Envoyer 'Paradis perdu demande asile climatique' à un ami

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22 commentaires

  1. « Gaz carbonique »… Comme d’hab, une explication toute trouvée et simpliste pour un article à sensation. Alors que les îles de toute cette partie du monde sont surtout affectées par le jeux des plaques tectoniques, par les séismes et autres stunamis. Ce qui n’a rien à voir avec le gaz carbonique. De plus les essais nucléaires britanniques n’ont sûrement rien arrangé sur une partie de ces îles, les anciennes Gilbert.
    Quant aux calculs de Hansen, aucun commentaire…

  2. Bravo Abitbol, je te décerne le Skeptic Award de février 2009. Toutes mes félicitations ! Les îles du Pacifique sont aussi sans doute victimes des éruptions solaires et du décalage d’un 80e de degré de l’axe de rotation terrestre.

    Quitte à nier le gaz carbonique, autant avoir des arguments valables : la surexploitation des mines de phosphate n’a pas dû arranger les choses.

  3. Merci Bix. Ce prix me va droit au coeur, surtout décerné par une grenouille verte de bénitier de l’église du carbone.

  4. Denis,
    Au lieu de vous fier aux déclarations démagogiques d’un politicien, pourquoi ne pas consulter tout simplement les résultats des marégraphes installés depuis 1993 dans la région par la South Pacific Sea Level and Climate Monitoring Project, surtout ceux sur les îles qui ne sombrent pas à cause des runways, des constructions et du prélèvement excessif de coraux.
    Hum oh, on ne voit aucune hausse du niveau des océans à Kiribati & Tuvalu depuis que les mesures existent.
    Je sens comme une légère odeur d’arnaque qui flotte dans l’eau …

  5. Ia ora na ia outou paatoa (« bonjour à tous »),

    J’habite en Polynésie française, et j’avoue que cette « affaire » du Kiribati m’intrigue. La montée des eaux océaniques, lié au dérèglement climatique, devrait pour l’instant être extrêmement peu perceptible dans ce type d’îles. Il est en fait pour l’instant seulement visible dans le deltas, où la montée des eaux provoque un affaissement des limons, la conjugaisons des deux phénomènes engendrant des effets perceptibles.

    Dans les îles volcaniques et/ou coralliennes du Pacifique, par contre, c’est plus étonnant. Ou alors, le Kiribati se trouve dans une zone particulière où cette montée des eaux se fait plus sentir. La Polynésie f. par exemple est dans une océanique particulière, dit amphidromique (marnage voisin de 0 m). Je n’ai aucune idée de l’influence de ces zones sur une amplification ou une atténuation possible de l’élévation du niveau des eaux océaniques.

    Par contre, il semble que certains pays n’aient pas hésité à jouer avec leur sous-sol, soit pour en extraire du phosphate, soit pour des raisons immobilières, soit pour y enfouir des ordures. Mais là aussi, l’étendue de ces dégâts pourrait être négligeable dans l’explication.

    Bref, sur ce sujet, je suis bien circonspect, et j’aimerai franchement qu’un expert, connaissant à la fois bien les particularités courantologiques océaniques, et la géologie de ces îles, passe dans le coin. Avec peut-être, qui sait, un sociologue (en Polynésie f., le denier – et seul – sondage sur la question de la montée des eaux s’est soldée par un grand « on s’en fout, on verra bien, c’est pour plus tard »).

  6. Eh bien miniTAX, une fois n’est pas coutume, nous sommes d’accord : profitons des resources scientfiques à notre disposition pour mettre des chiffres sur ces affirmations.

    Sur le site de l’organisme que vous mentionnez, on trouve des rapports sur les mesures des jauges, entre autres à Kiribati. Dans le fichier
    http://www.bom.gov.au/ntc/IDO60024/IDO60024.2006.pdf

    On peut ainsi trouver, page 13, les données suivantes (données nettes) :
    Kiribati : + 5.3 mm/an
    Tonga : + 7 mm/an
    Samoa : +5.4 mm/an
    FSM : +20.9 mm/an (mais sur une durée plus faible)

    Eh bien voilà, les chiffres ont parlé…

  7. @Enisor,
    Ces tendances ne sont calculées que depuis 2002 avec l’installation du système CGPS pour corriger le mouvement vertical des îles : Kiribati est équipé en CGPS en Août 2002.
    Donc, pour reprendre ta formule favorite que tu sors de ton chapeau quand on te dit que la température globale BAISSE depuis 2002, « une tendance sur 6 ans, ça ne veut rien dire », surtout quand El Nino et la Nina peut faire varier le niveau de plusieurs dizaines de cm sur 1 à 2 ans.
    Ca ne veut rien dire d’autant plus que le +5.3mm/an pour Kiribati (calculée depuis 2002, je rappelle) s’est produite alors que la Terre … s’est refroidie sur la même période. Ouch !

    Si on regarde sur le long terme l’anomalie du niveau de la mer à Kiribati, figure 1, page 6, on ne constate aucun changement du niveau depuis 1992. Et si on regarde des données additionnelles qui existent autour de Kiribati depuis les années 1950 (pages 23 et suivantes), on voit des hausses comme des baisses selon l’endroit, bref aucune tendance statistiquement significative vu l’amplitude des variations naturelles (de l’ordre de 1 mètre !).

    Quand tu prétends donner des chiffres, il faut donner TOUS les chiffres, pas juste ceux qui t’arrangent.

  8. Vous ne manquez pas d’air, à affirmer comme cela des choses aussi fausses. En fait, il suffit de lire ce document…

    C’est depuis 1992 qu’il y a des jauges à Kiribati, par exemple, grâce à la mise en place du réseau SEAFRAME (page 8). Le CGPS est un ajout récent ayant pour but d’améliorer la précision des mesures (page 10). Les chiffres indiqués correspondent à la tendance depuis 1992 COMME INDIQUE DANS LE TABLEAU page 13 (c’est triste à ce stade).
    De plus, comme le signale ce rapport, ces tendances sont comparables à celles obtenue par altimètres au niveau des satellites. Même au niveau global, les océans sont montés depuis 2002
    http://sealevel.colorado.edu/current/sl_noib_ns_global.jpg
    vous avez dit « ouch » ?

    C’est plutôt gênant, je le comprends, de citer un rapport pour après se rendre compte qu’il dit exactement le contraire de ce que vous affirmiez. Mais svp ayez au moins l’élégance de ne pas mentir, ou de lire ce qui est écrit.

    En tout cas, Denis, ceci nous fait une source pour confirmer la tendance mentionnée par votre article. Ces gens sont supposés aller où, exactement ?

  9. @Enisor,
    Non, c’est faux, arrête de mentir. Ton tableau 5 page 13 dit explicitement que ce sont des tendances corrigées du mouvement vertical du marégraphe : « The net relative sea level trend estimates as at June 2006 after the inverted barometric pressure effect and vertical movements in the observing platform are taken into account ». Or ce mouvement vertical ne peut être mesuré que grâce au CGPS qui n’existe sur Kiribati que depuis Août 2002. Donc c’est une tendance calculée uniquement sur 6 ans et non depuis 1992 puisque entre 1992-2002, on n’a PAS la mesure du mouvement vertical du marégraphe.
    Donc en ce qui concerne la pente de 5.4mm/an pour Kiribati, pour reprendre ta sempiternelle pirouette : « c’est trop court, on ne peut rien conclure ». Tu vois, je peux moi aussi jouer à ce jeu.

    Quant à la hausse de l’océan depuis 2002, certes mais depuis 2002 justement, la température globale a baissé. Donc une hausse des océans (aussi faible) ne permet en aucun cas de conclure
    – que c’est un signe du réchauffement (puisqu’il a eu refroidissement depuis 2002)
    – que c’est un changement d’origine anthropique
    – qu’en mettant des ampoules fluorescentes et en utilisant des toilettes sèches, on va « protéger le climat ».

    Mais bon, si c’est trop subtil pour toi, je comprends…

  10. J’avoue que j’en reste sans voix… Tout d’abord, je tiens à rappeler que c’est vous qui avez cité cet organisme pour nous convaincre de l’absence de montée du niveau de la mer à cet endroit. Maintenant vous essayez des acrobaties pas croyables pour retomber sur vos pieds, mais hélas la vérité doit en souffrir….

    Pourquoi ne lisez-vous jamais complètement les documents ? La tableau reprend la tendance mesurée depuis 1992, les corrections (barométrie inverse et données altimétriques depuis 2002) et finalement la donnée nette. La valeur nette est obtenue en prenant valeur brute-correction baro-correction verticale) Pour Kiribati, cela donne 5.7 mm/an avant correction et 5.3 après. Remarquez bien qu’on additionne ici des vitesses, pas des valeurs absolues. Comment placez-vous dans ce contexte votre phrase affirmant que selon cet organisme:
    « Hum oh, on ne voit aucune hausse du niveau des océans à Kiribati & Tuvalu depuis que les mesures existent. »

    Vous me faites bien rire avec votre « refroidissement depuis 2002 ». Je peux vous en sortir plein comme ça ! Comment expliquez-vous qu’il y a « refroidissement » depuis 2002, mais « réchauffement » depuis 2000 ?

  11. Enisor a écrit : « La tableau reprend la tendance mesurée depuis 1992, les corrections (barométrie inverse et données altimétriques depuis 2002) et finalement la donnée nette. »
    ————————————————————
    Non, le tableau n’indique rien de tel, arrête d’affabuler. La correction barométrique ne peut qu’être qu’à court terme, ce qui a été bien précisé textuellement dans un autre tableau juste avant. Réfléchis 2 secondes : tu ne peux pas avoir un changement barométrique équivalent à +0,5 mm/an de niveau de mer… pendant 17 ans ! Et la correction du mouvement vertical du capteur n’existe que depuis 2002.
    Quant au fait de dire que le niveau des mers n’a pas varié à Kiribati, comme écrit plus haut, c’est la figure 1 page 6 qui le dit. Tu fais exprès de ne pas comprendre ou quoi ?

    Enisor a écrit : « Vous me faites bien rire avec votre “refroidissement depuis 2002?. Je peux vous en sortir plein comme ça ! Comment expliquez-vous qu’il y a “refroidissement” depuis 2002, mais “réchauffement” depuis 2000 ? »
    ————————————————————
    C’est quoi cette ânerie encore ? Je n’ai rien à expliquer. Quand on ne sait pas expliquer, on ne sait pas. Point barre. C’est toi qui cherches à trouver une tendance là où ça t’arrange alors que tu sais à peine déchiffrer le rapport.

  12. @Enisor,
    D’ailleurs, si on regarde le rapport 2005 http://www.bom.gov.au/ntc/IDO60024/IDO60024.2005.pdf , cette fameuse « net sealevel trend » était de 6,2 mm/an.
    Ca a chuté en 1 an à 5,3 mm/an dans le rapport 2006 (que tu as montré), donc c’est impossible que ce soit une tendance calculée depuis 1992. Tu n’es qu’un mytho.

    Et de toute façon, on n’a plus de données publiées en 2007 ou en 2008, donc personne ne peut dire que la hausse des mers s’est accélérée. Toute cette histoire pue l’arnaque.

  13. Mon cher miniTAX, malgré vos ronds de jambe et autres paraboles douteuses, je vous rappelle que c’est vous qui donniez comme référence l’organisme dont vous êtes en train de critiquer les résultats…

    Le niveau global de la mer monte, les populations locales disent que ça monte, les données satellitaires et des jauges aussi, mais vous, miniTAX, du haut de votre fauteuil chez vous vous détenez la vérité invisible à tous ? Bah…

    Au passage, achetez-vous des lunettes pour voir la date de démarrage des mesures inscrite juste à côté de la tendance brute… Et aussi que pour la figure de laquelle vous tirez qu’il n’y a pas eu d’augmentation, on peut lire que « the sea anomalies have had trend removed from the sea level observations » – c’est des données dé-trendées, petit malin !

    C’est triste quoi…

  14. Bonjour,

    Dire que « les populations locales disent que ça monte » me semble très léger. Que l’on soit bien clair : je ne remet pas en cause, loin de moi cette idée, le dérèglement climatique ni son origine anthropique, mais à l’heure actuelle, ce phénomène me paraît encore bien négligeable face aux implications directes des activités des populations locales. Si, par exemple, vous pompez trop dans la nappe phréatique très limitée des atolls, vous la faites remonter très rapidement, et donc l’eau de l’océan suit le mouvement, entraînant une salinisation. Pas besoin de montée des eaux pour cela (« L’océan continue de monter, rend les nappes d’eau imbuvables »)…
    Il me semble que dans ce cas précis, vous avez une vision phantasmée des atolls. Pour prendre l’exemple de Rangiroa, une île de PF à 100% corallienne (aucun massif basaltique n’émerge plus), le point culminant est à 12 m. La hauteur moyenne doit se situer entre 1 et 2 m et est la résultante de l’ammassage de débris coralliens par les cyclones au fil des âges. Les cms de l’élévation océaniques n’ont pas pour l’instant – et j’insiste bien sur le « pour l’instant » car sur la durée ce sera bien autre chose) – pas grand chose pour rivaliser contre cela.

  15. Bonjour Mizaël,

    tout à fait d’accord avec votre premier point : l’avis de populations locales n’est pas une mesure scientifique et reproductible – c’est bien pour cela que les sondes ont été mises en place…

    Je ne suis par contre pas sûr de vous suivre sur la suite: ces sondes indiquent une montée du niveau des eaux, même en tenant compte du mouvement vertical.

    Il faut aussi faire bien attention à la notion de « qqs centimètres ». A, disons, 5 mm/an, on a du 1/2 cm par décennie (soit depuis 1992, déjà près d’un cm) ou encore 5 cm par siècle, si je ne m’abuse bien plus que le dépôt coralien. Il ne faudra pas si longtemps pour que ces atolls deviennent des proies faciles pour le moindre cyclone…

  16. A 5 mm/an, cela fait 5 cm par décennie, et 50 cm par siècle, Enisor! En ce qui concerne Kiribati, qui se trouve sur l’équateur, il n’y a pas trop à craindre de cyclones. Mais ce n’est évidemment pas le cas de tous les atolls.

  17. En effet, Denis, j’aurais mieux fait de ne pas goûter ce trop bon Calva…

  18. Bonjour,
    Quelqu’un sait où on peut trouver la marge d’erreur des 5 mm/an svp ? Je ne trouve pas dans le rapport, c’est dommage (et curieux).

    Je ne connais rien à ces problèmes du réchauffement mais j’ai l’impression (c’est juste mon avis) que 5mm/an, c’est très faible. Je suis un mordu de plongée et de ce que je sais, les récifs corraliens peuvent croître et décroître beaucoup plus vite que ça. Seulement, on déverse une tonne de saloperies dans la mer ce qui bousille la vie marine et tue les coquillages et les coraux qui forment la matière première des récifs, on prélève le sable et les coraux pour les matériaux de construction pour les complexes touristiques. Ce qu’on voit dans certains spots en Indonésie ou aux Philippines, c’est un massacre alors qu’en Australie, c’est beaucoup mieux préservé. Attention, je ne dis pas que c’est mal, il faut bien que les gens vivent mieux mais l’excuse de la montée des mers semble assez parachutée.

    Je précise que je n’ai jamais eu l’occasion de plonger en Polynésie française ou à Kiribati alors peut-être que Mizael peut mieux en parler.

  19. @ Tova : quelques mm par an, c’est très important au contraire. Certes les coraux pourraient pallier à cette montée mais le problème n’est pas là. La partie récifale vivante des atolls et des îles hautes est… sous l’eau. si elle accompagne le mouvement, elle restera à niveau mais ça ne changera rien pour le sol de l’atoll lui-même (qui est fait de débris coralliens brassés sur des millénaires par les tempêtes et cyclones), ni pour les plaines des îles hautes (qui est généralement d’origine terrigène).
    Évidemment, c’est pire s’ils ne suivent pas, car ils protègent la côte de l’érosion des vagues.
    Et les coraux, avec l’élévation de la température et l’acidification de l’eau, sont les premières victimes annoncées du dérèglement climatique. Ils ne suivront pas cette hausse si leur métabolisme est perturbé, ou… s’ils sont morts.

    En PF comme ailleurs, le problème des dégradations locales par des produits polluants ou des extractions est… local. À l’échelle de ses 50 millions de km² et de ses 118 îles, c’est, là aussi, le dérèglement climatique qui prendra demain la relève dans le top 5 des dégâts, en particulier à cause de l’acidification des océans. Pour la montée du niveau de la mer, ce n’est pas dans les atolls que la menace est la plus forte. 75% de la population (avec leurs infrastructures) est en effet à Tahiti (une île haute), dont les plaines côtières ne sont pas plus hautes que les atolls. Ici la photo de l’aéroport de Tahiti-Fa’a’a par exemple : http://www.polynesie-paris.com/gallery/main.php?g2_view=core.ShowItem&g2_itemId=77 , menacé dés 2030.

    @ Enisor & Denis : je suis tout à fait d’accord sur les ordres de grandeurs d’élévation du niveau de la mer. En 2006, une mission d’expertise en PF a établi celui-ci à 30 cm pour 2030 et 90 cm pour 2100. Des chiffres à prendre avec des grandes pincettes, bien sûr, mais qui donnent une idée justement de l’ordre de grandeur.
    Ce ce qui me chiffonne, ce n’est pas demain. Comme je le disais, et je suis tout à fait d’accord avec vous là dessus, d’ici quelques décennies cette montée des eaux ne sera plus négligeable (+ 30 cm ou « dans ces eaux là » en 2030 ça se voit).
    Mais mon problème c’est *aujourd’hui* : aujourd’hui je ne vois vraiment pas ce qui pourrait incriminer le dérèglement climatique dans ce qui m’apparaît plus être une sensation paranoïde d’une montée des eaux aux Kiribati ou à Tuvalu. Ou alors, cette élévation est liée à d’autres facteurs (tectonique, forages eau ou agrégats, urbanisation, etc).

    Et donc, je ne suis pour l’instant pas plus avancé sur ce qu’on pourrait appeler « le syndrome Kiribati ».


  20. C’est la même histoire que celle des maldives

    To: Mohamed Nasheed, président des Maldives

    De: Nils-Axel Mörner, Stockholm, Suède

    Monsieur le Président,

    Vous avez récemment tenu une réunion sous-marine pour sensibiliser à l’idée que le niveau global des mers augmente et menace donc de noyer les Maldives. Cette proposition n’est pas fondée sur des fait et observations scientifiques.

    Par conséquent, je suis très surpris de votre action et me doit de protester .

    En 2001, Notre groupe de recherche a découvert des preuves accablantes que le niveau de la mer n’était pas dans le mouvement de hausse, mais qu’il était resté assez stable pendant les 30 dernières années. Par conséquent, j’ai annoncé ces nouvelles heureuses au cours d’une interview pour votre station de télévision locale. Cependant, votre prédécesseur à la présidence a censuré et arrêté la diffusion.

    Lorsque vous êtes devenu le Président, je souhaitais à la fois plus de démocratie et de dialogue. Cependant, je vous ai écrit deux fois sans réponse. Votre peuple ne doit pas être confronté à une revendication constante qu’il n’y a pas d’avenir pour eux dans leurs propres îles. Ce terrible message est profondément inadéquat, car il ne se fonde pas sur la réalité mais sur un concept importé, qui manque de justification scientifique et est donc indéfendable. Il n’y a tout simplement aucun fondement rationnel.

    Permettez-moi de résumer quelques faits.

    (1) Dans les 2000 dernières années, le niveau de la mer a oscillé avec 5 pics atteignant 0,6 à 1,2 m au-dessus du niveau de la mer actuel.

    (2) De 1790 à 1970 du niveau des mers était d’environ 20 cm plus haut qu’aujourd’hui

    (3) Dans les années 1970, niveau de la mer a diminué d’environ 20 cm à son niveau actuel

    (4) Niveau de la mer est restée stable pendant les 30 dernières années, ce qui implique qu’il n’y a aucune trace d’une alarmante en cours élévation du niveau marin.

    (5) Par conséquent, nous sommes en mesure de libérer les Maldives (et le reste des terres basses du littoral et insulaires dans le monde entier) de la condamnation de devenir inondées dans le proche avenir.

  21. depuis 3 ou 4 ans on a trouver une nouvelle façon de faire peur: »le changement climatique ».on nous manipule nos cerveaux une fois de plus pour mieux controler les plus crédibles et véhiculer la pensée unique sur les gaz a effet de serre.heureusement que les gaz a effet de serre existent sinon la température moyenne de la planète serait de 25 dedrés inférieure a celle enregistrée actuellement.dans les iles du pacifique comme dans beaucoup d endroit du monde ce n est l oceans qui monte mais le manteau basaltique qui s éffrondre et ces iles qu on le veuille ou non disparaitrons un jour.rassurrez vous c est pour dans 1 millions d années.cela laisse le temps aux hommes de s adapter s ils ne se sont autodétruis d ici là par manque d eau ou par pollution chimique.quand a nos gourvernants ils ont découvert l amérique en faisant peur aux bons indigènes pour mieux les controler et assouvir leur soif de pouvoir

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