Envoyer 'Le «climategate» a fait long feu' à un ami

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341 commentaires

  1. Ecoutez Fetrocho,

    vous me demandez de citer des références supportant l’idée que les conclusions de Mann98 étaient correctes, je vous en donne, puis vous critiquez le fait que je ne donne que des références qui supportent Mann98 ? Il faut savoir ce que vous voulez, hein !

    Concernant les critiques de Mc&Mc ( Energy and Environment 14(6) 751-772) : il fut montré qu’ils arrivent à des résultats différents de Mann98 tout simplement car ils se sont plantés dans l’utilisation de la base de donnée, dont ils n’ont finalement utilisé que 20% (référence Wahl 2007 donnée plus haut). Wahl a d’ailleurs publié un article dans lequel il utilise la procédure préconisée par Mc&Mc et obtient exactement les mêmes résultats (Wahl 2006, plus haut) !

    J’ai aussi trouvé un article de Von Storch (pas grâce à vous en tout cas) : Science 306 (5696): 679–682, qui critique Mann98. Dans ce cas, plusieurs critiques sont apparues sur le modèle climatique qu’il utilise et qui est peu réaliste (Mann et al Journal of Climate 18 (20): 4097–4105) ainsi que la mise en évidence d’erreurs de calcul (Wahl et al, Science 312 (5773): 529).

    L’ampleur de l’optimum climatique médiéval est toujours un sujet de recherche d’actualité. Il n’est en effet pas facile d’obtenir des reconstructions de température datant de périoed aussi lointaines, avec une précision importante (d’où les barres d’erreur importantes de Mann98). Une chose est sûre : il ya eu une remontée spectaculaire des températures au 20ème siècle après au moins 400 ans de refroidissement.

    Au passage : vous critiquez certaines publications scientifiques (sans aucune preuve bien entendu) mais ne vous abstenez pas de citer « energy and environment ». C’est étrange, quand on sait que son rédacteur en chef (Sonja Boehmer-Christiansen) a tout simplement déclaré à propos des articles « sceptiques » parus dans son journal :
    « I’m following my political agenda — a bit, anyway. But isn’t that the right of the editor? »
    http://www.arp.harvard.edu/sci/climate/journalclub/ChronicleEd.pdf
    Moi je dis bravo !

    PS: ce journal n’est pas repris dans le banque de donnée ISI des publications scientifiques peer-reviewed.


  2. JOUZEL DEMISSION !

  3. Encore le pschiiiit qui a fait long feu.
    Le feu est si long qu’il rattrape GIEC et Pachauri et pourtant il a écrit un roman, il conseille ou dirige plus de 120 organismes ou entreprises. Le monde est ingrat vous dis-je.

    « Une commission scientifique indépendante va être nommée pour examiner les travaux et le fonctionnement du Giec, dont la qualité des études a récemment été mise en cause, annonce l’Onu.

    Le Giec se voit notamment reprocher un rapport publié en 2007, qui comportait une prévision selon laquelle les glaciers himalayens auraient disparu en 2035, au lieu de 2350.

    Cette erreur, ainsi que la diffusion de plusieurs courriels polémiques échangés entre scientifiques du Giec, a relancé le scepticisme sur la thèse de l’origine humaine du réchauffement climatique. »
    (Agences)

  4. «  » » »Le CO2 est un gaz a effet de serre, mais la vapeur d’eau l’est à plus de 95%. Donc le CO2 emis par l’homme est négligeable, d’après une étude récente que je cite au point 1 de ma reponse ci-dessous, il semble que l’effet de serre est saturé, ce qui veut dire que si le CO2 augmente, la vapeur d’eau diminue pour compenser. Théorie qui reste à être réellement mesurée.
    En tout cas ce qui est mesuré par ERBE montre que plus il y a d’energie absorbée par la terre et plus il y a de rayonnement, ce qui veut dire que l’effet de serre tant acclamé par le Giec est inexistant. » » » »

    Qui a écrit ces idioties?

    Le CO2 est un gaz à effet de serre, mais la vapeur d’eau l’est à plus de 95% Où sont les 5% manquants, on est un gaz à effet de serre parce qu’on est triatomique et dans ce cas on l’est à 100%.

    Le reste est à l’avenant; sans doute de la physique robitaillienne. pécho sur le site mapenseeuniquemaconnerie.fr (source préférée de Minitax)

  5. Du nouveau sur le « Climatgate ». Le comité d’Enquête sur la Science et la Technologie du Parlement Britannique, continue ses interrogatoires.
    Il faut aller sur les journaux britanniques pour avoir de l’information. Cela « chauffe » pour Phil Jones actuellement sur « la sellette ».
    Voir par exemple dans le Guardian : http://www.guardian.co.uk/environment/2010/mar/01/phil-jones-climate-science-emails-select-committee-hearing ou http://www.guardian.co.uk/environment/cif-green/2010/mar/01/phil-jones-commons-emails-inquiry
    Dans un mémoire très critique, le positionnement de l’IOP (Institute Of Physics) a fait sensation. Il parle notamment « des implications préoccupantes pour l’intégrité de la recherche scientifique dans ce domaine et pour la crédibilité de la méthode scientifique », »de doutes quant à la fiabilité de certaines reconstructions de températures et de questions quant à la façon dont elles ont été représentées », « de motifs de préoccupations concernant l’intolérance à la contradiction affichés dans des e-mails », « d’entrave au processus d’autocorrection scientifique, ce qui est vital pour l’intégrité de la démarche scientifique dans son ensemble, et pas seulement à la recherche elle-même.  » etc… Voir le document complet sur http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200910/cmselect/cmsctech/memo/climatedata/uc3902.htm
    Devant l’émoi qu’à suscité ce positionnement, l’IOP a sorti un communiqué pour préciser qu’il ne remet pas en cause le fait que la concentration croissante de CO2 dans l’atmosphère contribue au réchauffement climatique.
    Voir http://www.iop.org/News/news_40679.html

    Un autre mémorandum de la Royal Société Chemistry est aussi critique, notamment sur le refus de transmettre les données à la communauté scientifique pour vérification. Voir http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200910/cmselect/cmsctech/memo/climatedata/uc4202.htm
    La fin de l’enquête n’est pas pour demain. J’espère que la science en sortira grandie.

    Avec ce qui se passe aux USA et dans le GIEC, nul doute que rien ne sera plus comme avant. Voir au 2/3 de l’article http://www.unep.org/Documents.Multilingual/Default.asp?DocumentID=612&ArticleID=6482&l=en
    « Toutefois, en raison des critiques récentes du GIEC et quelques erreurs principales dans le quatrième rapport d’évaluation de l’organisme, plusieurs gouvernements ont demandé un examen indépendant du GIEC. »


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