Après la police britannique, c’est au tour du FBI de s’emparer du «Climategate». Le Guardian explique aujourd’hui —relayant une information parue lundi sur Environmental Research Web— que l’Agence fédérale américaine a ouvert une enquête en raison de menaces de mort reçues par certains chercheurs —installés aux Etats-Unis— dont les noms ont été jeté en pâture après le piratage du Centre de recherches sur le climat de l’Université britannique d’East Anglia mi-novembre. Hé, les gars, faudrait peut-être vous calmer. Ça commence par l’invective et l’injure sur Effets de Terre, et ça risque de mal tourner. Si chacun reprenait ses esprits?
2009-12-08
La mort, sûrement pas… mais faudra bien que les tricheurs et les escrocs aillent en prison.
Et si je me souviens bien, n’est-ce pas un certain Denis Delbecq qui a lancé l’insulte « négationniste » en premier ? Si si, c’est bien ça ! Jeu de mains, jeu de vilains.