itié pour les amiraux. Pensez un peu à ce qu’ils endurent depuis plus de trois ans avec l’ex-fleuron de la Marine, le porte-avions Clemenceau, depuis qu’ils l’ont refilé à l’administration des domaines. D’abord, de drôles d’espagnols s’emmêlent les pinceaux sur les cartes marines, et l’embarquent de Toulon avant de mettreLire la suite

Ainsi donc, la mobilisation des écologistes a payé: les épaves-flottantes réformées de l’administration de la marine américaine (Marad) devront rester aux Etats-Unis. C’est la fin d’un feuilleton entamé en octobre 2003, que j’avais suivi dans les colonnes de Libé tant il était symbolique de la politique américaine en matière d’exportationLire la suite