Envoyer 'Ecologistes et pêcheurs, tous des arêtes de thon dans la gorge' à un ami

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10 commentaires

  1. C’est dégueulasse On vire les ouvriers par centaines et on laisse faire les pécheurs qui ont saccagé la ressource à coup de subventions
    l’UMP est vraiment un parti de classe

    1. Les pêcheurs ne sont-ils pas aussi des « ouvriers des mers » par centaines qui ont le droit de vivre au même titre que les « ouvriers » ?

      1. Et les générations futures (leurs enfants, leurs petits-enfants, leurs petits-petits-enfants, etc.) n’auraient pas le droit de vivre ? Après eux le déluge ? Je considère personnellement que c’est un crime de condamner la vie des générations futures. C’est presque un infanticide…

      2. Une seule solution: faire moins d’enfants, de petits enfants, et de petits-petits enfants!
        Comme cela, il y aura du thon pour tout le monde

    2. Qu’il s’agisse de pêche ou de fabrication d’armes, de pièces de moteur, de retroconvertisseur à bascule inversée… l’industrie, par ses procédés et ses volumes, est destructrice du vivant à plus ou moins long terme. Il faut en finir. Le capital repeint les usines en vert et ce n’est pas la solution. Elle n’est certainement pas unique d’ailleurs. Il faut arrêter de manger des sushis. Il ne faut plus en vendre. Il ne faut plus distribuer de thon et ne plus en pêcher. Et tout pousse au contraire. Je ne suis pas sûr que l’envie de continuer à gagner sa croute pour les pêcheurs soit d’ailleurs la motivation la moins compréhensible de cette chaîne. Qui les aide à pêcher autre chose et comment ? Qui aide les lourdés des équipementiers automobiles à monter des SCOP pour faire des vélos ? On a du pain bio sur la planche.

  2. Les pêcheurs sont comme d’autres avant : tous tuent la poule aux œufs d’or, tous ! Comme d’autres espèces avant… c’est toujours la même histoire !

  3. et qui sont les cocus de l’affaire? les THONS; ils ne vivront plus bientôt, notre belle espèce d’enfoirés les exploitera jusqu’au trognon! fini pour eux les belles virées en mer ! c pas grave ya du poison transgéniques dans les labos, qui attend

    ah salopards de pêcheurs! ah salopard de système

    1. « On se suicide toujours trop tard » (Cioran). Vous avez l’air bien énervé. Respirez un coup, marie, ça ira mieux aprés…

  4. Cette histoire du thon rouge soulève deux autres questions cruciales à mon sens :

    – Le problème du thon rouge n’est pas celui de l’espèce mais celui de nos choix de production et de l’allocation des droits de pêche. La Commission européenne, avec l’approbation du Parlement européen, propose de mettre en place des droits de pêche individuels (QIT) qui deviendront nécessairement négociables et capitalisables (cf. la construction des grands senneurs par le rachat de permis de petits bateaux, les PME). Cette décision entraînera le même scénario que celui du thon rouge sur d’autres espèces, et la destruction des petites flottilles artisanales. Actuellement plus de 80% de la flottille européenne mesure moins de 12 m alors que le marché européen des produits de la mer est le premier marché mondial… Les QIT en mer, c’est comme les OGM à terre, une appropriation du vivant par de grands groupes internationaux.

    – La disparition d’une espèce en bout de chaîne est triste mais moins dramatique pour notre avenir que la réduction de la biodiversité du plancton qui est en amont de la chaine alimentaire. Cf notre article à ce sujet sur le site de L’encre de mer.

  5. Encredemer : « la réduction de la biodiversité du plancton »
    ————————–
    Il n’y a jamais eu de réduction de la biodiversité du plancton, cessez donc de raconter n’importe quoi.

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