Envoyer 'Les canards américains ont besoin de chasseurs' à un ami

Quand vous envoyez un message par ce biais, le nom, l'adresse de l'expéditeur et l'adresse du destinataire sont enregistrés. En revanche, le texte du mail n'est en aucun cas conservé pour assurer le caractère privé de votre message.

* Required Field






Separate multiple entries with a comma. Maximum 5 entries.


E-Mail Image Verification

Loading ... Loading ...

4 commentaires

    1. Bonjour,
      Non Patrice, cette situation ne risque pas de créer un déséquilibre écologique. Croyez que la chasse ne se pratique comme par le passé. Chaque chasseur et chaque territoire sont liés à des plans de chasse qui leur autorisent ou non le prélèvement de certaines espèces.
      La chasse est inscrite dans l’équilibre écologique et, par conséquent, indispensable. Je peux comprendre qu’on n’aime pas la chasse mais c’est ainsi ! La plupart des chasseurs ne passent pas leur temps à discuter d’écologie le cul assis devant leur ordinateur. Ils agissent ! Ils n’agissent pas seuls, évidemment. C’est toujours en concertation avec des représentants légaux d’horizons différents mais liés à la faune et la flore. Le classement des nuisibles, par exemple, se fait avec les fédérations de chasses départementales, des représentants du monde agricole, des représentants d’associations écologiques et les préfectures. C’est bon exemple pour un équilibre de points de vue.
      Pour l’instant, je parle de chasse, pas de chasseurs. Ces derniers étant des humains avec tous leurs défauts et leurs qualités. Il y a des bons et des mauvais chasseurs (merci les inconnus de nous l’avoir rappelé) mais l’époque où « je vois un truc, je tire » est révolue et bannie même par le monde de la chasse.
      Quoiqu’il en soit, la chasse existe et je pense qu’elle existera toujours (peut être sous d’autres formes, je ne sais pas) car elle maintient un équilibre précaire. Les chasseurs ne sont pas responsables de la disparition des espèces. C’est un enchaînement de situation dont l’homme, dans sa globalité, est responsable.
      Je vais vous donner quelques exemples :
      Des battues administratives sont organisées afin que vous ne vous retrouviez pas nez-a-nez avec une douzaine de sangliers devant votre domicile ou pire face à votre véhicule. Dans ce dernier cas, c’est la responsabilité civile des chasseurs qui est engagée.
      La chasse des oies est faite pour, d’une part la chasse bien sûr, mais aussi pour assurer la sécurité des voyageurs à bords des avions. Les oies se massent autour des aéroports et ça représente un risque non négligeable. Cette pratique est également en cours dans les pays bas.
      On peut parler également des dégâts faits dans les cultures et si on laissait faire, ça engendrerait un péril économique pour nos agriculteurs, assureurs et voire pire un manque de matière pour l’alimentation.
      Je ne cherche pas à défendre les chasseurs car c’est un milieu où un il y a quand même un paquet d’abrutis de tous poils mais ils ont tendance à disparaître avec les années pour laisser place à de nouvelles générations mieux éduquées et responsables.
      Donc le nombre augmentant des permis de chasse validés ne changera rien à la donne puisque les prélèvements sont quantifiés. Individuellement, les chasseurs auront moins de gibier à tirer, mais je vous assure que ça n’est pas le problème. Le tir n’est qu’une partie infime de la chasse dont les activités sont le maintien des espèces, l’organisation du biotope, des actions écologiques (ramassage des ordures laissées par les mêmes qui dénigrent sans arrêt), les actions d’éducation des plus jeunes, le comptage des espèces. Et bien sûr, je ne parle pas d’économie et d’argent car c’est un autre débat. Mais c’est fort louable de votre part de vous préoccuper du sauvetage des tortues des Galapos (sans arrière pensée).

      1. « classement des nuisibles » « bon exemple » -> hahahahaha. Je croyais qu’en bon écolo on ne disait plus nuisible ?

        Sinon dirait que vous vivez chez les bisounours.

  1. Bonjour,
    Non Patrice, cette situation ne risque pas de créer un déséquilibre écologique. Croyez que la chasse ne se pratique comme par le passé. Chaque chasseur et chaque territoire sont liés à des plans de chasse qui leur autorisent ou non le prélèvement de certaines espèces.
    La chasse est inscrite dans l’équilibre écologique et, par conséquent, indispensable. Je peux comprendre qu’on n’aime pas la chasse mais c’est ainsi ! La plupart des chasseurs ne passent pas leur temps à discuter d’écologie le cul assis devant leur ordinateur. Ils agissent ! Ils n’agissent pas seuls, évidemment. C’est toujours en concertation avec des représentants légaux d’horizons différents mais liés à la faune et la flore. Le classement des nuisibles, par exemple, se fait avec les fédérations de chasses départementales, des représentants du monde agricole, des représentants d’associations écologiques et les préfectures. C’est bon exemple pour un équilibre de points de vue.
    Pour l’instant, je parle de chasse, pas de chasseurs. Ces derniers étant des humains avec tous leurs défauts et leurs qualités. Il y a des bons et des mauvais chasseurs (merci les inconnus de nous l’avoir rappelé) mais l’époque où « je vois un truc, je tire » est révolue et bannie même par le monde de la chasse.
    Quoiqu’il en soit, la chasse existe et je pense qu’elle existera toujours (peut être sous d’autres formes, je ne sais pas) car elle maintient un équilibre précaire. Les chasseurs ne sont pas responsables de la disparition des espèces. C’est un enchaînement de situation dont l’homme, dans sa globalité, est responsable.
    Je vais vous donner quelques exemples :
    Des battues administratives sont organisées afin que vous ne vous retrouviez pas nez-a-nez avec une douzaine de sangliers devant votre domicile ou pire face à votre véhicule. Dans ce dernier cas, c’est la responsabilité civile des chasseurs qui est engagée.
    La chasse des oies est faite pour, d’une part la chasse bien sûr, mais aussi pour assurer la sécurité des voyageurs à bords des avions. Les oies se massent autour des aéroports et ça représente un risque non négligeable. Cette pratique est également en cours dans les pays bas.
    On peut parler également des dégâts faits dans les cultures et si on laissait faire, ça engendrerait un péril économique pour nos agriculteurs, assureurs et voire pire un manque de matière pour l’alimentation.
    Je ne cherche pas à défendre les chasseurs car c’est un milieu où un il y a quand même un paquet d’abrutis de tous poils mais ils ont tendance à disparaître avec les années pour laisser place à de nouvelles générations mieux éduquées et responsables.
    Donc le nombre augmentant des permis de chasse validés ne changera rien à la donne puisque les prélèvements sont quantifiés. Individuellement, les chasseurs auront moins de gibier à tirer, mais je vous assure que ça n’est pas le problème. Le tir n’est qu’une partie infime de la chasse dont les activités sont le maintien des espèces, l’organisation du biotope, des actions écologiques (ramassage des ordures laissées par les mêmes qui dénigrent sans arrêt), les actions d’éducation des plus jeunes, le comptage des espèces. Et bien sûr, je ne parle pas d’économie et d’argent car c’est un autre débat.

Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.