Envoyer 'Le désert n'a pas toujours bonne mine' à un ami

Quand vous envoyez un message par ce biais, le nom, l'adresse de l'expéditeur et l'adresse du destinataire sont enregistrés. En revanche, le texte du mail n'est en aucun cas conservé pour assurer le caractère privé de votre message.

* Required Field






Separate multiple entries with a comma. Maximum 5 entries.


E-Mail Image Verification

Loading ... Loading ...

4 commentaires

  1. « On peut alors se demander si l’activité minière est vraiment durable (économiquement, écologiquement) »

    Par principe, l’activité minière n’est durable ni économiquement, ni écologiquement, puisque son objectif est de prélever des ressources naturelles non renouvelables et/ou des ressources naturelles renouvelables bien au-delà du rythme de leur renouvellement (c’est clairement le cas de l’eau ici).

    Tout ce que l’on peut espérer, c’est que l’activité minière soit à faible impact. Mais avoir une activité à faible impact écologique, cela n’a jamais été dans l’esprit d’une seule compagnie minière depuis au moins le début de la révolution industrielle (ou alors elles auraient abandonné l’activité minière). Et tous ceux qui connaissent un tant soit peu les techniques d’extraction de l’or et de l’argent savent que les quantités d’eau nécessaires dépassent de très, très loin les flux hydriques de la zone concernée (sans parler des substances toxiques nécessaires pour isoler par réactions chimiques le métal précieux du reste).

    Donc tout cela était, hélas, parfaitement prévisible. Mais le gouvernement chilien a voulu privilégier l’argent plus facile et à court terme (généré par la stimulation économique que de telles mines provoquerait inévitablement les 10 ou 20 premières années).

    1. Petite correction : en remplaçant « hydrique » par « hydrologique » dans ma réaction précédente, ça doit être plus français.


  2. What a shame – the little water they have is really being spoiled.

Comments are closed, but trackbacks and pingbacks are open.