Envoyer 'La vie à Concordia: le «doc» répond.' à un ami

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6 commentaires


  1. C’est grave d’en arriver là ! il y a des responsabilités à trouver et pas seulement des excuses à signifier…

  2. Et oui, monsieur Delbech, Doc a raison ! j’ai des échos directs de la base Concordia, ils sont trés différents de ce que j’ai pu lire selon Laura !!! Au lieu de vous offusquer bêtement , renseignez-vous auprés des 11 autres personnes avant de commenter ce que vous ne connaissez pas !! les paroles de Laura étaient en effet méprisantes, insultantes et xénophobes, c’est bien ainsi que je les ai ressenties. Je pense que le groupe a suffisamment de bon sens pour démeler cette histoire sans nécessiter votre intervention mal venue, votre parti pris, et cette intolérance propre à la plupart des journalistes……. La vie à COncordia ne vous intéresse plus ? tant pis pour vous ! vous rentrerez donc dans la catégorie de gens si bien décrite par Laura ! Adieu donc, et sans regrets !

  3. Bonjour,

    Me voilà sur Effets de Terre, à découvrir une sorte de polémique. Etant donné que je n’en connais pas la raison, si ce n’est à travers les propos de Françoise qui décrit qu’une hivernante a émis des propos pour le moins inconvenants, et pour avoir suvolé ce qui m’a semblé un billet d’humeur du rédacteur, je ferai peut-être mieux de me taire également.
    Cependant, mon amour pour les zones polaires et les grands espaces, mon admiration pour les hivernants du Grand Sud me donnent envie de partager mon expérience.
    J’ai vécu plus d’un an dans le Grand Nord, et je comprends et ressens très bien certains propos de la réponse de Eric Lotz. Je sais aussi, très modestement, que celui ou celle qui n’a jamais expérimenté de vivre en zone polaire ne peut pas savoir ce que cela représente.
    Je le sais pour l’avoir vécu.
    Vivre dans ces zones extrêmes est une chose très particulière, qui marque à jamais un être humain. Malgré la force qui nous habite, paradoxalement, notre petitesse est évidente, là-bas plus qu’ailleurs. Une toute petite chose peut parfois prendre des proportions extrêmes, à tel point que l’on ne se reconnait pas vraiment. Il peut advenir une extrême sensiblerie à l’autre, une extrême fragilité induite par des conditions de vie hors normes, ou très différentes de celles que l’on connait en temps ordinaire.
    On doit bien sûr, dans ces conditions, travailler sur soi-même afin de traverser toutes ces choses bizarres que l’on ne ressent pas habituellement, de part le milieu de vie.
    C’est ce que j’ai compris et appris pour ma part. Ce que j’ai compris aussi, c’est qu’un tel séjour ne se prépare jamais assez, d’un point de vue psychologique. Il est nécessaire de savoir exactement pourquoi l’on part, d’effectuer une introspection exigeante, voire même de se créer une ligne comportementale qui aidera.
    Pendant mon séjour dans le Grand Nord, j’ai compris qu’il ne faut pas résister à ce qui apparait comme problème, j’ai compris qu’il fallait apprendre à accepter sa propre difficulté, à savoir se pardonner ses faiblesses et à faire de même envers l’autre car là-bas, à part la Vie, l’Autre est tout ce que l’on a…
    Le choc des cultures peut s’avérer délicat. Le voir comme une richesse qui nous arrive est une merveilleuse option.
    Je vous souhaite à tous, à Concordia, à DDU ou ailleurs dans ces belles et dures terres polaires, de merveilleux instants de vie ensemble.

  4. Bonjour,
    Merci d’enlever mon adresse e-mail !
    Bien à vous

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