Envoyer 'Un record pour le solaire de laboratoire' à un ami

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7 commentaires

  1. Certes, « asga », c’est mignon comme nom, mais l’inconvénient de l’arséniure de gallium, c’est que c’est quand même hyper-toxique (ça se décompose en arsenic, il me semble). C’est aussi pour ça que beaucoup de recherches visent à le remplacer par du sable, enfin du silicium, notamment dans les composants optiques, ce qui n’est pas évident car le silicium est moins adapté à ce type de composants

  2. ce rendement n’a pu être obtenu qu’avec «500 soleils»
    ===

    Dit comme ça on dirait que c’est un défaut. Je pense qu’au contraire c’est LE progrès décisif: ça veut dire que les capteurs pourraient être composés à 99.8% de réflecteurs (simples et peu couteux à produire) pour 0.2% de cellules asga (chères et toxiques). A vue de nez, un progrès de cet ordre pourrait faire passer le solaire dans les technologies rentables! Par contre je suis curieux d’en savoir plus sur le coût de production, la durée de vie des capteurs, perte de conversion avec le temps…

  3. Avec 500 soleils, n’importe quelle turbine à vapeur monte à 90%. Il est où le progrès?

  4. Asga ! Non, sérieusement, avec le silicium noir, je crois qu’on arrive encore à de meilleurs résultats. La question est le prix plutôt. [NDLR: lien supprimé. Ce n’est pas bien de mettre un commentaire juste pour vendre quelque chose, même des panneaux solaires…]

  5. Merci Denis again, manque plus qu’à coupler une PAC sur le système pour transformer les 60%-40% de chaleur en énergie ….. de refroidissement……

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