Envoyer 'Pollution et réchauffement, des plaies subventionnées' à un ami

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7 commentaires

  1. Très bon article, merci!
    Une transparence que l’on aimerait voir pour tous les pays.

  2. Intéressant, mais peu homogène. Est-ce un hasard si les aides accordées aux ENR via les tarifs de rachat sont oubliées?
    Un grave accident nucléaire provoquerait jusqu’ 5000 milliards d’Euros de dégâts? C’est vraiment de la bouillie pour les chats. je me régalerais à vois comment cette valeur a été calculée.çà oit encore être un de ces morceaux d’anthologie que produisent à tour de bras les miliçeux antinucléaires. Pour l’insatnt, même Tchernobyl est très loin d’atteindre ce chiffre. TMI, c’est environ 1 milliard de dollars. Fukushima, c’est encore difficile à dire, mais l’ordre de grandeur sera de 50 à 100 milliards de dollars, essentiellement en compensation pour les personnes déplacées! Et pour être homogène avec le reste, encore faudrait-il diviser ces 5000 milliards à la période moyenne séparant deux accidents!
    En face des subventions, il faut mettre les taxes. Pour les carburants, je doute que les subvetions dépassent les taxes. Par contre pour le charbon, c’est probable.

    1. «  » » » Pour l’insatnt, même Tchernobyl est très loin d’atteindre ce chiffre » » » »

      oui mais Tchernobyl, ça n’est pas fini. Quant à Fukushima c’est suffisamment grave pour mettre TEPCO à genoux et on n’en est qu’au début. Essentiellement en compensation pour les personnes déplacées ? Vous êtes ignorant à ce point ?

  3. D’ailleurs, pour poursuivre dans la critique (qui, comme chacun sait, est aisée… Merci Denis pour le travail que vous avez fait encore une fois ici) : pour le nucléaire, on compte dans les charges le coût que provoquerait un accident d’exploitation, notamment sur la santé des populations. Par contre, pour le charbon, on ne compte pas dans les charges le coût pour la société, non pas probable mais *réel*, des conséquences de son exploitation au quotidien sur la santé des populations (particules fines des fumées, libération de radon dans l’atmosphère, infiltration dans les nappes phréatiques des métaux lourds contenus dans les cendres, …). Or il faut rappeler que l’Allemagne produit à peu près la moitié de son électricité en brûlant du charbon. Je n’ose me demander s’il n’y aurait pas ici deux poids, deux mesures, de peur de ne pas être dans la ligne…

    Un autre élément présenté ici que je trouve assez comique (mais Denis a lui-même pris un peu de distance avec celui-ci), c’est le décompte des subventions pour le nucléaire versus celui des subventions pour les renouvelables. A partir de 1956 pour le nucléaire, à partir de 1974 pour les renouvelables. Dois-je conclure que l’hydroélectricité n’est pas classée comme source d’énergie renouvelable ? Car clairement l’Allemagne s’est intéressée à cette forme de production d’énergie bien avant 1974, et même avant que qui que ce soit ait l’idée de produire de l’énergie à partir du cœur de la matière : par exemple, le barrage sur l’Eder (Edertalsperre), dans le Land de Hesse, a été construit entre 1908 et 1914. Et il est très clair qu’une partie des barrages allemands (si ce n’est tous) ont été construits sur fonds publics. Y compris après 1956.

    1. mais on ne peut pas râler contre les poussières du charbon et rester immobile devant les 400 000 morts prématurés (au niveau européen) provoqués par les poussières du gasoil.

    2. Tout à fait d’accord, mais il n’y a pas que les poussières du gasoil : de manière plus générale (oxydes d’azote, autres polluants locaux émis par les moteurs essence et diesel), les transports individuels génèrent une quantité de maladies respiratoires absolument colossale qui n’est absolument pas prise en compte ici. Sans compter la construction et la maintenance des routes (ou les installations aéroportuaires pour les avions), qui sont financées par les contribuables, alors que d’autres modes de transport, comme le train, doivent payer eux-mêmes leurs infrastructures.

      Et puis d’ailleurs, même du côté poussières en suspension, il n’y a pas que les transports : le chauffage au bois se révèle lui aussi très émetteur de particules fines, en hiver (nettement plus que les moteurs diesel lors des quelques semaines les plus froides de l’année). Particules qui ont des effets sur les poumons tout à fait comparables à ceux des particules fines émises par les moteurs diesel.

  4. Les fumées de bois contiennent également du carbone 13 et du potassium 40. Tous aux abris!

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