y penser, non? Chaque année, les navires de commercent déplacent dans leurs ballasts plus de cinq millions de tonnes d’eau de mer. Dans cette eau, des micro-organismes, des méduses, de petits mollusques et tout un tas de bestioles qui enLire la suite

e vous ai déjà parlé ici de l’épineuse question des transports maritimes. Et notamment du combat mené par Schwartzenegger pour imposer une baisse drastique de la pollution crachée par les navires dans les grands ports californiens. Après avoir feint d’ignorer le problème, l’industrie du transport maritime se met en mouvement.Lire la suite

Ainsi donc, la mobilisation des écologistes a payé: les épaves-flottantes réformées de l’administration de la marine américaine (Marad) devront rester aux Etats-Unis. C’est la fin d’un feuilleton entamé en octobre 2003, que j’avais suivi dans les colonnes de Libé tant il était symbolique de la politique américaine en matière d’exportationLire la suite