Douze milliards d’euros et des broutilles. Et même si c’est moins que l’année d’avant, les bénéfices de Total pour 2007 ne manqueront pas de faire couler de l’encre, à défaut de pétrole. L’entreprise, qui persiste à ne pas reconnaître sa responsabilité morale dans le naufrage de l’Erika, en dépit deLire la suite