Envoyer 'Main d'œuvre jetable à Fukushima' à un ami

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6 commentaires

  1. Ah, je sens que BMD va venir nous parler du charbon 🙂

    1. Romu, je sais bien qu’on ne peut faire boire un âne qui n’a pas soif ( je ne parle pas de vous!). Mais puisque vous mettez le charbon sur le tapis, renseignez-vous sur la façon dont on travaille dans les mines d’Ukraine, les plus dangereuses au monde après les mines chinoises et Indiennes. Ce qui ne justifie nullement les méthodes décrites ici! Cela dit, cet article dit qu’on ne connait pas les doses reçues par un certain nombre de liquidateurs. Il était possible de savoir combien de personnes ont été suivies correctement dès le début d’après les registres, et de les déduire du nombre total de liquidateurs employés, de manière à calculer le nombre de cas douteux. Les registres existent puisque les débits de doses ont été publiés ( sinon, comment saurait-on qu’une grosse centaine a reçu autour de 100 mSv?) Ce qui n’a pas été fait . Pourquoi?


  2. Le charbon, c’est bon. Le charbon blanc, c’est excellent.
    Ah zut, c’est pas ça qu’il fallait dire…

  3. J’ai traduit un article paru en 2003 (!) dans le supplément dominical duquotidien espagnol El Mundo. Le titre « Les mendiants, esclaves du nucléaire au Japon.

    Ce journal dévoilait déjà ce que tout le monde découvre aujourd’hui : le scandale des travailleurs précaires souvent recrutés parmi les SDF, par les maffias locales.

    Vous pouvez le trouver par exemple sur ce site qui a repris l’info :
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/Les_mendiants_japon.pdf

    Edifiant

    C. Berdot


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