Drôle de semaine sur le front du greenwashing. D’un côté l’Agence de l’environnement (Ademe) et le Bureau de vérification de la publicité, se sont autocongratulés de la modération des annonceurs publicitaires dans l’usage de l’alibi environnemental. Et de l’autre, un summum de greenwashing dans Libération. (1) L’objet du délit, c’estLire la suite