Envoyer 'Du béton au secours du climat' à un ami

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4 commentaires

  1. L’argument de Vinod Khosla c’est que la séquestration géologique du carbone ne peut pas marcher pour une simple raison géologique : juste pour séquestrer 1 milliards de tonnes de CO2 par an il faudrait avoir un flux de matière vers la terre qui est équivalent à l’ensemble du flux de pétrole et de gaz qu’on retire de la terre (source Lynn Orr, Stanford). La seule solution est donc de transformer le CO2…

    Maintenant chez Calera ils sont pas très clair, au début ils avaient sous-entendu qu’ils utilisaient des microorganismes (en se référant au corail) pour ensuite le réfuter… Il y a une théorie qui indique que tout ce qu’ils savent faire c’est de prendre du calcaire le bruler (ce qui rejette du CO2) pour ensuite le faire réagir avec du CO2 à séquestrer pour refaire du calcaire, ce qui n’aurait évidemment aucune utilité en terme d’émissions globales…

  2. Des informations supplémentaires données par Calera sur leur site http://dev.calera.com/uploads/files/Calera-Sustainability-Review-03172010.pdf

    Pour en apprécier la faisabilité, il faut être spécialiste.
    Il n’y a a pas d’évaluation externe à la société ni de bilan carbone global
    De plus il ne suffit pas de produire du ciment. Il faut qu’il ait des propriétés spécifiques pour être utiliser dans le bâtiment.

    Concernant l’utilisation du CO2, il y a aussi des projets pour le transformer en méthane, puis à partir de là, faire des carburants, de la pétrochimie, etc…


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