Envoyer 'OGM et bio, l'impossible coexistence des maïs' à un ami

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Un commentaire

  1. Vu la difficulté à trouver les sources de contamination (parfois à cause de cultures OGM non déclarées), les indemnisations ne seront efficaces que si elles impliquent les société qui commercialisent les semences incriminées. Si l’agriculteur « pollueur » est identifié, on répartit l’indemnisation 50/50 entre Monsanto et lui. S’il ne l’est pas, c’est 100% pour Monsanto.

    Je sais, c’est beau de rêver, mais les sociétés qui commercialisent les OGM sont les premières responsables de leur dissémination. Il serait normal qu’elles contribuent à réparer les pots cassés.

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