Ainsi donc, Sarkozy a tenu parole: le ministre d’Etat, numéro deux du gouvernement, aura en charge le «développement durable». Et c’est un poids lourd, le revenant Juppé fraîchement (c’était au Québec, paraît-il) converti des bienfaits de la sauvegarde de notre planète, qui tranche avec les seconds couteaux qui ont souventLire la suite