Le sexe au secours de la santé publique

C’est un ministre de la santé qui le dit, il faut s’envoyer souvent en l’air pour maintenir son cœur en bon état. Une déclaration faite à l’occasion du lancement d’une campagne pour la prévention des maladies cardio-vasculaires: «marche, danse, et safe sex».

Ah, au fait, qui est ce ministre? Ne cherchez pas dans l’hexagone, c’est au Brésil que ça se passe. Vous imaginez nos ministres à nous dire des choses pareilles, ils se prendraient rapidement un scud sur leur aile droite; Hortefeux imaginerait immédiatement une nouvelle loi, et on arrêterait bientôt les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, sauf quand ils se cachent sous un voile intégral.

Au Brésil, évidemment, on parle de fesse plus librement. Reste un détail important. Jose Gomes Temporaro n’a pas précisé s’il comptait rembourser les séances de sexe tarifé. Après tout, la prévention, ça coûte moins cher que la défibrillation!

Un commentaire

  1. Le sexe peut être pratiqué vraiment partout. A preuve, cette histoire qui est arrivée dans le fast-food où je travaillais. Pour lire la petite histoire : cliquer sur mon pseudo et lire « fast-sexe ».

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