Les éoliennes sont peut-être comme les poissons: les rapprocher permettra peut-être de produire plus, en profitant des turbulences provoquées par les turbines. Tout comme les poissons nagent en banc pour réduire leur dépense d’énergie. C’est ce que concluent deux jeunes chercheurs américains du Caltech, sur la base de leur modèleLire la suite